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 breakups get so messy ;; babi

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Babi Mancini
Babi Mancini
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MessageSujet: Re: breakups get so messy ;; babi   breakups get so messy ;; babi - Page 2 EmptySam 23 Mai - 23:14

elle se rappelle de la première rencontre de son père et d'uriel. beaucoup de jeux de regards puis il a suffi d'un short bien trop court sur les fesses de la gosse pour les distraire. un paternel qui désapprouve, un uriel qui apprécie la vue, un retour à la case départ (son foutoir dans sa chambre) pour babi. et elle ne sait pas ce qu'ils ont bien pu se dire cet après-midi là, elle a surtout fait en sorte de limiter le temps d'échange au maximum. hors de question que son père effraie uriel à base de questions incendiaires ou pseudo-menaçantes. alors quand le blond propose de l'accompagner le lendemain, elle imagine la scène et s'inquiète qu'il prenne gratuitement par sa faute. il sera probablement désigné coupable sans aucune raison. du plâtre, de la virée nocturne, du découchage de babi. pourtant, tout est made by mancini. et lui, il se l'est joué prince charmant. il n'a fait que venir la chercher et prendre soin d'elle. mais pas sûr que papa mancini le voit de cet oeil là, team verre à moitié vide pour lui. définitivement. et babi gardera pour elle leur engueulade sur le parking, ses larmes et l'impression que son monde s'écroulait en sentant uriel lui échapper. pas besoin que son père connaisse tous les détails. encore moins les plus douloureux. alors qu'il y a quelques semaines, la gosse aurait rejeté l'offre d'un revers de main et d'un je gère nonchalant, ce soir elle se dit qu'elle a envie qu'il vienne avec elle, qu'elle a besoin d'un allié avec elle. un moral support, juste là, près d'elle pour ne pas tout encaisser toute seule. elle sait qu'elle va y avoir le droit de nouveau, à l'inquiétude, la colère, la peur et la déception. et elle redoute de voir chacun de ses sentiments dans le regard de son père. la gosse n'arrivera pas à y rester insensible, pas venant de son père, qu'elle considère depuis qu'elle est petite comme son héros. rien que l'idée lui retourne le ventre. l'angoisse jusqu'au bout des pieds et l'envie de se planquer dans un endroit safe (le lit d'uriel de préférence). et elle sait que demain quand il faudra répondre à la big question qu'est-ce qu'il s'est passé, elle s'effondrera. alors la main d'uriel dans le bas de son dos ou ses doigts jouant avec ses mèches de cheveux, elle les veut et elle en aura besoin. ça l'aidera à se convaincre, par la simple présence d'uriel, qu'elle n'a pas déçu tous les hommes de sa vie. son père, bientôt son frère, oui mais uriel, pas complètement. et babi, elle s'y accroche à cette idée. quand il lui promet qu'il n'était pas en colère contre elle, elle y croit. rassurée, presque apaisée, elle se laisse guider. le trajet est silencieux, bercés par cette familiarité qu'elle chérit encore plus maintenant quand elle a peur de la perdre si facilement. pas de réponse verbale de sa part quand elle lui offre un aveu sincère, juste sa main sur sa cuisse et ça suffit. ils se comprennent. et à cette seconde, ça vaut tous les mots du monde. elle retrouve son uriel. celui qui n'hésite plus à la toucher, plus maintenant, pas après la plage, la cuisine et toutes ces nuits déjà passées ensemble. alors le temps du trajet, babi, elle arrive à croire que tout va bien, que rien n'a changé, qu'un plâtre malheureux et quelques ecchymoses se sont simplement ajoutés au tableau. rien de grave. elle va s'endormir dans ses bras et tout sera oublié. et sur le perron, elle s'amuse, babi. légèreté retrouvée, elle joue avec uriel. elle sent bien qu'il n'est pas complètement à l'aise. sans doute qu'il n'avait pas prévu ce soir (ou même, un jour) d'avoir cette conversation. définir leur relation, comprendre, mettre des termes officiels. alors elle esquive avec brio. une main sur la veste, un babi et uriel soufflé, venir titiller la possessivité du blond et elle a tout gagné. derrière ses plaisanteries, elle est terrifiée de ne pas être la petite amie parfaite mais elle peut lui offrir ce qu'elle sait être le mieux : elle-même. dans sa fougue, ses lubies et sa douceur. et il est réceptif. le palpitant s'emballe. la taquinerie est là, jamais loin. « deal. et je graverai ton prénom avec un coeur sur ma table en retenue. » poke à leur première rencontre, à sa remarque à lui, ce ton sans aucune politesse. parce-que maintenant elle a un prénom à écrire et une belle gueule à laquelle penser pendant ses heures de colle. lui. le baiser est chaste sur la joue. elle ne s'aventure pas ailleurs. ça semble trop tôt et elle refuse de briser cet équilibre qui lui parait fragile. babi le suit silencieusement et quand elle se retrouve à l'intérieur de sa chambre, elle ne réfléchit pas. chaque geste est mécanique. plus proche du réflexe qu'autre chose. parce-qu'il y a déjà son empreinte, partout. sans doute que l'oreiller de droite est imprégné à la vanille, son odeur à elle. la gosse choisit un t-shirt, prête à l'enfiler. parce-que maintenant elle n'envisage même plus la possibilité de dormir autrement qu'avec un de ses tshirts à lui sur le dos. pourtant tout s'arrête quand ses doigts s'apprêtent à soulever son haut. elle se fige, babi. le flashback est brutal. ça va vite. elle retourne sur le parking, face à ce regard écoeuré qu'il lui a offert après avoir soulevé son haut. dégoûté face à son corps blessé. le mais tu t'es vue résonne. il s'enfonce dans le coeur et dans toute la confiance en elle qu'elle avait jusque là. parce-qu'elle s'était jamais posée la question. si elle pouvait un jour ne plus lui plaire. elle sait qu'il a glissé ses yeux sur ses courbes quand elle sortait de l'eau l'autre fois sur la plage, elle sait qu'il avait terriblement envie d'elle quand ils étaient seuls dans la cuisine mais là ce soir, c'était l'inverse. déception, écoeurement, dégoût. et ça fait mal. babi a juste envie de pleurer, d'avoir brisé ça chez eux, d'avoir tout ruiné. les larmes sont ravalées, elle se contente simplement de ranger le t-shirt. elle va pas tenter la tenue légère cette nuit, probablement qu'il n'appréciera pas de pouvoir revoir ses hématomes et son corps bien ridicule. la décision est annoncée dans un souffle. babi se demande pourquoi elle est là, pourquoi il a bien voulu la ramener si leur intimité a autant changé. elle ne supportera pas un deuxième rejet. et elle voit qu'il fait des efforts, qu'il ne s'énerve pas, qu'il cherche presque ses mots. god, elle l'aime tellement de vouloir ne pas la brusquer et d'essayer d'être plus doux. « je pourrais m'endormir en trois secondes, ça change pas grand chose d'être en jean ou pas... » elle hausse les épaules, babi. pas la force de sourire, elle est juste frustrée de devoir aller contre ses habitudes, de devoir empêcher tout geste qui le fera la regarder différemment. et elle ne veut pas remettre des mots dessus, elle ne veut pas lui répondre de peur de l'entendre de nouveau. elle secoue la tête. non non non c'est rien, on oublie. et elle râle quand il lui propose de la toucher le moins possible. sauf que c'est justement ça qu'elle ne veut pas. babi, elle aimerait qu'il ait envie de la toucher. qu'il soit le même qu'à la soirée, qu'il glisse ses doigts sous son haut pour la caresser, qu'il la colle, qu'il l'étouffe d'amour. alors le coup du je te laisse le lit, c'est trop.  « on dort pas ensemble ? » la question est remplie de tristesse. il veut dormir ailleurs. pas avec elle. alors que la gosse ne rêve que de ses bras depuis qu'il est arrivé à l'hôpital. et pas sûr que ce soit très cohérent ou même logique. babi, elle comprend juste que c'est fini. plus de nuit ensemble, plus de regard langoureux, plus de caresses. et c'est ridicule pas vrai ? de vouloir autant voir le désir dans les yeux d'uriel. tant pis. elle a plus rien à perdre. « je te dégoûte à ce point ? » et babi, elle devient courageuse. elle garde la tête haute, les yeux fixés dans les siens, prête à encaisser. et si les mots seront forts et douloureux, elle acceptera qu'elle a perdu le droit de se déshabiller quand elle le souhaite et qu'une nouvelle règle est à prendre en compte. « c'est bête mais... j'aimais bien comment tu me regardais avant. » elle se sent toute petite sous le regard d'uriel. insecure af la mancini. elle essaye de prendre le moins de place possible, ne pas parler trop fort, ne pas l'énerver, ne pas relancer l'engueulade. alors, elle prend sur elle, elle communique, elle lui explique. « tout à l'heure quand tu as...» non, non, on ne pleure pas, on prend sur soi et on finit cette phrase, babi. « quand tu as soulevé mon t-shirt, j'ai bien vu que je te plaisais plus ? » elle se sent ridicule et pathétique. babi, elle aimerait ne pas être ce genre de fille. elle pensait être de la catégorie indépendante et affranchie qui n'a pas besoin de l'approbation de quiconque. encore moins d'un mec. pourtant, là tout de suite, elle crèverait pour un simple baiser. pas juste un bisou chaste. non un vrai baiser  pour bien lui montrer que derrière les plaisanteries, le flirt, il y a plus. et que tous ces sentiments qui la submergent c'est pas juste des je t'aime lancés sur un parking en pleine nuit. c'est plus fort, plus intense et un brin passionnel. « et c'est ok, pas besoin d'en faire tout un truc. je t'épargne juste le moment gênant où je me déshabille. je ne suis pas sûre d'arriver à accepter un deuxième regard comme celui de tout à l'heure... pas venant de toi. » c'est dit doucement et sincèrement. elle a essayé de ne pas le brusquer et surtout lui faire aucun reproche. babi, elle est juste triste.
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Uriel Hillstorm
Uriel Hillstorm
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MessageSujet: Re: breakups get so messy ;; babi   breakups get so messy ;; babi - Page 2 EmptyDim 24 Mai - 8:50

elle parait presque de mauvaise humeur, à deux doigts de bouder et s’il aime ses enfantillages il tique de cette attitude où pas un seul sourire ne filtre. le premier indice que tout déraille à nouveau, si peu de temps après avoir retrouvé un semblant de sérénité et ça le remet sous pression, de peur de faire un faux pas, de peur de la blesser alors qu’elle est déjà épuisée. l’étonnement hagard alors qu’il réalise qu’elle ne comprend pas qu’il lui propose ça pour son bien à elle. qu'il veut qu'elle soit tranquille. qu'il pense d'abord à elle avant de penser à lui. « c’est toi qui a pas l’air de vouloir de ce genre d’intimité ce soir et je veux que tu sois à l’aise. » dialogue de sourd alors que les sourcils se froncent, avec ce sentiment que décidément la roue est plus carrée que ronde, et que la terre est résolument plate, qu’ils ont basculé dans un monde à l’envers. avec sa défensive inexpliquée et sa tristesse poisseuse babi a ressorti les armes du placard quand lui cherche encore le sens du vent pour tenter de comprendre ce qui est en train de se jouer dans sa tête à elle, sans lui. parce qu’il est là le noeud. le truc improbable qui dérange : elle semble se faire des films de ses réactions à lui et il ne sait plus quel comportement adopter pour rentrer dans la normalité, pour être le mec qu’elle attend qu’il soit. il pourrait presque sentir la pression contre son front du poids de toutes ces réflexions qui tournent dans son crâne et le perdent plus qu’elles ne l’aident. « je vois p—» dégoûter. le mot le percute pour le laisser sonné, ébahi : perdu entre l’effarement qu’elle en soit rendue à une conclusion aussi horrible et surpris qu’ils parviennent à ce point à parler deux langues qui n’ont rien en commun. c’est pire que tout le reste. c’est pire que d’entendre qu’elle le croit déçu. pire que la voir pleurer. pire que sentir toute la nervosité qui crépite. il reste muet, verrouillé, parce que son réflexe premier c’est de ne rien laisser passer, d’encaisser sans avoir le moindre muscle qui sursaute. rien. rien d’autre qu’un visage lisse, le regard constant dans sa fatigue et dans son expressivité indéchiffrable. ça demande des efforts improbables, de garder la colonne droite, de ne rien trahir, ne pas retomber dans l’excès qui s’exprime dans tous les sens -et surtout dans le sens de l’inquiétude et l’incompréhension. dégoûter ? ça continue comme un écho malsain, s’enfonce à même la chair plus profondément. ça va atteindre l’os, c’est certain. et lui stoïque regarde son monde -elle- s’effondrer à nouveau. c’est le comble d’une ironie qui pour une fois ne le fait pas rire. elle se noie dans un lac qui n’existe même pas. persuadée de ne plus lui plaire quand lui se laissait jusque là délicieusement déchirer entre son envie de l’embrasser et la peur de ne pas savoir doser, d’être trop, d’aller trop loin, de l’acculer, de la brusquer ou juste de lui faire peur à trop la désirer quand cette relation tient à sa douceur et sa délicatesse. il essaye d’être extérieur à ce chaos, et le rôle de spectateur lui sied à merveille mais ne l’épargne en rien. écoute religieusement, ne la lâche pas du regard, mais reste profondément enfoncé dans son immobilisme grandissant, paralysie offerte par une babi qui déverse des mots comme de l’acide à la figure de celui qui se croit nécessairement en plein cauchemar pour devoir affronter pareille conversation alors que tout semblait à nouveau aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. il trouve encore le temps de s’interroger, de se demander comme une fille aussi pétillante et insouciante peut manier un couteau avec une telle précision. parce qu’elle le veuille ou non elle est en train de le disséquer vivant, et lui ne peut que constater tout ce qui mériterait une greffe, un renouveau, tout changer parce que rien ne va. il se méfiait de sa langue, de ses mains, de ses réflexes et voilà qu’elle remet en question son regard. pénible effort pour ne pas se décomposer en retour, mais aussi pour ne pas fuir, pour ne pas reculer face à cette évidence qu’il assume mal : il arrive à lui faire du mal avec trois fois rien, sans même le soupçonner, juste en la regardant. c’est trop. trop dangereux. trop douloureux. trop. c’est le gouffre qui menace depuis toujours de les happer et cette fois il en est certain ils y sont depuis le milieu de la nuit. bousille cette gosse d’un manque de légèreté, d’une lourdeur qu’il ne gère pas, et il ne sait plus quoi faire, comment se reposer pour que ça ne tombe pas sur elle, parce que quoiqu’il fasse il a maintenant la certitude que ça sera à ses dépends à elle. mais d’expérience il sait que chercher le calme dans l’éloignement n’est qu’un moyen d’aller dans le mur avec plus de violence encore, que babi, avec ses airs de dictatrice des sentiments n’est pas taillée pour tolérer le moindre courant d’air entre eux et qu’à chaque fois que son instinct frémit d’une envie de disparaître il devrait au contraire aller vers elle. contradiction non moins coûteuse quand tout n’est qu’incompréhension et concessions pour essayer de s’adapter au fonctionnement de l’autre, pour essayer de ne rien changer à son monde, s’y glisser et s’y adapter. mais ici, échec cuisant et douleur sont au rendez-vous. il s’en veut. il s’en veut que quelque chose ait filtré dans ses yeux, quoique ce fût l’interprétation est dévastatrice, au-delà des bornes de l’imaginable et lui n’est pas vraiment ravi de découvrir avec autant de détails la définition du mot souffrance quand il avait su gérer à sa façon de deux deuils sans trop s’enfoncer dans l’abattement. « babi … tu te rends compte de ce que tu dis ? » elle est là à accepter. accepter quoi au juste ? qu’il éprouve du dégoût à sa vue ? qu’il la rejette ? il passe une main sur son visage, il ne sait pas gérer autant de situations de crises, à peine le temps d’enregistrer les erreurs précédentes qu’il faut à nouveau s’aventurer dans une gestion qui les dépasse tous les deux. « j’ai pas les mots. » il abandonne, déclare forfait de cette communication qui n’est clairement pas sienne en agitant doucement la sienne. uriel ça a toujours été le silence bien avant les mots. l’observation, la réserve par mépris du monde extérieur, la bouche qui ne s’ouvre que pour être désagréable et couper court à toute forme de communication justement. « à quel point tu me fais confiance ? » peut-être que c’est tout ce qui lui reste pour lui faire voir qu’elle a tort. d’un geste lent de la main il repousse ses cheveux derrière son épaule. vulnérable. elle parait vulnérable. et pourtant jamais aussi forte que lorsqu’elle parvient à planter son regard dans le sien pour lui dire ce qu’elle pense avoir lu. « je te promets que je vais faire des efforts pour qu’on se comprenne mais en attendant tu vas devoir me croire. tu t’es trompée. »  sérieux à en crever, incapable de sourire quand la majeure partie de l’énergie est dédié à maintenir cette façade lisse. la placidité comme devanture, pourvu que tout le reste soit passé sous silence, hors d’atteinte de ses yeux qui lisent déjà bien assez de réalités erronées. il la ramène doucement à commode, la réflexion est laborieuse et l’angoisse lui parait si palpable qu’il est certain de l’avaler à chaque déglutition. il ne voulait pas lui faire du mal. et ce n’est pas vraiment une réussite. les genoux fléchissent, il saisit ses cuisses pour la hisser sur le meuble. au moins ça, ils connaissent. et à la regarder, malgré la fatigue, malgré son mal être, malgré ses ecchymoses qui se colorent, malgré sa flamme complètement éteinte, il ressent toujours ce coup au coeur : elle est pas cute, elle est magnifique. les doigts abandonnent ses cuisses pour se saisir du bord de son haut et lui enlever avec autant de précautions que possible avant de le laisser tomber à ses pieds. il pose un index sur ses lèvres pour l’inciter à ne rien dire, à ne pas protester, à ne pas chercher des excuses pour s’entêter dans son idée stupide de dormir habillée. index rapidement remplacé par ses lèvres parce qu’à défaut de savoir lui dire à quel point elle lui plait il peut toujours lui faire éprouver cette alchimie qui oscille dangereusement entre l’amour qu’il a pour elle et toute l’envie qui le bouffe de plus en plus quand ils sont trop proches. d’autant plus compliqué si elle porte moins de vêtements. ses lèvres s’aventurent dans son cou mais ne savent y rester, s’aventurer jusqu’à se poser contre son sein, ressentir sa respiration. elle est vivante. c’est tout ce qu’il voudrait retenir de cette soirée. le regard a du mal à remonter pour trouver ses yeux et il s’amuse de sa propre fascination. et elle a cru qu’elle ne lui plaisait plus ? joke’s on you babi. mais il a besoin de sa validation. qu’elle réaccorde leurs violons. « j’ai jamais eu autant envie de quelqu’un que de toi, c’était pas du dégoût. tu me crois ? » difficile de mentir quand la pulpe de ses doigts affleure sa poitrine pour finalement suivre la gravité, gagner le point de repère le plus rassurant de leur monde à tous les deux et caresser ce minuscule dessin qui tient dans ses lignes toute l’improbabilité de leur relation. « je suis désolé, je suis expert en communication blasée mais j’ai encore beaucoup à apprendre en expressivité on dirait. »
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