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 MAYBE I DREAMT YOU.

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MessageSujet: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. EmptyDim 16 Sep - 15:41


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rose, araya
" sext: i go to church with a boy so i can learn about god as he hallows my thighs "

nom complet - nom qui se chuchote comme les vestiges d'un lieu sacré ; dans un murmure qui n'a d'écho que dans le coeur de ceux qui savent. rosana maria araya, qu'on a sacrifié pour ne garder que la pureté d'une fleur arrachée à sa contrée. surnoms - maman qui s'est toujours offusquée d'un tel nom, blâmant les idées folles d'un père investisseur. maman scandant rose, rose, à travers les murs gris d'un manoir rempli de fantômes et de rêves en déclin comme si elle pouvait réveiller en rose la pâleur de sa propre peau. comme si elle pouvait exorciser l'espagne hors de ce corps frêle qui n'a jamais eu la grâce aristocratique dont maman s'est toujours vantée.  lieu de naissance et âge - dix-sept années qui ne paraissent fragiles que sur papier ; enfant du soleil, née sur la côte espagnole pendant les vacances de maman. de retour au pays presque immédiatement, tranchant terriblement avec sa pluie constante et ses jours noirs. nationalité et origines - papa qui vient de loin ; études espagnoles troquées contre une place à la city, où il a vite fait fortune. l'accent qu'on a ravalé comme un mauvais cachet, dans l'espoir que l'immigration ne se voit pas dans le teint bronzé et les yeux charbons. papa qui s'est marié à une riche héritière anglaise, fille d'aristocrates, dans l'espoir de diluer l'étranger de ses veines. comme un mauvais cocktail ; le teint hâlé, la douceur hivernale et l'accent tranché, les yeux clairs. à londres depuis - presque toujours. maman n'aime pas quitter le brouillard de la ville et papa n'a jamais le temps de voir plus loin que la jupe de sa secrétaire. rose rêve d'ailleurs mais ne voit jamais plus loin que la ville ; en espérant que londres, un jour, avale le reste du monde. occupation - uniforme aux valeurs de couronne ; royauté qui s'entend dans le clac-clac des talons sur le macadam. quelque soit l'heure du jour ou de la nuit, enfant-reine ou poupée-sacrée, toujours le sourire poli qui rappelle au monde que l'argent ne donne sans doute pas tout, mais il pardonne n'importe quoi. il pardonne l'accent déchirant, il grave les visages dans le marbre et les fait durer ad aeternam ; leur promet les grandeurs et construit l’ascenseur qui les y mènera. il suffit de voir la eaton square girl : personne n'ose imaginer ce que le temps fera au doux visage de rose, tant ses traits semblent faits pour durer. personne ne sait si elle veut se faire artiste ou banquière, mais qu'importe, puisqu'elle est riche, puisqu'elle est belle. tout le monde sait qu'elle aura ce qu'elle veut quand elle le réclamera, un sourire innocent au coin des lèvres, la sirène chantant sa chanson avec le flegme des filles de, qui ont appris à jouer des charmes bien avant de savoir lire les notices des produits de beauté que maman badigeonnait sur leurs visages poupons. situation familiale - maman aurait voulu une tragédie grecque, un amour déchirant, une impossibilité que rien n'aurait pu rompre. cela aurait expliqué le malheur accablant. mais leur famille n'est rien de tout ça: mariage-transaction entre un nouveau millionnaire et la royauté londonienne, un cocktail molotov qui a mis presque dix ans avant d'exploser au visage de maman. enfants faits trop tard, ou trop tôt, qui ont chassé papa de la maison. maintenant, c'est dans la nuit noire du soir qu'on le voit rentrer, les pas silencieux sur le sol marbré, le rouge de son col de chemise volé aux lèvres de sa secrétaire. ce n'est un secret pour personne ; maman s'en désole. alors c'est sur sa poupée préférée qu'elle tente de se soigner. la rendre plus jolie, rose, pour qu'on l'aime, pour qu'on l'aime, diable, pour qu'on ne l'abandonne jamais comme elle se sent abandonnée. oh, si seulement maman n'avait pas écouté grand-mère, si seulement elle avait étudié, si seulement elle avait refusé de vivre sous le joug d'une mère tortionnaire. mais comme toutes les erreurs sont faites pour se répéter, elle reprend la partition de sa propre matriarche et joue le même morceau avec rose, désespérée de la caser avec quelqu'un qui l'aimera assez pour ne pas la tromper. ou tout du moins qui fournira assez d'argent pour que jamais elle ne se sente seule, comme si les billets avait déjà suffi à maman pour combler le trou béant d'une poitrine décorée d'un collier de perles blanches. situation financière - carte bleue comme porte d'entrée pour tous les coins les plus secrets de la ville ; de l'or en lingot, en dollar et en livre-sterling. papa qui investit dans tout et ne se rate jamais. maman qui prend soin d'un héritage ancestral.  statut civique - miss sainte ni-touche, avec ses grands airs et ses sourires innocents. ça veut la déflorer ; ça parie, ça promet. c'est beau l'adolescence quand c'est sale, quand ça crache, quand ça viole toutes les lois de la terre dans l'espoir de toucher ce qui est sacré. maman a érigé le corps de rose en temple. une autre écriture sacrée qui ne sera caressée qu'une fois possédée. bien sûr que rose rêve d'ailleurs, rêve de doigts baladeurs, de baisers empoisonnés qui rendent malades d'amour. mais elle a aussi vu que l'amour ne vaut rien. que la douceur est amère ; qu'importe de qui elle vient. alors rose dit qu'elle aime dieu, se convint que tout va bien chez elle, se persuade que personne n'a besoin de ce genre d'affection. ça se répète, comme un mantra, qu'elle n'est pas la fille de sa mère. mais elle l'est, elle l'est, et elle finira bien par craquer. un jour ou l'autre, elle aura besoin d'être, d'exister, entre les doigts d'une autre personne. d'être touchée, d'être réelle. qu'on lui promette qu'elle n'est ni mirage, ni miroir de fumée. un jour. orientation sexuelle - maman vous dira qu'il n'y en a qu'une, d'orientation, et qu'elle ne s'entreprend qu'après le mariage. mais rose a passé assez de temps à regarder les silhouettes féminines des nageuses de l'équipe pour se savoir impure. certains diraient pansexuelle, bien sûr, parce qu'elle a l'amour facile ; qu'importe le corps, tant que l'âme raisonne avec la sienne. mais rose n'a pas de mots pour les inventions du diable et s'espère hétérosexuelle, pour plaire à maman. si seulement, sur ça aussi, elle pouvait ne pas la décevoir. traits de caractères - douce, loyale, rusée, manipulatrice, intelligente, souriante, tactile, innocente, charismatique, éloquente, enthousiaste, patiente, indépendante, rêveuse, débrouillarde, sociable, généreuse, parfois hypocrite. avatar - carolina sanchez. groupe - gold.
matière préférée - littérature ; l'étude des mots qui s'enchaînent en vagues. un océan de significations qui s'inventent et se perdent. on peut aller jusqu'au bout du monde, avec quelques mots. on peut vendre le monde, si on sait comment convaincre le peuple des avantages d'une telle dépense.  sport préféré - la natation ; le sport scolaire l'agace, bien sûr, dans l'eau plate d'une piscine translucide. rose rêve d'océan, de vagues, rêve de soleil et de sable chaud. mais jusqu'à ce que ce soit possible, elle se fait sirène ; rapide et létale dans trois mètres de liquide clair.  livre préféré - aurélien d'aragon. parce que le garçon ne  voit jamais bérénice pour ce qu'elle est ; passe à côté de la réalité pour se cantonner à un fantasme morbide. ne retrouve l'amour de sa belle qu'une fois qu'elle l'a quitté pour toujours. l'amertume d'une tendresse qui n'a jamais lieu, la poésie d'une histoire qui ne commence jamais.  artiste préféré - lana del rey, parce que the boys, the girls, they all like carmen, she gives them butterflies, bats her cartoon eyes. she laughs like god, her mind's like a diamond. buy her tonight, she's still shining like lightning. chopin pour  la no.20, frida kahlo pour ses peintures. marque de vêtement préférée - prêt-à-porter d'elie saab. marque de ton téléphone - l'iphone d'apple, un incontournable. réseau social préféré - pinterest, où les tableaux se succèdent à vitesse grand v, pour capturer toutes ses idées et ses envies. aussi le seul réseau social que maman ne surveille pas.
— teen attitude, teen problems.

[ A GOLDEN CAGE IS STILL JUST A CAGE ] maman tortionnaire, maman qui se pare de bonnes intentions, maman qui n'a pas le goût du sacrifice mais qui essaie de donner la vie de sa plus jeune aux loups, comme s'il y avait dans l'acte une part de sacré. comme si rose avait la valeur d'une hécatombe grecque et que leur (son) dieu allait accepter le sang de sa fille comme tribut. cela se demande parfois, au détour d'un songe, entre deux pensées, si maman fera toujours la même erreur ; si elle continuera à tirer sur les cordes que sa mère a tirées avant elle, si elle jouera le même air entêtant aux allures de lamentation. il n'y a de musical que l'histoire qu'elle se raconte quand elle joue la partition, persuadée de prendre la bonne décision. rose patiente ; rose attend. elle espère, souvent, que le simulacre de chanson prenne fin, que la dernière note soit jouée. mais maman ne perd jamais son souffle, c'est sa fille qu'elle asphyxie.

[ DADDY ISSUES ] papa absent, papa qui ne se montre qu'aux grandes occasions. papa qui était un bon père, fut un temps, avant qu'il rencontre la jolie secrétaire. maman ne pleure pas, mais parfois rose entend le souffle froid du regret dans sa voix alors qu'elle parle de son mariage. papa ne sait pas encore que tout le monde sait - même les grandes soeurs se doutent du manège. mais tout le monde imite maman, parce que c'est maman qui va perdre tout ce à quoi elle a consacré sa vie si ça se sait. alors on se tait. un autre secret que rose n'a de cesse de ravaler.

[ NOT A SAINT, BUT DO I HAVE TO BE ? ] maman qui force aux arts ; qui s'essaie à rendre plus désirable la poupée fissurée. elle l'envoie jouer du piano, lui apprend la chanson. immédiatement, le ton doucereux charme. elle a l'intonation des sirènes, rose, les notes délicates qui tombent inévitablement justes. quant au reste, tout échoue : le piano est un fiasco et le violon une perte d'argent. c'est dans la natation que rose se trouve un semblant de passion : les longueurs qui s'enchaînent à une vitesse folle, qui ne laissent ni le temps de la réflexion qui la possibilité de se masquer. elle n'est personne dans l'eau translucide, si ce n'est une silhouette gracile.

[ THE BLOOD ON MY TEETH BEGINS TO TASTE LIKE A POEM, LIKE RELIGION, LIKE THE WAY YOU LOOK AT ME ] the whore of babylon, gribouillé sur un snap de basse qualité qui suggère bien plus qu'il ne dévoile. la candeur des courbes sous une robe pastel ; les talons noirs qui rehaussent le teint hâlé. les cheveux au vent, boucles délicates qui cascadent et s'emmêlent entre les doigts de l'inconnu. les visages floutés se mélangent et s'oublient. on ne voit rien. on ne sait pas. mais le monde crie au scandale ; les yeux inquisiteurs d'une cour mécontente suivent les pas précipités de l'enfant-reine alors qu'elle agrippe de mains tremblantes le premier téléphone qui vient à sa portée. silhouette longiligne qu'elle se rappelle dégoûtée du contact physique ; les mains terribles de l'inconnu alors qu'elle essayait de le repousser, aussi gentiment et poliment que le veut la coutume. elle se souvient de l'avoir fait, catégoriquement, le goût âcre prenant d'assaut sa bouche rosée. mais il y a encore sur le coin de ses lèvres la surprise du baiser et sur son coeur le poids d'une promesse rompue. tous les regards ont la saveur amère de la providence s'abattant comme un éclair, et même si elle en convient que ceci n'est pas l'oeuvre de dieu ; elle ne peut s'empêcher d'y voir une punition divine. qu'importe - même le coupable, elle refuse de le blâmer. impossible de croire le sifflement qui se faufile de couloir en couloir, gagne chaque oreille comme la peste. le prince, qu'on dit. le prince. et bien sûr qu'elle voit la royauté d'abord ; il est soleil, theo, dans les couloirs du lycée. il est de ces rares personnes qui lui inspirent la haine de ce dieu qui interdit tant ; il fait parti de ces choses brillantes, précieuses qu'elle voudrait pouvoir toucher, qu'elle voudrait siennes. theodore. ça susurre comme une menace, contre sa nuque, le long de sa mâchoire, frôle ses paupières et gagne ses lèvres comme un baiser empoisonné. theodore. s'il faut un serpent pour gâcher eden ; alors il provient de la cour du tyran, et ça s'assure en de murmures jonchés de preuves accablantes que c'est sa cour qui aurait pris la photo de cet instant malheureux. une vendetta que rose refuse, bien sûr ; la foi innocente et terrible au nom d'une fascination enfantine, l'envie de toucher qui pardonne tous les méfaits. mais il en faut peu, très vite, pour que la douceur des premiers jours se fasse aigre : bientôt, il n'est ni fantasme ni rêve, mais tortionnaire. il est la voix qu'elle donnerait n'importe quoi pour faire taire. le soleil se couche à l'horizon ; ne laissant derrière lui qu'un crépuscule accablant aux allures de désespoir grandissant.

[ NOTHING KNOWS THE SOUND OF ABANDONMENT LIKE A HIGHWAY DOES, NOT EVEN GOD ] la voiture qui roule toujours trop vite et rose, rose qui somnole parce qu'ils rentrent tard, parce qu'elle a un peu bu, qu'oz lui a promis que ce serait bien, qu'elle s'amuserait, parce que maman n'était pas là et maman ne sait pas, parce que maman la pense chez lux et maman a déjà appelé. la voiture file et rose s'endort, rose s'envole, rose s'en va. c'est beau le monde quand on a la tête légère et les pieds qui flottent. elle joue avec les cheveux de lance, parce qu'il est juste à côté d'elle, elle pense que c'est lui, espère que c'est lui. elle chantonne la chanson de la radio, comme une mélodie d'avant, un air nostalgique, elle se souvient de toutes les fois où elle a rêvé de faire ça, d'être avec eux. la voiture file trop vite ; puis s'arrête. la radio continue de chantonner malgré le carnage. rose ne s'arrête pas elle non plus, les yeux à demi-clos. elle sait que quelque chose ne va pas ; ils bougent, ils s'élèvent, les portes s'ouvrent et le froid la prend à la gorge. elle a envie de pleurer, rose, quand elle entend beth. ça crie, longtemps. ça prend le téléphone et ça arrête. ça sort, puis ça rentre, le genre de va-et-vient qui met mal à l'aise, qui donne envie de vomir. ça veut recracher ses tripes ; ça murmure dans un coin de sa tête que rien ne va. et y'a quelqu'un, dans l'fond de la voiture, qui continue de chantonner la foutue chanson, comme un mantra, comme si les notes pouvaient s'étirer à l'infini et annuler le malheur. les respirations saccadées. rose qui n'arrête pas. la voiture qui repart ; la main qui retrouve les cheveux de lance, et ça chantonne, remplace une radio dont la chanson a pris fin, garde les yeux fermement clos. et la voiture file à nouveau, envers et contre tout, malgré le secret qui les a tous tués sur macadam rougi par le sang d'un inconnu.

pseudo/prénom - eve. âge/localisation - dix-sept, france. avis sur le forum -  patrick.  patrick. . où l'avez-vous connu - bazzbazz. autre - j'préviens juste que j'suis en internat, donc si jamais l'internet me lâche... well vous connaissez la chanson.  wtf.
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MessageSujet: Re: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. EmptyDim 16 Sep - 15:48

yes. yes. yes.
NOTRE ROSE
ce début de fiche
ces lignes sont une merveille
c'est si beau
ça promet de la pure perfection
bienvenue princesse white heart.

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MessageSujet: Re: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. EmptyDim 16 Sep - 15:55

je plussoie ma soulmate yes. yes.
c'est beau wtf.
ce début de fiche me transporte alors que t'as à peine commencé
ça annonce la couleur mec bizarre.
la plume mamma mia well. well.
t'es déjà tout ce qu'on attendait wesh.
je réponds à ton mp soon lil' heart.
je t'envoie plein de de love hehe. draw. bienvenue draw.
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MessageSujet: Re: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. EmptyDim 16 Sep - 16:19

Ce début de fiche. well.
Bienvenue par ici. I love you
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MessageSujet: Re: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. EmptyDim 16 Sep - 17:02

bienvenue et bon courage pour ta fiche I love you
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MessageSujet: Re: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. EmptyDim 16 Sep - 17:14

Citation :
c'est beau l'adolescence quand c'est sale, quand ça crache, quand ça viole toutes les lois de la terre dans l'espoir de toucher ce qui est sacré.
ok je veux te garder pour toujours c'est officiel
ce début de fiche est superbe well.

à moitié espagnole par dessus le marché,
dios mío la voie royale vers mon corazón timide.
bienvenue chaton -- t'sais pas dans quoi tu t'embarques angel.
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MessageSujet: Re: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. EmptyDim 16 Sep - 17:30

bienvenue à la maison, amuse-toi bien hug.
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MessageSujet: Re: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. EmptyDim 16 Sep - 17:54

CE TITRE
WOUUUUAHAHAIDIZKDKAASOZJSKSLQMQOSJDBZKZ
JE CHIALE
#RIPLIAM2K18
BIENVENUE LA PLUS BELLE!!!!
patrick. patrick.
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MessageSujet: Re: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. EmptyLun 17 Sep - 21:37

merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii,
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(pour tout le monde à la fois bc j'suis une flemmarde.) mais bisou sur vos deux joues. patrick. j'espère que le produit final va vous plaire.  please.
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MessageSujet: Re: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. EmptyLun 17 Sep - 21:40

je suivais ta fiche au fur et à mesure
rose est parfaite
ta fiche est parfaite
ta plume j'en parle même pas
j'ai beaucoup trop hâte de vous lire toi et théo
je sens les rps à se damner mec bizarre. mec bizarre.

(je réponds à ton mp soon draw.)
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MessageSujet: Re: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. EmptyLun 17 Sep - 21:45

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well.  well.  well.
alors apparemment je dois ramener ma fraise ici.
ok, en fait tu voulais m'achever, c'est ça?
c'est pas possible d'écrire si bien
cette fiche est sublime de la première à la dernière lettre
non mais, rose, je l'aime tellement
draw.  draw.  draw.
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MessageSujet: Re: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. EmptyMar 18 Sep - 12:41

cette plume, c'est tout doux draw.
je l'ai dévorée cara.
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MessageSujet: Re: MAYBE I DREAMT YOU.   MAYBE I DREAMT YOU. Empty

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