 |  Sujet: we are the xany-gnashing Ven 14 Sep - 22:48 | |
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Theodore Grzybowski (Jr)
"it's not an attitude. It's the way i am "
nom complet - theodore robert grzybowski – tout en majuscule – l’emphase qu’on met de la première à la dernière lettre , entamant un virage serré sur la langue en se mangeant palais et dents dans sa course folle . surnoms - theo ou grzybowski, majoritairement Theodore – degré de proximité proportionnel à sa tolérance personnelle face au phénomène, si tu veux tout savoir. lieu de naissance et âge - ses premiers cris – résultat envoûtant d’un mélange d’une sonate de Chopin et du premier opus homo sapiens sapiens – ont fait trembler le rocher monégasque un vingt trois novembre - si ça ne tenait qu’à lui, toute la principauté s’amuserait à fêter sa naissance aux quatre coins de ses deux virgule zéro deux kilomètres carrés de risible superficie-. Pratiquement dix neuf (traiteur et sculptures sur glace déjà commandés). nationalité et origines - engeance désabusée d’une arystokracja polonaise, s’il est pourvu – comme le suggèrent sa bagnole, sa montre et l’espèce de rictus rigoriste qui ne quitte jamais les lignes pleines de ses lèvres - il est de loin le fils de pute qui surjoue la plus parfaite humilité - fonction de l'audience (autrement dit, uniquement s'il le veut). à londres depuis - que son diplomate de père a décidé qu’après le pensionnat en suisse, il serait bon qu’il parade dans les sphères anglaises, singe-débutant engoncé jusqu’au derme profond au sein d'un cirque de grande envergure. Talent inné, en ce qui le concerne. occupation - landgrave de son propre et unique genre - titre hérité du côté maternel, d'ailleurs - monsieur ne trouve d'intérêt qu'à plastronner face à l'opposition (- il en va de soi qu'il considère sa petite cour et lui comme le parti de la majorité). Eaton square high terrain de jeu privilégié de ses intrigues, il s'illustre comme conspirationniste et figure dirigeante de son groupe qu'il nomme "Court of Shadows" . situation familiale - vieille noblesse européenne oblige(= true nobility,ftw), l'arbre généalogique surprend par la complexité de son houppier (les feuilles cachent un enchevêtrement de branches, rameaux, ramilles - d'alliances politiques, onéreuses et faisandées rappel flagrant d'une seule et unique règle : mariages internes de complaisance favorisés face à tout semblant d'amour). benjamin d'une lignée de cinq fils - soumise à la terrible malédiction de la beauté, des excès et d'une promptitude à vouloir se tirer dans les pattes à la moindre occasion (le reste n'est que fioriture).situation financière - richissime, St Barth vacation, lake como properties (yes, in plural) et Burberry trench coat-like (même si, techniquement, il vit des rentes de daddy comme le parfait stéréotype du brat qu'il est) statut civique - flirts inconséquents, accolades expéditives - l'important c'est l'ivresse des instants que l'on floue au quotidien décadent et insipide.orientation sexuelle - suborneur, le genre n'est qu'une bagatelle ignorée face à l'importance même de ses objectifs. Même s'il préfère les sourires séraphiques de ces damoiselles qui papillonnent des cils avec une innocence qui n'a d'égale que l'effervescente activité de leurs entre-cuisses - il n'est pas contre berner un mâle de temps à autre et ce, juste pour le sport. traits de caractères - cruel et arrogant, sceaux des qualités-travers qui en définissent la charpente, Theo n'est pas seulement binaire. Incompris et complexe, paradoxal et incohérent, il réagit presque comme le ferait un loup face aux fluctuations lunaires. Comploteur et manipulateur, il n'est que sourire de façade et attitude conciliante lorsque l'envers du décor le dépeint comme ce qu'il y aurait de pire. S'il est égotiste et ethnocentré (=son peuple=sa famille) ça n'est clairement pas de sa faute - et rien ne l'est, puisque le concept même de responsabilité lui échappe les trois quarts du temps. On aime le détester mais au fond, c'est parce que son magnétisme tend à orienter n'importe quel flux dans sa direction. Comédien inconscient, il ne semble même pas remarquer que le costume qu'il porte est dépareillé. avatar - hero fiennes tiffingroupe -gold | | matière préférée - absolument aucune, l'intellect s'ennuie vite chez l'individu. Theodore se désintéresse de tout, c'est du moins l'impression qu'il donne - il souffre surtout d'un trouble de déficit de l'attention qu'il lénifie à coup de cachetons. sport préféré - l'escrime, excellent bretteur, il n'a pas son pareil sur la piste; encore une occasion de prouver sa maîtrise de soi et son habilité (et d'asseoir une forme de suprématie nébuleuse). livre préféré - Les Démons, Fiodor Dostoïevski - non, pas le temps d'en parler.artiste préféré - Jean-Michel Basquiat, point. marque de vêtement préférée - alexander mcqueen, bitch marque de ton téléphone - il lui fallait plus que l'i-phone X alors, il a convaincu sa mère-grand de lui offrir l'i-phone V black diamond - pas aussi opérationnel mais surement plus dispendieux que n'importe quel autre (qu'il cocufie évidemment avec la concurrence, heureux proprio d'un Galaxy note 8, pour ses side business) . réseau social préféré - #instababe. |
— teen attitude, teen problems.♔ KING
« veux-tu vraiment savoir ce que je trouve triste ? » - il pourrait arguer que sa présence à la Messardière plutôt qu’au Sezz est déjà en soi un fait hautement lacrymable – monsieur – prononciation française irréprochable – peut facilement placer cette conjoncture entre le 11 septembre et la dernière fois qu’il a embouti sa superbe merco G500 (les pauvres peuvent bien mourir de faim à travers le globe, le prince ne voit pas plus loin que les lignes aristocrates de son petit nez et cela n’alerte personne). « commence par me servir deux doigts de whisky on the rocks, il faut que je me mette en condition » - le cagnard impérieux lui tape sur le système et, autour de lui , les seules silhouettes qui se prélassent autour des cents putains de mètres de longueur de cette piscine auraient bien besoin d’un peu de talc et de naphtaline. Theodore renifle et refuse de quitter le réconfort offert par le verre teinté de ses rayban wayfarer édition deluxe - le barman pourrait déceler l'ennuie qui teinte le cercle de ses iris et ça ne ferait pas partie de ses plans.
♕ QUEEN
Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.
Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.RoseRose.Rose.
Rose.Rose.RoseRose.Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.
Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.RoseRose.Rose.
Rose.Rose.Rose.Rose.RoseRose.Rose.Rose.Rose.
Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.Rose.
Rose.Rose.Rose.Rose.RoseRose.Rose.Rose.Rose.
Rose, ffs. Des calepins que l'on rature, aux injures que l'on crache sans égard, expression féroce et sanglante d'un amour désavoué. Il ne l'aime que par à coup et par les coups, réceptacle privilégié de ses frustrations ordinaires, victime désopilante de ses sautes d'humeur - elles sont pléthoriques, jsyk. Intense est l'exaspération face à celle qui le surpasse - meilleure en maths, en débat, en escrime (bordel de merde), en sciences - avec de grossiers traits et des manières qui peuvent l'être tout autant. Sa haine est si profonde qu'un seul regard dans sa direction suffit à lui couper toute respiration.
Rose qui plie mais ne rompt point sous le pas coléreux du nanti.
Pourtant, fut un temps où il leur aurait dessiné une histoire, sourire béat aux lèvres (pendu aux siennes, satisfaction impénétrable et sincère) .
Maudit soit le refus.
Maudite soit sa Rose.
Cette Rose là - apparue après discorde, flétrissant sous son regard, il la laisserait couler, accaparerait le radeau et trouverait le salut imprégné d'indolence , celle dans laquelle il se drape précieusement; préférant se soumettre au manque, aux préconceptions des marauds qui d'un doigt accusateur le désignent - n'épargnant rien de cette réputation enténébrée que l'on craint mais qui fascine.
Il n'y est strictement pour rien - pour autant, il préfère être damné.
On ne l'y reprendra plus.
Promis,juré.
♘ KNIGHTS
Sa cour des ombres, membres triés selon des critères qui dépassent tout entendement; sauf le sien. Du moins, la plèbe jabote à leur encontre – salement riches, individualistes - , indifférents à toutes formes de bonté, susceptibles d’abattre leurs cartes dextres, tranchant dans la chair sans s’émouvoir : d’irrécupérables garnements odieux. Et leurs actions appuient les dires, leurs sourires réverbèrent les plus mauvaises intentions. S'ils trafiquent et apprécient la débauche - dans ce qu'elle a de plus douteux - ils ne s'en cachent pas. Du moins, les années faisant, ont-ils appris à polir les apparences, à ne dévoiler que ce qu'ils veulent. Ses chevaliers, ils les a choisi par la force des choses, au gré des déveines rencontrées, ils se sont reconnus dans la masse grouillante de crapules et ont décidé de faire corps contre l'adversité, demeurant tout sauf immobiles - vouant leurs souffles à s'extraire de toute banalité. Corvus oculum corvi non eruit !
♙ PAWNS
« 10 000£ » - lance-t-il, iris bizuth moirés sous ses paupières tombantes – pas envie de roupiller, envie seulement, de tout ce qui se dresse sous son regard, à sa portée mais qui, mirage, se dissipe et s’éloigne – avec célérité. « Je ne suis pas aussi cheap » - les sourcils se haussent, les lèvres se vrillent d’une moue – l’éphèbe pouffe, le rire s’échappe et s’en va heurter les cristaux du lustre avant que le silence se réapproprie l’espace (uniquement parce que c’est dans l’intérêt de Theo). « Ce que tu n’es pas, surtout, c’est en position de négocier quoi que ce soit. Je te signale que tu baises pour vivre » - langage cru, la naïade ne s’encombre pas – au contraire, elle se cambre davantage, ses seins pointent – airbags ultra efficaces – comme pour manifester leur propre mécontentement. « En attendant, c’est des liasses offertes par ton père que je vis » - la tacle atteint un point stratégique, le jeune homme se renfrogne légèrement – suffisamment pour que la poule de luxe affiche un sourire satisfait. « Mon père et tout le gratin de Londres ont fait escale entre tes cuisses. Bientôt il y en aura une autre et tout ce qui restera de toi, ce sera une piètre réputation et une chlamydia qui t’auras bouffé l’utérus. J’ai parlé à ton gynécologue - il marque une pause et penche la tête sur le côté – en échange d’un paquet d’oseille, il m’a dit qu’à l’étage du dessous, c’était vraiment pas beau à voir » - il se fiche de la réputation de son père, il se fiche de cette gonzesse qui est obligé de se taper sa bite toute flasque pour vivre : tout ce qui lui importe, c’est d’assurer son héritage et de garder à distance toute concurrence. Les gens deviennent des pions, des cibles - et il les abat sans état d'âme.
♝BISHOPS
sans commentaire.
♖ROOKS
sans commentaire.
parce que tout ce qu'il faut retenir : c'est que Theodore Grzybowski ne fait que ce qui lui plait.
pseudo/prénom -east side, norah âge/localisation -vingtaine, hexagone avis sur le forum - trop fly. où l'avez-vous connu - bazz autre - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] |
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| | Sujet: Re: we are the xany-gnashing Ven 14 Sep - 23:27 | |
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| | Sujet: Re: we are the xany-gnashing Sam 15 Sep - 10:09 | |
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| | Sujet: Re: we are the xany-gnashing Sam 15 Sep - 12:30 | |
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| | Sujet: Re: we are the xany-gnashing Dim 16 Sep - 20:35 | |
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| | Sujet: Re: we are the xany-gnashing Dim 16 Sep - 21:05 | |
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| | Sujet: Re: we are the xany-gnashing Dim 16 Sep - 21:32 | |
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| | Sujet: Re: we are the xany-gnashing Dim 16 Sep - 21:33 | |
| euh mais cette plume
je meurs en fait ? |
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| | Sujet: Re: we are the xany-gnashing Dim 16 Sep - 23:00 | |
| ben je meurs
c'est bon
adieu
(mais je revis pour qu'on se promette un lien par contre) |
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| | Sujet: Re: we are the xany-gnashing | |
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prêt à donner de ma personne - généreux, oui -. des milliers de bisous maintenant - parce que après, ça va être la guéguerre.
faudra qu'on s'trouve un truc, alors. 
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