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 c h a o s - (lenvum)

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Volk Meyer
Volk Meyer
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MessageSujet: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptyMar 1 Oct - 12:16



volkan meyer
your mother was cheaper

nom complet - (volkan) ça sentirait presque le sapin et les meubles chiants à monter, héritage involontaire d'un père dont on ne veut plus dans sa vie, dont on crache la ressemblance tous les matins dans le miroir de la salle de bain. explosif petit nom qu'il a démembré, parce que ça transpire, ça suinte d'une vérité qu'il ne veut surtout pas, l'instabilité portée dans un prénom, vérité à la vue de tous, caractère dangereux derrière ses airs endormis, la lave au bout des doigts. ça chante pas, c'est pas doux en bouche, ça oblige la langue à claquer contre le palais, c'est le premier effort d'une longue liste si on veut le fréquenter. (meyer) banalité aux consonances qui se perdent entre les élans germaniques et les élans nordiques dont il se débarrasserait volontiers. surnoms - (volk) comme un prénom incrusté maintenant, un raccourci plus flou, qui ne veut rien dire, qui provoque un point d'interrogation dans les esprits vierges, qu'on pourrait presque muter en volt pour cette énergie qui le précipite dans toutes les conneries du monde. toujours in, volk la volt. ça se gueule de loin dans la rue, ça se grogne à l'oreille, une seul syllabe qu'on peut lâcher quand bon nous semble. c'est devenu son identité pour tous, à croire que le vrai surnom original reviendrait à l'appeler volkan. lieu de naissance et date de naissance - (1er octobre) la nuit fraîche, le jour qui tombe, l'odeur des pumkin pies. dégradé orangé qui bave sur un gamin de l'automne. ça craint d'être de la fin d'année, toujours en décalage avec ses camarades de classe, jamais le bon moment de l'année pour fêter son anniversaire, coincé entre la rentrée et halloween.  nationalité et origines - (americo-néerlandais) maman est un pur produit américain, délicatement banale, usée par les années, joli visage qui n'aurait pourtant jamais pu prétendre gagner un concours de beauté ou être reine du bal de promo. papa possédait du sang des lointains pays froids, du côté maternel, lointain souvenir qui pourtant imprimé dans le patronyme du gosse. à nevada city depuis - (toujours) embourbé dans son quartier avec la conviction qu'il n'en bougera pas, que tout au mieux il se décalera d'un pâté de maison, deux tout au plus, ascension sociale dont il a rien à foutre, pourtant c'est pas faute de savoir se débrouiller, de savoir trouver du pognon, de pouvoir le mettre de côté. mais c'est sa zone de confort, il maîtrise jusqu'à la moindre particule de son quotidien dans des rues qu'il pourrait redessiner de mémoire derrière la toile de ses paupières closes. beaucoup crachent sur cette ville, lui l'apprécie comme un terrier sans classe qui dégueule le home sweet home qu'on le veuille ou non. classe à la rentrée 2019 - (12th grade) joliment retapé, parce que ça lui en touche une sans faire bouger l'autre, il oublie parfois d'aller en cours, et quand il est là il pense plus à rire, à jeter un bras autour des épaules de sa girlfriend, acte de présence en dilettante. situation familiale - (disloquée) atome de chaos volkan qui a précipité la famille au fond du trou, même si elle était déjà en mauvaise posture. le voir lui, la main portée sur une cuisse que lui chérissait, les doigts qui affirment une possession au de-là d'une figure paternelle et qui exsudent un désir malsain. il l'a vu dans son oeil. lubrique. il l'a sauté, pas qu'une fois. papa surpris en bien mauvaise posture avec cette fille qu'il aimait un peu plus qu'une banale meilleure amie. plaie béante dans le corps nécrosé d'un couple déjà condamné à mort. alors il s'est tiré, ou elle l'a foutu dehors, il a jamais trop su, préférant se tirer pendant des heures entières dès que le ton montait entre mommy et daddy. alors y'a plus que lui et elle, et ça tient à un fil, parce qu'il est pas des plus présents volkan, toujours fourrés ailleurs, à fuir sa réalité qu'il trouve bien trop pesante. à pas supporter ses regards maternelles, emplis de tristesse et d'inquiétude, parce qu'elle lit en lui. elle lit le fiasco imminent, les mauvais choix, l'obscurité cousue comme un linceul au dessus de la tête de son fils.  situation financière - (insoupçonnée) dans la version officielle c'est pas le pérou mais c'est pas non plus les bahamas, maman infirmière avec son salaire un peu juste qui assure tout à la maison, papa qui de très loin verse une maigre pension, les deux cumulés qui permettent une vie normale, de se sortir du cercle vicieux qui consiste à compter ses centimes à la supérette pour ne rien perdre. dans la version officieuse ses mauvaises idées lui rapportent du pognon. touche l'argent des deals de la bande, ne refuse jamais rien qui pourrait lui faire gagner un peu plus mais le moindre dollar gagné il le garde pas pour lui, jar précieusement remplie pour sa vee. pour l'aider elle. sa famille. ses galères. trop amoureux pour songer à faire de l'épargne pour lui-même à défaut de s'offrir des chances à l'école. statut civique - (hers) jolie poupée qui capte le moindre de ses coups d'oeil, elle est beaucoup trop douce, beaucoup trop fragile pour lui et il sait qu'un jour il la bousillera, comme tout le reste, corps gracile entre des doigts qui sont plus doués pour démonter les pièces d'un moteur d'une bagnole volée que pour écrire une belle histoire, mais c'est pourtant bien la sincérité qui flotte dans le fond de sa pupille quand il lui murmure qu'il l'aime comme un fou. orientation sexuelle - (ses courbes à elle) se contrefout des histoires de sexualité, il ne jure que par elle, son parfum, le velouté de sa peau, la douceur de ses cheveux qu'il caresse quand tout va mal. n'est en émoi que face à son corps à elle, prêt à vendre son âme au diable pour qu'elle lui offre une étreinte, le reste il l'a oublié. traits de caractères - (provocateur) agitateur né, qui adore pousser les autres, d'une langue trop taquine, espiègle gamin qui se joue des limites, les frôle, les chatouille. (inconscient) il est con, volk, lorsqu'il s'agit du danger. il oublie qu'on a qu'une vie. il oublie qu'il est mortel. il oublie que les choses peuvent être grave. mais non, tranquille mon pote, tout va bien se passer. c'est pas dit. (loyal) à en crever. il pense n'avoir qu'une seule parole et s'y cramponne avec un dévouement sans égal. s'il s'engage, il s'y tient, peu en importe le prix, prêt à faire passer le reste de la bête avant tout le reste. (serein) y'a rien qui l'affole volk. il a un sens inné de la décontraction, à ne monter dans les voltages que si on provoque la bête, la pince, la bouscule. flegme apparent, force tranquille qui ne dissimule aucune réflexion intellectuelle mais juste un goût immodéré pour la tranquillité. (branleur) la paresse assumée, la clope qui vacille au bord des lèvres, le corps relâché dans un canapé défoncé. chiller au milieu de la planque, écoute les mecs discuter, échanger des rires gras. à toujours tirer au plus court, au moins fatiguant, un sens affolant de l'économie d'énergie. avatar - jannik schümann. groupe - silver4life.
matière préférée - (aucune.) cancre en puissance qui préfère se toucher plutôt qu'ouvrir un livre de classe. chaque cours l'ennuie un peu plus que le précédant, il ne sait pas ce qu'il fait encore au lycée, à s'astreindre à tenir son cul sur une chaise alors qu'il pourrait faire milles choses plus intéressantes. sport préféré - (athlétisme) time is running free. il a besoin d'avoir le feu qui ravage le poumon, frapper l'asphalte à une cadence régulière, avoir la bonne détente pour le saut en longueur, habile sport qui demande de mobiliser de nombreuses qualités et on ne va pas se mentir, il s'est toujours dit que lorsqu'on trempait dans des trucs dégueulasses, mieux valait savoir courir vite et bondir avec un peu d'agilité. flic oblige.  livre préféré - (beg you pardon?) il lit pas volkan, ou bien si, l'arrière des boîtes de céréales, les manuels de mécanique, potasse l'automobile, essuyant ses doigts sales sur son t-shirt pour tourner une page en insultant les connards de constructeurs de bagnoles, tous des rats. mais les romans, pas connaître. la poésie, pas connaître. le théâtre what is this shit.  artiste préféré - (two feet) ça vibre, ça balance, avec un rythme à faire dresser les poils, il peut s'abandonner à une écoute solitaire, entièrement relâché, serein. heureux. marque de vêtement préférée - (loin de lui les magasins) ça le fait chier volk d'arpenter les allées, il voit rien, dans ce magma de tissu, rien qui l'emballe, et puis il se dit qu'il a mieux à faire mais l'époque où sa mère pouvait faire du shopping à sa place est révolu depuis longtemps alors il compte sur vee, il la laisse choisir pour lui, se contente d'être le mannequin et le portefeuille, qui la suit sans piper mot. si elle était pas là il serait bien emmerdé de devoir se souvenir dans quel magasin aller. marque de ton téléphone - (xiaomi) parce qu'il s'en cogne d'avoir un iphone, parce que tant que ça prend des photos et envoie des messages tout va bien, parce qu'il emmerde la société dorée qui ne jure que par la pomme, et parce que ça lui fait toujours économiser un peu de pognon de ne pas lâcher le fric qu'il gagne dans un gadget comme un téléphone portable. réseau social préféré - (snapchat) c'est marrant d'envoyer des photos de merde qui ne resteront pas, parce que lui il a pas la fibre insta, il a pas l'aesthetic qui vibre au fond de lui pour savoir quand prendre une belle photo, au mieux il utilise ses deux yeux pour voir, au pire il remarque rien à la beauté.

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Uriel Hillstorm
Uriel Hillstorm
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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptySam 2 Nov - 11:43



uriel hillstorm
éphémère déliquescence de l'âme

nom complet - il faut préparer sa langue à ne connaître aucun repos entre les deux syllabes. ( uriel ) si peu de lettres et autant de danse labiale pour éviter de marquer un ronronnement qui n'aurait pas sa place dans un prénom envolé. pas le genre facile à cracher sur le bitume, qui se ulule bien mieux qu'il ne peut prétendre être grogné dans un reproche. pourtant, ce n'est pas ce qui manque, les reproches. ça provoque l'incompréhension et ça lui va si bien ce questionnement permanent tapi jusque sur le bout de la langue. ( hillstorm ) banalité américaine sans fard qui n'apporte rien si ce n'est la possibilité de réduire l'humain à une appartenance familiale de sang, annihilant toute personnalité. mais ça s'oublie encore plus vite que ça ne pourrait couler de lippes aux accents de rue. surnoms -  ( u ) miroir, jeu de cache-cache entre lui et les autres, l'ironie d'un surnom qui se voudrait appropriation et accointance qui ne renvoie au final qu'à l'impersonnalité du you homonyme (et anonyme). âge - ( dix-huit ) le compte à rebours qui commence vers le précipice de l'âge des responsabilités, de la vie d'adulte, de l'indépendance, des préoccupations triviales, de l'attendue maturité alors que lui préfère se précipiter vers l’ineffable monde chimérique qu'il entretient avec plus d'amour que de raison. nationalité et origines - trivialement ( américain ), même si le seul arbre qui a jamais pu attirer son attention c'est celui qu'il aperçoit à l'extérieur depuis sa place en cours de littérature. la généalogie s'arrête soigneusement à la vague connaissance de grand-parents portés disparus depuis le commencement, comme si les Hillstorm n'existait que sur deux générations, et avant ça le n é a n t  à nevada city depuis - ( la préface ) origine ni fière ni douloureuse, il est enfoncé jusqu'à la gorge dans son southside depuis le premier vagissement. il en connait le moindre défaut du bitume, jusqu'à la mauvaise herbe persistante contre le flanc de l'immeuble grisé. paradoxe extrême de celui qui pourrait connaître chaque visage de la ville et continue pourtant de la parcourir comme un étranger, la pupille qui n'accroche jamais tous les faciès sans intérêt de nevada. qui sont ses camarades de classe ? aucune idée. le nom de la fille de l'épicier qui a grandit et a fait toutes ses classes avec lui ? mystère et rien à foutre. classe à la rentrée 2019 - ( ultime pénitence ) dernière année d'une présence fantomatique, l'ennui profondément logé dans un regard qui se perd plus souvent par la fenêtre que sur le tableau, à rêver d'autre chose. perdu dans un monde invisible, rythmé d'une musique que lui seul entend, il a les pleines capacités pour briller mais n'en fait rien, inadapté du système qui passe pour un gosse limité alors que tout ce qui borne son esprit c'est son ennui apathique.  situation familiale - ( déchirée ) parce que sa vraie famille n'a aucun rapport avec le sang ou tout au moins, pas celui qui parcourt ses veines quotidiennement mais peut-être bien celui qu'il a eu sur les mains sans le désirer. cinq, comme les doigts d'une main, qui suffisaient à faire son monde, sa vie, égoïste et exclusif à en crever. et c'est ce qui s'est passé. m o r t. l'union entachée de la disparition de sufjan. la "famille" comme absorbée dans une abysse qu'ils n'avaient pas vu venir alors qu'ils auraient du. aucune mère et aucun père ne peut faire le poids, vagues figurants dans un script qui ne tourne autour de ceux que le destin a réuni, et face auxquels la filiation parait bien obsolète comme concept. situation financière - ( inconscient de la précarité ) sujet aussi trivial que le pognon, ça n'atteint pas un gosse détaché de la lune. le sujet ne tombe jamais entre le plat et le dessert, question d'adulte épargnée à des oreilles qu'on considère trop jeunes, mais la vérité c'est qu'il s'en fout. il n'envie pas les maisons qui dégueulent l'argenterie et le parfum d'ambiance au nord de la ville. sa maison à lui c'est les autres. et il n'y a pas plus merveilleuse terre d'asile que leurs cœurs à l'unisson. statut civil - ( en couple avec son affliction ) jamais possédé par le besoin intrinsèque d'appartenir amoureusement à quelqu'un il crache sur cette manie toute adolescente, course à la love story écœurante et écœurée, avortée à peine initiée. incapable d'éprouver autre chose que ce bouillon étouffant, soupe de sentiments glacés.  orientation sexuelle - ( dans d'autres galaxies ) indifférent à la question qui semble tout droit tirée d'un livre de sciences et vie de la terre qu'il aura pris le temps d'engloutir comme n'importe quel autre ouvrage, ne s'intéressant, à l'occasion, qu'à la douceur des lippes sans y tremper beaucoup de sentiments. qu'importe la nature de l'ivresse pourvu qu'elle chasse le tourbillon permanent de réflexions. n'est pas encore genrée la personne qui saura trouver l'interrupteur pour faire disjoncter l'esprit qui galope avec frénésie.  avatar - otto seppalainen. (ai-je seulement réussi à l'écrire ? oui. est-ce que je suis vraiment sûre de l'orthographe ? mh no.) groupe - argenté 'til the end of times
matière préférée - ( skipping school ) parce que choisir ça serait s'intégrer au groupe de weirdo qui brillent sur le classement des meilleurs élèves et c'est tout ce qu'il fuit. la logique en béton armé lui confère quelque préférence fade pour les sciences mais ça le laisse désinvolte, l'air neutre du passager clandestin pleinement conscient de sa situation et de la précarité de sa réussite s'il ne dose pas un peu mieux son indifférence. sport préféré - ( jeté et cabriole ) ne méritent de savoir que ceux qui ont un passe-droit sur l'intimité fragile et farouchement protégée. livre préféré - ( à rebours j. k. huysmans ) lu un jour par un exchange student à l'indéniable mine arrogante, ça a chatouillé la curiosité parfois trop détachée d'un uriel en manque de palpitation. c'est au final la richesse des mots qui fascine, la cascade mirifique qui fait appel à chaque sens isolé.  artiste préféré - ( bach ) inavouable petit secret qui dénote avec le quartier, les origines où les bases qui peuvent vibrer en soirée, il se perd dans les concertos pour violons jusqu'à être englouti par les trémolos dont le nourrit son casque, l'excès poussé au point de capter la respiration du violoniste calée comme une science complexe à partition précise.  marque de vêtement préférée - ( sans style ) opportuniste qui a longtemps laissé sa mère acheté les fringues sans imposer la moindre volonté parce qu'il en a strictement rien à foutre - et qu'elle aussi. la banalité d'un t-shirt basique fait aussi bien l'affaire. pas assez de fric pour avoir l'outrecuidance de préférer une marque plutôt qu'une autre, et pour quoi faire de toute façon ? marque de ton téléphone - ( apple ) comme la plupart des adolescents américains, qui au delà de téléphone sert à l'occasion de marque page ou d'objet d'expérience de la gravité. l'écran pour seul témoin d'un manque de délicatesse et de soin flagrant, étoilé comme le fond de l'âme mais toujours en fonctionnement - c'est tout la beauté du défaut. réseau social préféré - ( leurs yeux ) trop loin des hashtags qui ne lui font aucun effet, profondément stoïque et condescendent au like putaclic, ignorant de la codification d'un bon tweet, il avise d'un oeil las ces doigts agrippés à des applications qui vidangent leurs propriétaires de toute étincelle de vie et d'intelligence.  

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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptySam 2 Nov - 11:44



ez(echiel) merrill
currently trusting god like

nom complet - tu pourrais réciter à l’envers le livre de mormon pour expliquer ton prénom si seulement quelqu’un en avait quoique ce soit à foutre. ezechiel, comme le prophète parmi les exilés de babylone, comme celui qui était issu d’une famille de prêtre. comme par hasard, comme toi, la blague. choix exclusif de ton père, qui de toute façon ne laissait pas son épouse ouvrir la bouche. c’aurait été une fille les choses auraient peut-être été différente, mais un garçon appartient forcément à son père. elle elle aurait préféré un truc plus passe partout, plus facile à écrire, parce que bonjour le fléau de tes premières années de scolarité, quand tes petits copains apprenaient à écrire jake ou louis, toi t’avais huit putains de lettres à aligner. rien de très intuitif.  merrill, l’héritage sans fard d’une petite famille américaine banale, extirpée de son utah natal, là où les forêts ne connaissent aucune limite. t’as aucun malaise, mais aucune fierté non plus à donner ton patronyme. pour toi ton père c’est juste le mec de la paroisse, ça ne peut parler qu’aux croyants et c’est pas au lycée que tu vas t’en vanter.  surnoms - ta mère t’appelait mon canard mais franchement c’est pas un truc dont t’es très fier et que tu proposes à tes amis. la plupart du temps c’est ez, parce que la terre entière semble avoir un énorme poil dans la main quand il s’agit des prénoms qui dépassent trois syllabes.  tu t’en fous dans le fond, t’es pas contrariant. ez, ezy, ezra, ezechiel, tant qu’on t’appelle pas le prophète t’as même pas un sourcil qui se lève. mais pour t’appeler comme ça faudrait avoir un minimum de culture religieuse et c’est pas franchement le genre de tes amis.  lieu de naissance et date de naissance - ici mon capitaine, dans le lit de ta mère. mh ça sonne un peu dégueu là comme ça mais c'est la vérité et tu manques de t'étouffer à chaque fois que ça arrive sur le tapis, parce que t'as aucune envie que tout le monde sache à quel point tes parents peuvent être spé' quand ils s'y mettent. avec un mois d'avance, comme si t'étais pressé de vivre alors qu'en fait à bien y réfléchir la vie c'est pas si marrant que ça. enfin en tous cas rien de ouf. enfant désiré, attendu, supplié, petit prince de l'automne, t'as redonné espoir à ta mère qui pensait ne jamais pouvoir donner naissance, et qui a cru jusqu'au bout qu'elle te perdrait parce qu'elle est maudite. au final t'es là, t'as deux bras, deux jambes, un cerveau fonctionnel, miracle aux yeux d'un bleu perçant. nationalité et origines - pas chez toi qu’on trouvera un soupçon d’originalité, tout ce qu’il y a de plus américain, sans exotisme, sans paillettes. juste américain moyen. Un père extirpé aux forceps de salt lake city dans l’utah, à plus se souvenir depuis combien de générations sa famille campait là-bas. quel accent dégueulasse il en a ramené. et ta mère, douceur moderne tout droit importée de sa belle angleterre, qui t’offre de son sang anglosaxon pour alléger toute la lourdeur américaine. ca fait toujours une bonne excuse pour se barrer au pays de la reine une fois par an pour des vacances. pas que la famille de ta mère soit moins mormone que ton père, mais au moins avec eux t’es tranquille, ils risquent pas de te marier, c’est pas leur oignons vu que t’es exclusivement le fils de ton père de l’avis de tout le monde.  à nevada city depuis - ta naissance. ca commence à faire long de ton point de vue mais bon dix-huit c’est rien dans une vie et t’y passeras sans doute encore un temps certain tant qu’on te fout la paix. parce que clairement t’es pas de ceux qui iront faire des entrechats à yale l’année prochaine.  classe à la rentrée 2019 - senior year, avec un an de retard, car tout le monde comprendra que t'as redoublé ta première classe avec ton putain de prénom à savoir écrire non ? bon, la vérité c'est que t'es redoublant de ta dernière année parce que tu planes de plus en plus - et sans drogues messieurs dames. allô la lune, connecte ez, sinon c'est ton père qui va te donne le branchement terre et ça risque de faire une sacrée décharge. mais si tu dois tout confesser, tu pourrais bien avouer que tu fais exprès de jouer l'imbécile, car tant que t'es au lycée tout le monde te fout la paix et on attend rien de toi de particulier. mais après qui sait ? alors tu t'applique à n'écouter que d'une oreille vague, foirer par ci par là des exam'. c'est pas joli joli ça, ça serait peut-être même un pêché nan ? ferme les yeux, n'y pense pas trop fort. situation familiale - vous tenez vraiment à mettre les pieds là dedans ? vous voyez les autocollants immondes sur les pare-brises arrières, avec des petits bonhommes pour symboliser chaque membre de la famille ? eh bien communément, quand on en voit un avec des enfants à plus en finir on rigole en disant, tiens voilà une famille de mormons. parce que clair que la contraception ça fait pas parti de la volonté de dieu alors agrippe toi à tes ovaires chérie, ça peut piquer. en vrai c'est pas ton cas ez. maman est mal foutue, c'est peut-être ce qui rend ton père aussi con avec toi. dans le fond tu te dis que dieu la protège à sa façon en lui faisant enchaîner les fausses couches. ça n'a pas empêché de donner deux filles après toi, mais en général dans la communauté les familles sont plus nombreuses que ça. beaucoup plus. maman fantôme délicat, rose dont personne d'autre que toi se soucie, papa avec la légèreté d'une enclume qui tombe du ciel. cartoon à lui tout seul. mais le divorce, franchement, ça existe pas. c'est une invention du monde moderne qu'aucun d'entre vous ne connait vraiment, ni ta mère, ni ton père, ni toi, ni tes soeurs. situation financière - tranquille. à se demander de quoi vous vivez vraiment parce que c'est pas l'église qui paye et ta mère son unique job c'est la maison et les marmots depuis le mariage à ses dix-sept ans. merde ça commence à faire long quand même ? mais c'est la magie de la communauté, des héritages, des secrets que personne n'ira divulguer et toi tu mets surtout pas ton nez dedans. de toute façon tu t'en fous t'es pas un flambeur, tu comptes vraiment pas cher. statut civique - grand dieu quelle question. t’as pas l’air comme ça, tu pourrais être un parfait loveur qui fait capituler avec une œillade d’un bleu limpide, un sourire sulfureux et un joli discours, mais non, t’es décevant jusque dans ton état de célibataire. pas du genre pratiquant de l’amour, tu préfères même pas savoir ce que ça fait parce que ça te terrifie. tu sais du plus profond de tes tripes que ça pourrait bien faire voler en éclat ta jolie image de fils parfaitement sage. que l’amour pourrait te rendre bien con.  orientation sexuelle - t’en sais bien rien ? comme si t’avais vraiment le choix avec un père à l’église. il est pas mauvais, ton géniteur, mais c’est pas la peine de lui parler de l’homosexualité si tu veux pas prendre une déferlante à coup de pêché, impur, contre-nature et tout le wagon. et ainsi de suite avec tout ce qui n’est pas hétérosexuellement rassurant. ajoute à ça ton droit d’être abstinent jusqu’au mariage, et voilà le constat bien creepy : ton père contrôle tout jusqu’à ce qui se passe dans ton caleçon. enfin pas dit que ça marche bien longtemps ces conneries, t’avais pas vraiment d’avis sur la question, tant qu’il te parle pas de mariage arrangé ça te va. le problème c’est que l’église prend plus de place dans ta vie que ton cerveau, et ça serait bien le genre de ton père de te marier à la première mormone pas trop moche – en priant pour qu’elle soit fertile, comme si c’était le critère numéro un bien avant ton bonheur. tu te promets que si ça doit arriver, tu feras tous les fonds de tiroir pour trouver le courage de te casser. enfin c’est ce que tu te racontes parce que jusqu’à présent t’as même jamais osé lui dire non quand il te demande d’aller balayer l’eglise ou une connerie du goût. on n’est pas rendu chaton.  traits de caractères - ton père est prêtre. putain prêtre, quelle loose. et de la meilleure des églises, celles des derniers jours, les mormons quoi. c’est génial, tout le monde passe son temps à les confondre avec les amish qui vivent encore avec leurs calèches et sans eau courante, le pied. ca a fait de toi un enfant sage. sage à en crever. tellement sage que tu ferais une superbe plante verte. le joli sourire qui creuse discrètement tes joues, toujours dans la mesure. tu quantifies tout, tout le temps. sauf ta putain de sagesse ennuyante, là, no limit. enfant de chœur qui s’est pas senti grandir, jamais un cri, jamais une bagarre. en vrai si on te demande de taper tu sais même pas comment t’y prendre avec tes grands yeux de biche écarquillés qui semblent hurler quoi de la violence ? connais pas. c’est fade, tellement fade. mon pauvre chat. t’es pas transparent, t’es sociable comme animal, souriant, le rire facile, à tout tolérer, mais franchement pas super marrant. faut pas compter sur toi pour brûler une bagnole ou sortir par la fenêtre en cours en criant go fuck yourself bitches. jamais une clope, je te parle même pas des joints qui te feraient paniquer parce qu’on sait jamais, quelque fois que dieu te voit hein. gardes-en toi. pas d’alcool, t’as même jamais trempé tes lèvres dans un verre, comme si t’avais peur que l’alcoolisme soit une maladie qu’on chope à la première gorgée. et puis pour les mormons, l’alcool c’est no way, tout comme tout ce qui pourrait créer une dépendance. la liste est longue. faudrait pas décevoir papa, pas vrai ? ingénu comme le dernier des agneaux du jour, t’es du genre serviable, trop serviable, celui qui se fait baiser la gueule par les autres mais oh jésus, tendre la deuxième joue et tout le tintouin c’est exactement toi. tu vois le mal nulle part. facile à vivre, t’accepte tout, n’importe quoi, n’importe qui, le bon pote qu’on peut appeler pour un déménagement, celui qui partage volontiers ses notes du dernier cours, jamais à faire la morale aux autres pour leur comportement déviant. bonne poire, le must have de la nullité en terme de personnalité. la vraie question c’est est-ce que tu dis rien parce que tu les respectes, ou est-ce que c’est parce que tu les envies à ta façon, coincé dans ton rôle d’enfant parfait ? ah si ton père savait.  avatar - luke powell groupe - born to be gold.
matière préférée - la question piège. t’en sais foutrement rien. t’es pas con pourtant, mais tu rêvasses quand même beaucoup trop en cours pour avoir des notes qui volent bien haut. ca fait câbler ton père, c’est clair, quand t’es là avec ta bonne tête d’innocent qui comprend rien à la vie à lui tendre ta petite moyenne. si tu faisais un effort tu serais clairement plus un littéraire qu’un scientifique, parce que t’es un sacré lecteur, la nuit dans ton lit, quitte à avoir les yeux fatigués le lendemain et les lettres de tes notes qui dansent devant ton regard lessivé. ca te transporte ailleurs. loin de toutes ces conneries familiales, et c’est clairement pas un mal.  sport préféré - t’aime bien ça le sport en général. t’es plutôt branché athlétisme, demi-fond, parce que tu aimes chercher la cadence, l’équilibre, sentir tes poumons qui prennent feu si tu décides de forcer, et puis ça se pratique seul la course. Presque sans personne. alors c’est une façon d’inspirer la liberté à grandes goulées, au son de tes baskets qui frappent le sol avec beaucoup trop de légèreté. ez, la biche. après t’es du genre bon public, tu refuses jamais une bonne partie de basket entre potes. t’es pas très bon, mais tu rigoles bien, alors on aime bien te prendre dans l’équipe juste pour ta bonne humeur – et puis aussi parce qu’on sait que t’es pas terrible pour tirer mais qu’on peut te faire courir longtemps sur le terrain avant que tu ne déclares forfait pour cause de fatigue. livre préféré - de sang froid, de truman capote, parce que ces dimensions psychologiques ça te fait friser, t’adore te perdre des paragraphes entiers dans la tête des personnages. tu l’as lu milles fois et et tu pourrais recommencer encore et encore et encore jusqu’à ce que les pages te restent dans les mains. ou après tu pourrais te perdre dans la poésie mais là t’as pas le courage d’aller l’avouer à qui que ce soit.  artiste préféré - tamino, trop de douceur pour ton grand corps, ça coule dans tes veines, nuage éphémère dans le fond de tes tympans, c’est ta drogue douce du moment, dealer gratuit avec spotify et c’est une vraie échappatoire dans ce monde de brute. marque de vêtement préférée - pardon ? t'as du bol, si t'avais eu un grand frère, ton unique marque de vêtement ça aurait été recyclage de l'aîné. mais tu t'en fous en vrai. plus branché friperie que haut lieu de la fast conso. tant que c'est simple ça te va. pas le moment d'aller se faire remarquer en enfilant une jupe sauf si tu veux tuer ton père et espérer un héritage rapide. marque de ton téléphone - de ton téléphone ez. de ton putain de téléphone que tu oublies partout, que tu perds tout le temps, du genre à le poser sur la table à la bibliothèque et repartir sans, parce que t'es plus déconnecté que connecté dans la vie. alors à force t'as arrêté de faire des frais en y mettant cher. limite du genre à posséder un vieux blackberry atroce quand tout le monde a oublié cette erreur de technologie. en vrai trump s'étranglerait avec ton téléphone chinois, un xiaomi qui t'a même pas coûté deux cents balles, et c'est bien assez vu ton absence de cerveau quand il s'agit de te souvenir où tu l'as posé pour la dernière fois. réseau social préféré - snapchat, parce que ça peut disparaître aussitôt vu et que tu sais que ton père te décalquerait ta race s'il apprenait que tu traînes sur les réseaux sociaux. il est bizarre sérieux des fois, vraiment pas ouvert, et faut pas tout imputer à la religion, non il y a aussi sa nature de vieil mule acariâtre. ça craint.
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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptySam 2 Nov - 11:44

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Nichola Walton
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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptySam 2 Nov - 11:45

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Madeline Price
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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptyVen 13 Déc - 19:02



madeline "maddie" price
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nom complet - l'héritage qu'on traîne du couffin au tombeau, elle le porte la tête haute sans avoir aucune raison de détenir la fierté, madeline. elle devrait le détester, ce prénom à la con que beaucoup trop gens transforment en madison par habitude, qu'elle a gagné comme l'étiquette d'un choix maternelle, dernier fragment qui résiste d'une relation bancale. dissoute dans l'acide d'un divorce, et à elle seule elle incarne le déchirement familial : le choix de la mère, le patronyme du père. garde partagée du sobriquet. price, qui arbore toute la banalité d'origines moyennes. ça sent le divorce cheap, le remariage facile - et la belle mère nettement moins facile. pas synonyme de fric. pas synonyme d'importance, le nom de famille vend à lui seul toute l'absence d'essence qu'elle tente de dissimuler avec un acharnement féroce. surnoms - il faut l'entendre, cette première voyelle traînante du surnom qui se prête à l'aubade. maddie, de préférence d'un timbre velouté, les lèvres collantes d'un lipstick entêtant, à l’affleure de l'oreille capricieuse. c'est le mot magique qui ne peut appartenir qu'aux relations les plus proches, véritables ou complètement pipées à l'hypocrisie de couloir. il étire un subtil sourire au passage des syllabes.   lieu de naissance et âge - douceur qui a d'abord connu la vie plus rythmée de sacramento. pour autant elle ne garde aucun autre souvenir que les documents administratifs. délicate enfant de l'hiver madeline est née un 18 décembre pluvieux, journée sobre pour une gamine solaire.  à nevada city depuis - l'idylle familiale a volé en éclat à l'aube de ses six ans, fini le petit appartement au centre de sacramento, adieu maman, bonjour nevada city. elle y vit ses meilleures et ses pires années, diluant à grandes eaux les rares souvenirs des premières années de vie, comme si nevada city méritait d'être le noyau d'un vie, avec sa gueule de travers et ses magasins inintéressants. classe à la rentrée 2019 - le meilleur pour la fin, en dernière année ce sont les derniers mois pour briller, les derniers mois pour déterminer son orientation, savoir quoi faire de sa vie ou redoubler pour s'offrir un sursis humiliant mais néanmoins salvateur, parce que l'avenir, ça lui fout la trouille maddie. l'idée de perdre son petit monde, de toute recommencer ailleurs, ça l'angoisse quand elle enfouit son nez dans son oreiller parfumé à la brume de pivoines. situation familiale - un kit do it yourself. déchirée, rescotchée de pièces rapportées, recomposée qu'on dit mais décomposée serait bien plus pertinent parce que le cadavre du schéma de la belle famille soudée a nourrit d'un terreau fertile le divorce. les engueulades à ne plus en finir, les accusations déterrées du caveau, des reproches qui sentaient le renfermé, ça a implosé sous ses yeux terrifiés. ça lui a retourné le cœur, non pas pour ses parents, mais pour le confort de sa petite bulle qui s'est vue scindée en deux et de l'impotence maternelle a découlé la décision qu'elle irait vivre chez son père. avec sa nouvelle pouffiasse femme. ô joie. situation financière - elle rentre dans le classicisme d'une classe moyenne jusqu'à la courbe financière familiale. elle n'a jamais manqué de rien, elle ne sait pas ce que c'est que la faim, mais comme toutes les gamines elle a déjà éprouvé l'envie de celui qui a plus que ce qu'elle ne pourrait avoir. l'époque de la petite princesse gâtée par papa est révolue et elle voit tout le budget qui lui était consacré passer dans mes cadeaux pour sa nouvelle épouse. elle a toujours su qu'elle n'aurait pas une voiture pour sa majorité, ni qu'on ne lui paierait pas un poney immaculé pour ses six ans, mais elle est suffisamment précieuse pour coûter cher à quiconque tenterait de satisfaire ses lubies. statut civil - tw : elle fera vriller les plus féministes. le coeur amputé de celle qui ne voudrait surtout rien ressentir, elle frémit d'un rien, elle a le crush factice si facile qu'elle est très loin d'être l'ice queen qu'elle voudrait être madeline. si son plan universitaire n'est pas vraiment arrêté il n'en va pas de même pour son avenir sentimental, persuadée que son bonheur réside dans un couple hétéro-normé, soldé par un mariage avant vingt-ans. et attendant de parvenir sa réussite sociale elle s'affiche au bras de tommy sans laisser personne la toucher trop longtemps parce que c'est l'inquiétude qui prend racine dans son bas-ventre quand elle songe à ce qu'ils vont attendre d'elle.   orientation sexuelle - est-ce une pluralité de choix à l'époque de l'effervescence adolescente ? quand aimer le sexe opposé c'est la normalité, et le reste une fantaisie. alors en soirée elle embrasse ta copine juste pour te faire écumer, voir la folie assassine du mâle blessé, elle s'en nourrit avec bien plus de satisfaction que toutes les promesses de septième ciel que tu pourrais lui faire. le gloussement tourné en direction de la testostérone qui fleurie, elle joue des mélodies aguicheuses parfois vulgaires sans pour autant laisser la moindre chance à une petite sauterie derrière les gradins du terrain de football.   avatar - saoirse ronan. groupe - iridescence surprenante qui parcourt d'une démarche agile les couloirs de silver creek high et heureusement parce que gop l'aurait rendu beaucoup trop prétentieuse.
traits de caractères - c’est qu’elle a des allures de princesse, le menton haut, les opalines qui toisent les autres sans ciller, le sourire mutin qui se glisse moqueusement au coin des lèvres. elle se rêve indomptable, inaccessible, wild as fuck mais elle fléchit maddie, à l’impulsion de ses caprices, à jamais savoir ce qu’elle veut. elle en oublie qui elle est entre ce qu’elle aimerait renvoyer, ce qu’elle parvient à faire miroiter et la réalité toujours plus fade. elle veut se croire intéressante, pour fuir la banalité de la middle class, elle joue la même scénette adolescente que beaucoup de gosses étrennent, sert des moues flirteuses à des garçons jamais assez bien à son goût. elle rêve de marcher sur le monde, d’être impitoyable, l’insensibilité incarnée, et parfois elle tient suffisamment bien le masque pour écoper d’une ou deux réflexions perfides mais elle est faillible pourvu qu’on sache appuyer sur l’ecchymose douloureuse du manque de confiance – ou pire, du manque de personnalité. elle frôle le mépris, l’arrogance, les airs de pimbêche fugaces, dans son rôle surfait mais funambule de l’extrême elle menace sans cesse de retomber dans la réalité terre à terre : elle est immature, elle sonne creux et tout le monde se contrefout du change qu’elle pense donner. la popularité ne l’atteindra jamais, lorsqu’elle veut être drôle ça passe pour de la méchanceté, quand elle espère être méchante, elle sonne vulnérable. tout sauf un maestro, maddie c’est surtout la fille qui espère être premier violon de l’orchestre sans jamais avoir appris les rudiments du solfège.  

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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptyMar 17 Déc - 17:24

je v e u x.
avec tes pouilleux (et tes moins pouilleux siffle.)
tu m'offres lequel de tes bébés ? cutie x2. coeur basique.
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Volk Meyer
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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptyMar 17 Déc - 17:39

tous ?
le plus easy c'est volkan
le plus relou à lier c'est uriel
entre deux on a maddie

(lyes bon, depuis son autre planète, il est pas vraiment dans une galaxie proche)
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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptyMar 17 Déc - 18:15

(ton avatar sous volk est x2. )

je suis bien tentée d'aller voir uriel mais j'ai pas d'idée hyper solide là de suite pour sa majesté arrow...
mais j'aimerais bien confronter babi à son caractère siiii charmant  hehe.

je te donne l'idée de base que j'avais : je voulais jouer sur babi qui passe plus de temps dehors qu'en cours. je la voyais bien avoir retrouvé l'un de tes mecs (volk ou uriel) devant le parvis du lycée. une babi qui regarde la porte d'entrée de loin, sans la franchir et un mec plus âgé qui la dissuade d'y aller.
oui c'est pas ouf.
oui c'est un début tout ridicule.
donc t'as le droit de me dire que ça te plait pas.
heart. heart.  
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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptyMar 17 Déc - 22:06

(heart. )

ahahah
les deux sont tellement susceptibles de la pousser dans la mauvaise direction.
volk est très show off, la séduction jamais loin, les mauvais plans, les deals.
uriel est plus froid, plus posé, au pire il la traînera en soirée mais c'est pas un danger en soi.
j'te discord
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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptyJeu 27 Fév - 4:37

Hello you mec bizarre.

Je fais le tour de la bande à Donny eeeeeet donc, je viens poser mon cul ici. Je sais pas si t'avais déjà une idée pour la relation entre Volk et Vincze, niveau pl et tout, mais me voilà.

Bon direct j'ai envie de dire que Vincze est un peu impressionné par Volk. La carrure, l'année de plus que lui, la(ncienne) copine super mignonne, il vend un peu du rêve quand même. Vincze voit un peu son futur dans lui (ouais y,a qu'un an d'écart mais shhhhhh). Même désintérêt pour l'école, même soif de plus, de violence et en même temps, juste envie de s'écraser et de profiter. De rire un coup devant le bordel du monde. Pis y'a cette relation weird avec la génitrice, enfin c'pas la même. Celle de Volk à rien fait, sinon prendre cher. Vincze en a une qui préfère prendre cher par derrière (on va dire ça comme ça). Mais dans tous les cas, les deux sont jamais pressés de rentrer quoi. Et même que je me disais que la mère de Vincze avait peut-être un faible pour Volk. (Jusqu'ici, je lui ai foutu une envie terrible de vouloir sauter Donny et Mikey, mais avec la tronche de Volk... pas le choix, il en est aussi. sorry not sorry) Je me dis que vu le passé de Volk avec le père qui saute sa bff, ça pourrait foutre un beau bordel, non ?

bref, dit moi ! Cool
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Sander Gray
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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptyJeu 27 Fév - 9:38

oh wow.
peut-on prendre deux minutes pour être sidéré par la quantité d'infos que tu connais ?
shook, cette qualité. alors cette idée, c'est du génie, et la daronne c'est un sacré chaos en perspective parce que bon, un peu psycho des relations avec grand écart d'âge pour les raisons que t'as soulevé, puis bon on peut pas s'empêcher de penser que c'est parce que daddy a sauté la bff de l'époque que tout est vraiment parti en couille derrière, que la vie est devenue un putain de fiasco, alors bonjour le malaise. alors mommy-vincze serait l'apocalypse dans leur relation sans doute très chill de base (parce que vincze c'est le genre de mec que volk apprécie, puis loyauté en béton armé, l'adoption dans la bande est facile, volk est pas prise de tête, une nouvelle tête c'est cool), le creep qui peut faire disjoncter volk, et c'est plus facile de le reproche à vincze que d'approcher la mère en question.
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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) EmptyVen 28 Fév - 18:52

Écoute, tu peux même en prendre cinq. mdr. J'ai fais mes devoirs, tavu. hehe.
Merci merci. La lecture et papoter avec Mickey, ça fait des miracles. ouep. et là j'adore ce que tu proposes, gosh. L'idée que tout allait nickel, Volk qui l'adopte sans souci, Vincze qui doit limite avoir des étoiles dans les yeux (mais qui met des lunettes de soleil, parce que pas cool bro, pas cool) puis BAM la maman déboule quelque part, démontre de l'intérêt et ça part en vrille. Et logique, comme tu dis, qu'il blame Vincze. Après, c'est sa mère, il est pas fier, mais ça reste le seul adulte qu'il ait jamais eu.

Du coup, je vois le mélange de malaise et de frustration. Volk qui lui reproche la situation, qui devient froid ? Et Vincze qui essai de calfeutrer la plaie (ouais, j'ai jamais dit qu'il irait en soin, dieu merci) en minimisant le truc. Déjà, normalement sa mère est mise à l'écart, mais je la vois bien se fourrer le nez où faut pas. Faire exprès de parfois venir le récupérer à l'école, même s'il ne la suit pas. Juste lui rappeler qu'elle existe (et surtout, essayer de convaincre ses potos de la suivre quelque part.) Bref, Vincze qui essai de regagner l'amitié de Volk, mais qui sait pas trop, qui a jamais sur que mordre pour se défendre. Ils pourraient en venir aux mains ? Vincze qui en a marre que Volk lui reproche d'avoir été mis au monde par une pute et Volk qui comprend pas pourquoi Vincze la juste pas attaché quelque part dans la maison yknow ?
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MessageSujet: Re: c h a o s - (lenvum)   c h a o s - (lenvum) Empty

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