| Sujet: feeling myself (sky) Lun 24 Juin - 19:08 | |
| skylar rheon " kitty on pink, pretty on fleek "
nom complet - (skylar samuel sidney rheon) les s qui glissent sous la langue, lubie inexpliquée des parents. des trois il s’estime satisfait, prénom héritage de son ancêtre, qu’il chérit tous les jours. que dire d’une nom qui n’a pas d’encrage précis, une signification perdue depuis des décennies et qu’il porte comme un autre vêtement. surnoms - (sky) son prénom s’y prête bien, il a la tête dans les nuages, le ciel azur dans les yeux. son aura apporte une brise légère et apaisante. on l’appelle, le murmure, la facilité s’allie à l’identité, il s’y retrouve, surnom d’une mixité genré qui le fait sourire. une des raisons qui le fait adorer son prénom, le seul à remercier ses darons. lieu de naissance et âge - (nevada city – dix huit ans) les routes, les dunes et les forêts. les chemins, les rivières et les musées. il les connaît et pourtant les redécouvre à tous instants. sous la lumière ocre ou éclairé par les lumière artificielles, la ville change, l’horizon évolue et se transforme. sa jeunesse le laisse encore apprécier l’innocence du paysage. nationalité et origines - (usa, canada) il évolue dans une amérique sur le déclin, le drapeau devant la porte des voisins lui montre à chaque instant où il est, au cas où un oubli serait possible. bien loin du pays paisible et voisin de sa mère, venue aux states lors de sa jeunesse et n’est jamais repartie, ayant trouvé l’amour au bord du lac tahoe. à nevada city depuis - (toujours) classe à la rentrée 2019 - (twelfth grade) dernière année, celle qui termine, qui détermine. qui devrait tracer le chemin vers l'avenir. lui y va avec le sourire, l'envie d'une nouvelle aventure, de quelque chose de nouveau. l'impatience et la curiosité de vouloir grandir et se découvrir. situation familiale - (fils unique, parents aimants) seul centre d’amour et d’affection d’un couple qui ont lutés pour avoir un enfant, des fausses couches, des occasions manqués et des blessures qui ne se referment jamais. après des années, il est venu, naturellement, comme un miracle, comme si de rien n’était. Faisant son entrée comme le futur drama queen qu’il sera. situation financière - (modeste) vivre d’amour et d’eau fraîche, une utopie que peu de personnes peuvent réaliser. on ne manque de rien chez les rheon, de la nourriture et des sourires, c’est la plus value de la famille. des envies, des caprices, on travaille pour l’obtenir. il aide parfois, lorsqu’il veut se faire plaisir, au restaurant de ses parents. statut civique - (célibataire) seul mais pas solitaire. il profite, attire sans chercher. son cœur romantique aimerait s'accrocher à quelqu'un. être connecté à un autre être qui vous regarde comme une pierre précieuse que l'on garde en trésor ultime. orientation sexuelle - (pan) le cœur au creux de la poitrine, il le donne à l'essence de la vie. à l'aura et au simple toucher d'un autre. il s'attache et s'enivre des êtres hypnotisant qui arrivent à capter son attention. le cœur random. traits de caractères - souriant, optimiste, rêveur, réfléchir, philosophe, curieux, un peu méfiant, têtu, fier, tactile, bavard, charismatique, maladroit, secret, impatient, joueur, enfantin, indépendant, romantique, passionné, protecteur. avatar - (brandon flynn) groupe - (silver) | | matière préférée - (anglais, langues) parler et communiquer, c'est ce qu'il sait faire de mieux. la soif d'apprendrait fait qu'il toucher à tout, tout l’intéresse. mais là où il excelle, c'est écrire, il crache ses mots et ses pensées sans queue ni tête. déversant les idées farfelues que son esprit lui prodigue. sport préféré - (basketball) seul moment où sa maladresse ne lui fait pas défaut. il se délecte de jouer autant que de regarder un match. souvenirs de soirée en famille devant la télé, criant devant les équipes de nba. livre préféré - (le corbeau de edgard allan poe) contraste étonnant du sombre dans son univers si coloré et joyeux. l'écriture mélancolique et torturé le fascine au plus haut point. il ne sait le décrire, il admire la douleur et que l'auteur à réussi à laisser ses tripes sur le papier. artiste préféré - (banksy) artiste engagé, il suit tout ce qu'il se passe autour de l'artiste. des pièces inestimables. friand de tout ce qui peut fait réfléchir le monde. marque de vêtement préférée - (asos marketplace, dollskill) beau bordel de mélange qui décrit sky, entre vintage, jean et vieille veste de caractère. puis il y a les plateformes psychédéliques, les fourrures et harnais. entre paillettes et chaines. polo et jupe. jour et nuit. marque de ton téléphone - (iphone x) self cadeau d'un noël passé, envieux des possibilités, des photos, produit de consommation, il a craqué. réseau social préféré - (instagram) l'inspiration à l'état pur, il aime s'y perdre pendant des heures, découvrir des personnes, des œuvres, des images à couper le souffle. jeter un œil dans l'univers de chacun, la créativité contagieuse. |
— teen attitude, teen problems.non binaire he/his pour ceux qui ignorent they/them pour ceux qui savent poufsouffle flamboyant enfp-a inspirateur verseau indépendant aura lueur cyan drogué aux nuageskeywords : de l’encre sur le coin des doigts, des miettes de pain dans le sac à dos, des débardeurs, des paillettes, la douceur des tissus, dentifrice extra white, bibliothèque de philosophe, l’odeur du papier, talons de 12cm, les notes du téléphone remplie de phrases et de mots, les yeux qui se plissent, people pleaser, rêveur lucide, arc-en-ciel, lunettes de soleil, plumes et perruques, bertha la voiture, verres qui cassent, néon, autocollant chatons, polaroids collés aux murs, rose kawaii, nuages dans un ciel clair, du jean du jean du jean, poupée pastel, vieilles adidas, gloussements, chiot, tournesol, pinceaux de maquillage, drapés grec, ballons d’anniversaire, avions en papiers, post-it en cœur, romcoms à deux heures du matin, trente six stylos au fond du sac.-------------------- - disclaimer:
sky est non-binaire, pour le bien du rp et parce que la langue française est à chier n'a pas de pronom commun défini répandu pour les non binaire, j'utilise les pronoms il/lui, notamment parce qu'à part quelques personnes de confiance, personne n'est au courant
jambes croisées sur la couette, le dos arrondis et le carnet sur les genoux. les griffonnements de crayon à papier saccadés sont les seuls sons présent dans la place. on tend l’oreille, de la musique et une discussion douce résonne au rez de chaussée, ambiance reposante et sereine qui fait l’identité de la maison et de ses résidents. l'esprit occupé à trouver les mots, la tête qui tangue de droite à gauche, la lèvre mordu à outrance dans l'intensité de la concentration. sky, la tête dans les nuages, les nuages dans la tête. un sourire se glisse sur son visage, automatisme charmant alors qu'il écrit frénétiquement. il recule, observe son oeuvre. son nez se plisse d'euphorie et de satisfaction. brandissant son carnet en l'air, eurêka. il glisse de son lit en roulade arrière, des bras et jambes dans tous les sens. il déchire la feuille de papier et la plie soigneusement. des années d’entraînements. la fenêtre grince, trop peu souvent malmenée, elle reste ouverte, offrant un chemin d'air vers le paradis. la chambre de la maison voisine. celle d'eugen. la tête bouclés avec qui il partage ses idées fantasques et loufoques. se penchant plus que de raison au bord du vide, il se concentre. attention.. shoot... goaaaaaal. yes ! les bras en l'air de victoire, maladresse le remet à sa place, sa hanche percute le coin de son bureau. aaargh, putain. pourtant le sourire reste à travers la douleur, excité du mot qui maintenant n'appartient qu'à eux. il pourrait y passer des heures. cracher ces mots juste pour faire gonfler le cœur d'eugen. de faire transpirer cette amour que sa simple existence lui apporte. impensable idée de pouvoir exister sans cette relation qui relie leur esprit au plus haut niveau. pure connexion plus que romantique ou corporelle. you come this far to be acknowledged only i can see you look through you you let me stroke your soul touch starved from it this special allowance cherished from childhood how, oh how can we walk, talk, love and live to that unique space we created just for us impenetrable place one i can admire for hours long beyond dark and closed windows
(je sors, text me) on dévale les escaliers. la précipitation et l'énergie manquant de lui faire manger le sol. en bas on converse, on chantonne. ses parents, prient dans une danse culinaire qu'ils exercent depuis des décennies. coupe, riens, goûte, un bisou prit à l'envolée, et on recommence. sentiment envieux surgit à chaque fois à la vue de cette bulle d'intimité. je vais sortir ce soir, je vais juste manger un truc vite fait. il a perdu l'habitude de demander, l'approbation est constante ici. on fait confiance, les soucis ont les surmonte avec un sourire et une discussion autour d'une tasse de thé. sa mère se retourne avec un sourire et une étincelle dans le regard. elle lui tend une assiette préparée avec deux wraps digne d'un restaurant qui l'attend, joliment présenté. avec le temps que tu as passé dans la salle de bain je m'en doutais alors j'ai pris les devant. elle arrive encore à le surprendre, le faisant sentir comme une des merveilles du monde. il la serre de gratitude, lui embrassant le visage à multiples reprises d'une rapidité surprenante, étouffant ses rires. merci, merci, merci, merci. il commence à dévorer avec ferveur les mets, le fessier sur le comptoir de la cuisine. baignant dans l'atmosphère de douceur que ses parents arrivent à constituer sans effort. son père se retourne vers lui à son tour, ouvrant la bouche, mais finalement ne dit rien, ses yeux distraient, le regardant de haut en bas, les sourcils froncés. quoi ? quoi ? j'ai une tâche ? la bouche pleine, sky regarde sa tenue, cherchant avec insistance un défaut dans ses vêtements qu'il a prit soin de choisir. jean noir moulant taille haute, crop noir à trous soigneusement placés, veste courte à fourrure couleur pêche. il peut même voir en périphéries les reflets pailletés de ses pommettes. non mais.. tu vas réussir à conduire avec ça ? le regard descend sur les chaussures de son père pointe du doigt. ses nouveaux bébés. les rainbow rave royalty qu'il vient de s'offrir de dollskill. douze centimètres de talons de beauté et d'extravagance. n'écoute pas ton père, il est aigri parce qu'il pensait que tu allais prendre les rainbow soul stomper et qu'il me doit 20 dollars. le rire de sky écho dans l'espace alors que son père tire la langue puérilement dans le dos de sa femme. scène typique pour eux, il se délecte de la situation, remerciant le ciel de lui avoir donner des parents qui le guide, le soutient et accepte la personne qu'il est. pseudo/prénom - cosmo, aka vanessa pour les intimes. âge/localisation - vingt-trois ans, en normandie, une vache parmi les vaches. avis sur le forum - comme je l’ai dit dans la recherche de liens, c’est une petite merveille, une pépite. où l'avez-vous connu - sur bazzart. autre - aimez moi (je cherche encore un lien familial au cas où) . |
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