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 kaleidoscope (svd)

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MessageSujet: kaleidoscope (svd)   kaleidoscope (svd) EmptyMar 4 Fév - 8:17


solveig estridsen

seventeen - your insufferable queen bee - gold

nom complet - solveig estridsen, lettre royale, pouvoir qu'elle s'octroie parce qu'il pèse, il a du pouvoir ce patronyme. le respect qui assomme, l'influence qui effraie, arme de choix pour se permettre tout et n'importe quoi. surnom(s) - sol, la chaleur qui caresse l'épiderme, la douceur qui enveloppe. sol, soleil, douce ironie pour celle aux opales glacées. sol, c'est cette gamine qui a disparu depuis bien longtemps, scandé par la douceur maternelle, la voix mélodieuse, et l'amour qui s'entend dans chaque syllabe. gosse disparue, souvenir de la mère qui n'est plus, et pourtant, sobriquet utilisé par ses amis. lieu de naissance et âge - oslo, norvège, évidemment une clinique privée des plus coûteuse parce que le divin enfant n'allait pas naître dans un hôpital public au milieu des pauvres et moyens. dix-sept ans qu'elle accapare l'attention, les lumières qui se posent naturellement sur elle. dix sept ans qu'elle mène son monde à la baguette, qu'elle sème le chaos sans se soucier. gamine insupportable, hautaine et arrogante, qui se croit immortelle, intouchable, bien installé avec sa couronne qui repose sur sa tête et le trône qui va avec. nationalité(s) et origine(s) - ice, ice, baby. froideur qui caresse le visage, paysage qui coupe la respiration. la norvège du paternel, l'islande de maman, les vacances pour être immergé dans ces cultures. le drapeau norvégien et la star planged banner qui vont de pairs, double nationalité, l'une par la naissance, l'autre par naturalisation grâce aux mains graissées et l'influence du paternel. à nevada city depuis - ses quatre ans. au départ, paysage monotone, triste, sans saveur face en comparaison de sa douce norvège. au départ gamine réfractaire qui tapait des crises et s'offusquer lorsqu'on ne cédait pas. puis c'est devenue sa maison, elle sait pas trop comment, ni pourquoi. racines plantées contre son gré, presque une (vraie) américaine, nevada comme berceau. classe rentrée en 2019 - senior year, et tout ce qu'elle peut dire est fucking finally. golden oak bien trop petit pour ses ambitions, nevada city boring as fuck, dernière année de supplice avant d’entrer dans la vie réelle et dominer sa future sphère. situation familial - digne d'un soap opera, famille héritière, businessman de père en fils, tension à peine cachée entre la fratrie pour l'approbation du paternel et la place au top. être le ceo de l'empire estridsen, déjà noble en norvège et qu'ils veulent imposer outre-mer. famille nucléaire qui fut parfaite durant en temps, la mère aux mains douce, à l'amour infini, dévotion totale envers solveig. le père impossible à comprendre, figure qui effraie, seule personne capable de tenir la sale gosse. et pourtant, la peur surpassée par l'envie qui soit là, présent non par ses billets balancés de temps en temps ou ses remarques plus que sanglante. mais fut un temps, elle arrivait à tenir, ses opales qui se plongent dans celle de sa mère, ange qui a mis au monde la démone, bien trop permissive selon son père, mais amour indéfini, infinis. puis fracture, fondations qui s'effondrent, perte de la colle de la famille. le plasma qui tâche sa peau de porcelaine, l'odeur de fer qui envahit la pièce, les pupilles dilatés, vie enlevée. sans raisons, incompréhensibles, amas d'informations qui ne signifient rien. accident, maman décédée, faut être forte. automate qui agit, fait mine de comprendre alors que ce n'est qu'une gosse perdue. situation familiale stable pendant un temps, solveig et aleksander, seuls dans cette énorme maison pendant un temps. ils se croisaient, rares moments complices entre eux, parfois des silences, parfois des reproches lancés. juste eux deux, la la fratrie d'aleksander et leurs gosses parfois. puis l'équilibre bouleversé sous la forme de la nouvelle compagne de son père et ses gosses, et ça déclenche quelque chose en solveig, colère qui a envie de gronder et pourtant, obligation d'être enfoui. pour l'instant. parce qu'elle a qu'une envie solveig, qu'ils retournent chez eux, loin de sa famille. situation financière - richesse indécente, le compte en banque bien rempli du haut de ses dix-sept ans, travailler n’étant qu’une option parmi tant d’autres et elle pourrait presque s’en passer si ce n'était pas pour son ambition. le moindre de ses caprices exaucés sans la moindre attente, le monde qui plie à ses désirs les plus fous, la sécurité pour solveig de pouvoir dépenser sans jamais se soucier du compte qui décline. affreusement arrogante avec ses trouvailles, mais loin d'être de ces personnes riches too much jusqu'à en devenir ridicule. statut civil - 404 error not found.. libre comme l'air, solveig qui ne veut pas d'attache et pourtant, la vipère présente dans son esprit. un peu trop, la jalousie qu'elle ne veut pas accepter, alors elle joue, elle va de droite à gauche pour oublier. orientation sexuelle -distinguished bi, borderline chaotic parfois, les courbes féminines qui l’enchantent, captent ses opales et la musculature masculine qui la rend folle. le corps qui se frissonne sous les caresses des deux sexes, elle s‘assume presque, solveig si ce n’était pas pour les on-dit et l'ombre paternelle, la peur de décevoir. traits de caractère - looks like the innocent flower but the serpent underneath. elle paraît douce, solveig, quand elle le veut, jouer le rôle de l’ingénue et de la douce, de l’innocence incarnée avec le halo qui entoure ce visage poupin. elle sait feindre sans le moindre remords, poussant les ficelles, susurrant des mots doux et pourtant les intentions du diable. evil spawn comme certain l'appelle, ceux qui arrive à voir son vrai visage. parce que cette candeur, cette douceur n'est qu'une facette pour berner à l'esprit beaucoup trop naïf. solveig, c'est l'adolescente insupportable, l'insolence incarnée, le venin qui vient trop facilement, les mots qui s'enfoncent dans la chair, la martyrise sans la moindre pitié. elle s'en fiche, solveig, ses désirs avant ceux d'autrui, le monde qui devrait se plier à ses désirs. l'égoïsme et l'égocentrique personnifié mélangée à une arrogance folle, opales qui jaugent sans honte, le pouvoir de ne pas ressentir de remords. l'intelligence utilisée à mauvais escient, qui s'amuse à lire les gens, découvrir leurs secrets pour mieux détruire, mieux manipuler. carapace qu'elle s'est forgée pour ce paternel. , il la voulait forte, sa solveig, qu'elle n'ai besoin de personne pour avoir confiance, qu'elle soit intelligente à en faire pâlir les plus grands génies, la méfiance apprise dès le plus jeune âge pour ceux qui ne porte pas le nom estriden ni le même ichor. la force de pouvoir berner les plus simples d'esprit, à observer les points faibles, à toujours s'informer sur ses ennemis, amis, tous confondus pour se préparer à l'attaque et la défense. véritable nancy drew qui s'amuse à lire les personnes, alliées de taille qui une fois fidèle, ne te quitte plus, prête à suivre jusqu'au bout du monde si elle estime la personne méritante. solveig, c'est le genre de fille à sentir toutes les émotions, trop à fleur de peau, les nerfs exposés, l'envie de crier sans pouvoir le faire, alors se contient, encore et toujours. fausse calme qui crache son venin pour se soulager, elle hésite pas à piquer, l'insolence incarnée mêlé au sarcasme naturel. elle se contrôle, sol, se force à ne pas trop éprouver, à ne pas être noyé par le vide qui l'envahit parfois. parce qu'à quoi bon ? ça la prend comme ça, inattendue et capable de la mettre au plus bas, le vide parce qu'elle se questionne, elle se cherche un but, une raison sans y arriver. alors elle se mêle, s'oublie, évite en réglant les problèmes des autres, ou crachant son venin. et pourtant, masque qui ne trahit rien, confiance comme carapace, venin comme épée, et personne ne se doute. au fond, solveig a juste peur, de l'abandon, de l'indifférence alors elle aime être sous les spotlights, parmi les populaires, l'idée d'être importante. solveig, elle est pas entièrement bonne ni méchante, ying et yang entre les deux, plusieurs facettes avec laquelle elle joue, tantôt l'ingénue face à certains puis le serpent, the evil spawn, face à d'autre. et puis il y a celle avec ceux qu'elle aime, un peu plus souriante, un peu moins froide, douceur sincère, soutien sans faille. et la dépendance à l'amour, l'excès même, à en demander énormément sans forcément le dire et la méfiance, la peur de l'abandon qui peut la rendre froide et distante. elle fait pas exprès, solveig, mal inconnu qu'elle arrive pas à diagnostiquer, mais elle essaie, chaque jour un peu plus de se contrôler, d'arrêter d'être dans ces deux extrêmes. et pourtant, elle, peut-être, aimante solveig, elle peut-être douce, elle peut-être humaine. faut juste qu'elle ai confiance. avatar - danielle russell
chronologie
(( 2002 )) l'enfant chérie enfin née, héritière que l'on veut montrer à la terre entière. enfant là le divin enfant. sol norvégien qui l'accueille, la voit naître, le dit berceau qu'elle va finir par quitter et visiter de temps en temps.
(( 2006 ))  déménagement incompréhensif, d'abord le premier frère, sa femme et son enfant puis le reste qui arrive. quatre ans à peine, les souvenirs en norvège encore présents, haine de l'amérique pour un temps. quelques mois suffisent à la convaincre, à ce que nevada city devienne sa maison.
(( 2008 )) solveig qui se dit pionnière, s'octroyant une supériorité par rapport à ses cousins presque insignifiants si l'esprit de famille n'était pas là, et s'il n'était pas les frères qu'elle n'a jamais eut. sans forcément leur montrer, trop fière pour ça. les tensions familiales entre la fratrie qui naît, à celui qui occupera le poste plus important. début de magouilles financières scandaleuses.
(( 2012 )) mort de kára estriden (née magnusdottir) lors d'un accident qui va s'avérer mortel. solveig était avec elle, et s'en est sortie avec une blessure au bras. famille brisée par un accident qui n'a pas de sens pour la gamine. début d'un post-traumatique renforcé par un environnement abusif. culpabilité du survivant.
(( 2013 )) déménagement d'une nouvelle maison. les souvenirs de kára encore trop présente dans celle villa, son parfum qui imprègne les tissues. chaque coin qui se raccroche à un moment, impossibilité de l'oublier. solveig, il lui arrive de passer devant cette maison, observer pendant quelques secondes, les pulpeuses qui forme un sourire alors qu'elle se revoit avec sa mère.
(( 2016 )) son père devient le ceo de l'empire estridsen après que cristoffer estridsen se retire. les malversations et pots de vin et détournement continuent sans se faire prendre. aleksander est plus exigeant que jamais envers sa fille, devenue sans le vouloir la représentante de cet empire, ou du moins, la représentante de la future génération des estridsen. première fois sous les feux des projecteurs, ce qui fut loin de lui déplaîre.
(( février 2019 )) emménagement de la nouvelle compagne de son père et ses enfants, solveig qui voit rouge. injure, insulte à la mémoire de sa mère, remplacé par une bree van de kamp low cost, loin de la prestance de michelle obama et une personnalité au possible. ses gosses insupportables qui polluent la maison, des disputes incessantes à en briser les murs, à rendre chèvre. solveig qui se la joue passive-aggressive, à piquer et jouer l'angelot, les pousser à bout. elle refuse, parce qu'ils ne font pas partie de la famille. parce qu'elle a pas envie d'oublier.
(( septembre 2019 )) les estridsen qui tremblent, à l'aube d'un scandale parce que les malversations presque dévoilées. et l'histoire d'une taupe qui vend des informations aux concurrents. le doute qui persiste sur qui pourrait mettre en danger l'empire. solveig qui observe, témoin de tous et l'envie de découvrir, de se montrer digne. l'envie de lui prouver qu'elle est la meilleure heritère.
(( MAINTENANT )) toujours la guerre à la maison, les intrus qui persistent. solveig, elle sature, l'envie de crier parce que bon, sang, c'est pas normal. c'est pas juste. les high school drama qui la distrait pendant un temps. le futur qui commence à se construire.

⏐ are you gonna be on my team.

— liens.
aspen davenport - crush, secretly... something i guess?
lip castel - best friend, drama ahead.
juliet deverill - best friend, royalty, sweet little bby.
tamsin hasting - loyal to the crown, lowkey complementary.
amy mares - distrust, bitter that she couldn't manipulate her.
dana castillo - enemy to the crown
hero mares - to see.


— liens recherchés.
(♀/♂) des gens qu'elle bully/manipule - peu importe, ses petits pantins/espions qu'elle a un peu partout. des gens qu'elle utilise pour ne pas se salir les mains.
seriously, venez comme vous êtes, j'ai pas d'idées. oups.
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MessageSujet: Re: kaleidoscope (svd)   kaleidoscope (svd) EmptyMar 4 Fév - 8:18

messy vee
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MessageSujet: Re: kaleidoscope (svd)   kaleidoscope (svd) EmptyMar 4 Fév - 8:19


andrea vaughan
sweet sixteen - your troublemaker student - student

nom complet - andrea elizabeth, les prénoms des aïeuls, le traditionalisme écrasant de cette famille banale américaine. la tradition, épée de damoclès parce qu'on ne dévie pas, chez les vaughan. le chemin droit, sans un accro et la religion comme figure de proue, le phare dans les tempête agitée qu'ils appellent le progrès. surnoms - drea, le sobriquet devenue nom. émancipation de l'autorité familial, peut-être l'attrait de l'originalité parce que les drea, on en croise pas tous les jours. bien loin du banal andrea dont on l'a affublé. lieu de naissance et âge - nevada city, seize ans plutôt. l'âge qu'on qualifie d'or, jeunesse qu'on qualifie d'exceptionnel, la période bénite. et elle sait pas trop, drea, si c'est période est réellement magique ou si c'est le regret des adultes qui s'ennuient de cette vie. nationalité et origines - uc, à nevada city depuis - toujours. nevada city la maudite, nevada city l'ennuyeuse. plus rien qui ne l'étonne par ici, les années qui passent et pourtant, rien qui ne change à ses yeux. gamine de la ville qui se sent attachée et qui se rêve ailleurs. classe à la rentrée 2019 - junior year, l'année qui lui paraît insurmontable, déjà. loin d'être de ces lumières qui collectionnent les a's et les universités qui accourent, requiert sa présence, l'attirent avec des promesses. c'est pas la poule aux yeux d'or, drea, l'élève banale à la limite de mauvaise si ce n'était pas pour l'aide de ses amis. situation familiale - la perfection, la famille américaine tiré à quatre épingles, white picket fences and all that shit et white as fuck. le père pasteur à la rhétorique parfaite, assez prétentieux pour se penser le meilleur et assez humble pour ne pas se déclarer prophète, main droite (on oublie les blagues perverses avec lui) de l'entité floue qu'est dieu. robert vaughan, à la parole d'or, robert vaughan le sage, celui que l'on respecte. et la famille qui va avec, évidemment. la femme, patricia vaughan, connue comme patti la souriante, véritable southern belle qui détonne dans le paysage californien. on sent qu'elle est pas d'ici, celle qui a été déraciné de son alabama natale alors qu'elle était adolescente pour la californie qui lui semblait l'opposé de la douceur du sud. patti qui tomba folle amoureuse du respectable robert, et un parcours qui paraît sans embûche, clair, de ce dont on parle les romans à l'eau de rose. l'amour du lycée qui se solde en mariage et deux beaux enfants, on dit. un garçon, une fille, le choix du roi. le premier née, le garçon et prochain patriarche, sûrement. celui qui protégera la plus jeune,, le digne fils de son père et la star de la famille aux yeux des parents. situation financière - banale, dans la moyenne. la chance de ne pas avoir à s'inquiéter de sa situation, mais loin de rouler sur l'or comme ces gosses de riches qui semblent pulluler. elle fait pas partie des grands noms, ni des fortunes, famille d'ouvrière qui vit juste assez bien avec le père pasteur et la mère au foyer. statut civil - la liberté à l'état pur, plus ou moins. drea qui se dit seule, se veut seule et pourtant, elle aimerait parfois, être une de ces filles amoureuses. orientation sexuelle - elle ne se pose pas la question, drea avec sa haine des labels. parce qu'elle ne sait pas, trop jeune pour se décider, s'imposer quelque chose un label qui ne lui conviendrait pas. les courbes féminines qui ne l'ont pas rendu folle, totalement avatar - katherine mcnamara
à savoir: v reality expert, drea, c'est celle qui regarde les télé-réalités, ses opales coller à l’écran, et qui observe avec une curiosité presque malsaine pour ce qu’il s’y passe. elle sait que tout est faux, que tout n’est artifice et le besoin de faire du trash pour l’audimat. et drea qui reste fidèle, malgré tout. // meme addict, elle insupporte ses amis, drea et parfois, ça l'amuse. elle qui ne cesse d'envoyer des memes plutôt que des envolées lyrique quitte à ce qu'ils n'aient pas toujours la référence. elle s'en amuse presque, à en abuser encore et encore, surtout à ceux qui la comprennent. // terriblement insupportable, elle qui se revendique féministe et "pas comme les autres filles" sans se rendre compte de la toxicité du tout. la misogynie intériorisée qui lui crie qu'être girly, c'est forcément mauvaise, que ça la rend moins forte. elle qui a grandit avec des personnages féminins considérées fortes lorsqu'elles se sont détachées de leur féminité, quitte à perdre leurs émotions parfois. et fut un temps, ça lui plaisait, ce statut de fille pas comme les autres comme si cela avait une quelconque valeurs. // geek à ses heures perdues, c'est cette gamine qui a grandit bercé dans les comics, anime, manga, et plein d'autres encore. les après-midi chez grandpa à feuilleté sa collection, alors qu'il lui expliquait les différents twists, personnages à lui en faire briller les opales. il a réveillé cet instinct de se plonger dans d'autres mondes et l'excitation à chaque numéro, l'envie de découvrir en un seul ce qui l'attend. drea, elle a pas honte de se dire geek, prête à le crier sus tout les toits. quitte à en rendre fou plus d'un. // a proud momma de son chien, iron et de sa torture, ridley. née du désir de ses parents qui ont voulu lui inculquer le sens des responsabilités. et s'il espérait que ce résultats s'étendrait à tout, drea n'est responsable que lorsque ça concerne ses animaux. véritable gaga, caricature de celle qui snap chaque moments et qui s'émerveille au moindre mouvement. // fille de pasteur, le christianisme comme étiquette religieuse. et pourtant, la foi en rien, la religion beaucoup trop abstraite, invraisemblable. des noms et des histoires extraordinaires qui lui semble trop fantasque pour être vraies. et le manque cruel de foi pour une fille de pasteur, celui qui est censé guider mais qui a sous son toit une perdue, une athée, une non-croyante. parce qu'elle le crie haut et fort dans les quatre murs de la demeure vaughan, à ses parents, creusant l'écart chaque jours un peu plus. /
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