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 when i rip (tc)

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Lyra Keegan
Lyra Keegan
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyMar 31 Mar - 22:19

ollie arrive et aussitôt l'atmosphère se détend, du moins pour elle. elle a autre chose sur quoi se concentrer que le malaise qui ne semble pas la quitter, ni elle, ni le chauffeur apparemment. entre leurs histoires de pizza et de chien, elle est un peu perdue lyra, ne comprend pas bien ce qu'il se passe entre les deux à l'avant, et elle profite du trajet pour discuter avec ollie, retrouver un semblant de normalité. "oh mon dieu, jamais je regarderais ce film, je fais un arrêt cardiaque avant la fin..." le tout accompagné d'un petit rire nerveux, of course. rien que la mention d'un film d'horreur lui donne des frissons. elle laisse volontiers ce genre à juno, préférant de loin regarder des films d'amours à l'eau de rose, si prévisible soient-ils, que de voir des gens se faire massacrer à coup de tronçonneuse, merci bien. elle lance un sourire à ollie devant son enthousiasme, le décoloré toujours prêt à se jeter tête baissé dans ce genre d'aventures, parfois trop vite pour lui-même, mais ça a le mérite de la faire rire. ils sortent tous de la voiture, se dirige vers le coffre, alors qu'elle passe son bras autour de la taille de juno. jp lui tend une bière, et ça la rassurerait presque de voir qu'elle n'est pas la seule à être incapable d'aligner deux mots. pourtant, il arrive à faire des phrases complètes sans interruptions lorsqu'il parle au reste du groupe, mais il faut croire qu'elle l'a contaminé avec ses bégaiements en série. "haha, euh... mer-merci... mais... t'as, y a... je... décapsuleur ?" les verbes, c'est pour les faibles. les phrases complètes aussi, apparemment. elle attrape la bouteille, boit une longue gorgée, en espérant que ça remettra de l'ordre dans les mots entre son cerveau et sa bouche. "oh c'est gentil, ça ! mercis." elle en serait presque surprise d'avoir réussi à aligner trois mots, enfin, devant le tatoué, alors qu'il leur offre le libre accès à ses réserves. par réflexe, la main qui vient se mettre devant la bouche, comme si elle en avait trop dit, que les mots lui avait échappé sans qu'elle n'ait le temps d'y réfléchir. c'était peut-être ça, le secret pour faire des phrases correctes ? plus de spontanéité ? ou plus de bière, pour empêcher les neurones de parasiter l'info en cours de route. le bong tourne entre les mains des autres, elle hésiterait presque à revenir sur sa décision, puis finit par se contenter de sa bière, qu'elle amène de nouveau à ses lèvres. elle jette un coup d'oeil vers la maison, guette l'arrivé du groupe de maddie. elle les rejoindra probablement à un moment de la soirée, mais en attendant, elle préfère rester avec juno et les garçons.

@juno baker @Jp Barankierowczek @ollie kane
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Nichola Walton
Nichola Walton
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyMar 31 Mar - 22:55

putain de zoo beuglant dans une baraque ordinaire, ça vaut bien une visite en terre inconnue pour un nichola qui voit de loin, de très loin, arriver la soirée chiante, remplie de gens inintéressants -pas que silver soit synonyme d'ennuis, loin de là, les plus affligeants restent les cons qui étaient sapés comme pour les golden globes au bal précédemment, et rien de neuf sous la lune, ça risque d'être ceux-là même qui le feront soupirer ce soir. mais il a rien planifié, pas vérifié qu'il y aurait une tête connue, c'est un saut sans filet, limite le frisson du danger à ce stade, parce que quoi de plus mortifère qu'une soirée sans personne pour se donner le sentiment d'appartenance. mais il est pas certain de supporter les schémas habituels. pas un texto à tamsin, c'est le joker, là, pas là, il en sait rien et il ne regardera pas son téléphone -saut dans le vide bis- parce qu'il ne veut pas rentrer en terrain conflictuel pour une connerie. parce qu'en termes d'embrouilles hastin-alton il y un stock affolant entre ses attitudes de connard détaché, son déficit d'attention croissant, le fait qu'il lui a pas proposé, pas prévenu, qu'il se soit pas transformé en golden retriever adorateur qui lui bave sur la cuisse en attendant qu'elle lui tapote le crâne… liste non-exhaustive de moyens de les braquer tous les deux alors smartphone éteint dans la poche, il aborde avec confiance la méthode du consciemment-bâtard-mais-salement-lâche. tous les prétextes sont toujours bon pour venir se rappeler qu'il supporte pas un tiers de ces chaudasses ou de ces tocards, ça flatte son antipathie naturelle qui ne demande qu'à être renforcée. pour valider l'assertion il aperçoit aspen qui rentre avant lui dans la maison. bien bonne qu'à valider ses aversions, c'est la cible parfaite pour l'échauffement réglementaire. bien seule celle-là quand elle est pas collée à la semelle de tamsin -pour ne pas dire à son cul ?- mais mal placé pour la ramener sur ce versant il se fraye un chemin. il serait tenté de se servir un verre mais l'œil est distrait, appelé ailleurs quand la version kleio du ku klux klan passe la porte. elles attendent quoi ? une allée d'offrandes ? des pétales de roses noires ? à se croire bonnes, elles ont l'air connes, mais ça semble être un critère de sélection à gop. pas qu'il cracherait d'en approcher une, loin de là mais la baise et l'intelligence ça se dissocie très bien. "vous avez laissé vos corbeaux de compagnie à la maison les dramaqueens ?" pas oublié le deal, mais ça n'est certainement pas écrit qu'il doit garder sa langue sage à défaut de la promener sur le corps du despote de cette sororité qui flaire la trahison et le sang qui coagule des couteaux qu'elles se plantent dans le dos. il suit le regard, tombe sur romy et lloyd. du beau monde, une foutue arche de noé. il passe devant kleio, lui décoche un sourire carnassier. "sympa ta robe, mais t'es un peu en avance pour l'enterrement de villin il a l'air d'avoir le cœur qui bat encore."  il esquive les autres, tente de repousser le moment où ses fringues sentiront la bière- parce que ça finit toujours par arriver dans ce genre de soirée right? – et se rapproche du couple qui fait siffler le serpent. "smart wilson." parce qu'en voilà une bonne idée, là avec leurs verres au milieu d'un festival de gobelets qui finiront par terre. le regard toise villin en second lieu, faut croire que les verres sont plus intéressants pour un walton. "t'es sorti de ton cercueil c'est sympa dracula. plus finn pour t'offrir un peu de tension, et oh coïncidence c'est la kleio qui s'enracine dans ton paysage, t'en as de la chance, ta vie est palpitante villin, je comprends que t'aies l'air épuisé de vivre à ce point. quelle résilience."  faussement admiratif, il attrape un verre, en goûte le contenu et s'amuse de la perspective d'une désastreuse rencontre kkk-apathique lloyd. "juste pour ma curiosité personnelle et voir si tu confirmes tous les putains de magazines psycho de ma mère, c'est parce que papa n'est plus là pour te prodiguer sa bienveillance et ses conseils sur ta vie que t'as un pattern un peu chelou pour tes relations amoureuses villin ? parait que ça change quelqu'un." il hausse mollement des épaules, comme si c'était anodin. putain de zoo qu'on disait. c'est sympa aussi les visites au zoo des fois.

@kleio kiriakidis et sa clique @le couple
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Sohan Cadburry
Sohan Cadburry
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyMer 1 Avr - 8:48

pas vraiment idée ce qui l'attend mais pas d'angoisse sur le sujet, sohan alterne relâchement et humeur brouillon parce que s'il n'avait pas prévu de venir ce soir, un sms plus qu'étrange l'avait poussé à venir -non, lui avait ordonné de venir, et s'il connait ce genre de ton, il n'en apprécie pas les accents de la part d'un expéditeur unknown. pourtant, capitulation, phrase lancée aux parents qui ne s'inquiéteront pas de savoir que leur fils sort, parce que sohan est un garçon tranquille et bien que ça soit vrai ça irrite toujours un peu. les contours plus que flous de la fête et de qui sera présent n'apporte qu'une vague contrariété parce que la supposition est facile : quasiment tout le monde. qui manquerait -en dehors de la team rabat-joie où il pointe tous les premiers du mois avec quelques autres- manquerait une occasion de boire gratuitement ? la question comprend la réponse : quasiment personne. et fait exprès, karma, destin, synchronicité ou juste moquerie de l'univers, il arrive juste après kleio and hers, réfugiée, oh surprise, vers les bouquins. pas le temps d'ouvrir la bouche, de signaler sa présence dans leur dos qu'elle lâche des mots qui confirme son humeur aléatoire, peu importe le rythme qui se veut entraînant qui résonne dans la maison toute entière. comme à son habitude, elle tient les laisses -serties d'obsidienne mais des laisses tout de même-, rappelle sasha dans le troupeau, se permet de souffler dulcie -peut-être qu'elle est plus proche du dragon que de la propriétaire de canidés ? tant que personne ne le voit, sohan réfléchit, ce qui n'adviendra sans doute plus quand elle aura reposé sur ses épaules de le poids de son appartenance. "en même temps tout le monde s'en doutait kleio. enfin tout le monde sauf toi apparemment." ça ne se veut pas amer, pourtant ça sonne vaguement comme tel, articulé soigneusement dans sa nuque. comme s'il fallait tenir un registre des invités à une fête organisée par une fille qu'aucun d'entre eux ne fréquentent vraiment. strong poker face ou juste l'allure naturelle d'un calme placide pour ne pas dire lénifié, le visage neutre, parce que certes, déjà légèrement blasé d'arriver dans un début de dynamiques des reproches et complaintes. "je vais vous chercher un verre ou vous comptez lire un polar acheté chez un bouquiniste ?" il aurait du les éviter, prendre soigneusement le large, mais aimanté ou juste intrinsèquement condamnée à remplir son rôle serviable jusqu'à la nuit des temps, la proposition est abruptement sincère. sohan serveur. quoi de différent par rapport à d'habitude ? "c'est pas parce que vous ne m'invitez pas que je ne peux pas rendre ce service."

@Yenifer Berry @Dulcie Gutts @Sasha Love @Abigail Pearson @Kleio Kiriakidis
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyMer 1 Avr - 8:56

Bien sûr, bien sûr que Mickey avait fait une apparition alors même que vous décidiez passer une soirée sans drama, tâche difficile vous connaissant, mais pile ce qu’il fallait pour vous remettre sur pieds après les dernières semaines. Étonnamment, c’est plutôt bien parti, les deux garçons maintenant loin et Parker jouant la carte de la sagesse, même si tu y crois plus ou moins. Tu finis par hausser les épaules, une autre option ayant été plus distrayante, mais franchement contente que la distance ait gagné, n’ayant toujours pas pardonné au garçon d’avoir été le catalyseur de votre trio détruit. Tu hoches la tête, les bras croisés sur la poitrine : si la langue accepte la requête avec humour, le regard lui, est sérieux. « Police Adri va s’en occuper, t’en fais pas. » Les codes établis, c’est maintenant le moment de s’amuser. Un sourire étire tes lèvres au souvenir de la soirée chez Jules qui n’avait pourtant rien eu de glorieux. Ça avait été plutôt trash à bien y repenser, mais de l’angoisse que tu avais ressentie qu’un de tes proches reste coincé sous les flammes ne restait plus rien si ce n’est les blagues lancées ensuite pour digérer, comme quoi quelqu’un vous avait entendu et avait volé votre idée. « Ouhh je prends en note pour plus tard ! » Ton regard coule vers la piste de danse, tu y vois Remi et Babi, of course qu’elles y étaient, la première vous faisant signe. « Mais je pense qu’on nous attend. Tu vas voir, elles sont sympa » La décision déjà prise seule, ta main se glisse dans la sienne et tu l’entraines vers les filles, désireuse de produire cette rencontre depuis un moment déjà. Si tu es honnête, depuis que l’emprise de Cruz sur Parker se soit suffisamment relâchée pour qu’elle te suive de son plein gré, sans arrières pensées (ou presque). Alors que vous vous faufilez, un garçon que tu as souvent vu avec Babi ces derniers temps se joint à elles, faudrait que tu demandes plus de détails à la belle. « Heyy ! T’es fucking magnifique. » Tu dis à Remi en l’enlaçant, souris chaleureusement à Babi mais surtout, restes près de Parker pour lui signifier que vous pouviez tout aussi bien quitter le groupe à tout moment. Un brin malicieuse, ton regard balance entre le garçon et ton amie. « C’est qui, Babi ? Ton petit ami ? » C’est pourtant bon enfant que tu la taquines, ignorant délibérément le garçon à l’air trop blasé à ton goût.

@Parker Calverley @Remington Bravo @Babi Mancini@Uriel Hillstorm
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Babi Mancini
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyMer 1 Avr - 9:58

la tête tourne, les doigts pianotent, le sourire s'étend à chaque message reçu. babi, elle attend juste de le voir passer la porte. et elle se fiche pas mal de ne pas l'avoir invité plus tôt -s'il est vraiment vexé, elle saura se faire pardonner- tout ce qu'elle retient c'est qu'il arrive. pas besoin d'argumenter pendant des heures. victoire. alors la gosse, elle est heureuse. satisfaite qu'il n'ait rien d'autre de prévu. puis le téléphone est attrapé. remi le récupère pour le glisser entre ses seins. moue boudeuse sur le visage, ça lui plait pas trop à la mancini de savoir hillstorm par là. mais elle préfère que la bravo ait le téléphone pour que babi ait le vrai uriel. même si ça l’embête au fond qu’il se retrouve sans réponse. alors elle se réconforte en se disant qu'il est en chemin, plus qu'une question de temps. la musique est lancée, la main de remi pour l'amener contre elle, la bouteille qui se retrouve contre ses lèvres. babi, elle rit sans pour autant boire.« non remi... j'ai dit que je... » les mots manquent, les corps bougent, babi se laisse entrainer. même si au fond de sa tête elle a promis -ou presque- à hillstorm d'arrêter de boire. alors elle s'empêche de tremper ses lèvres de nouveau. pour lui. elle refuse qu'il vienne pour repartir dans la seconde. alors elle se tiendra bien, babi. un peu. elle se contentera juste de ne pas aggraver son état. trop occupée à bouger -affreusement mal- sur la musique, elle en oublie presque de vérifier les arrivées. un geste sur son épaule qui la fait se retourner. et c'est immédiat. le sourire sur le visage s'illumine. les yeux bleus brillent. « hillstorm ! » qu'elle crie avant de se mettre sur la pointe des pieds pour venir l'embrasser. c'est doux, c'est agréable, c'est eux. babi y resterait bien des heures. les bras sont croisés derrière la nuque du blond. la bouteille, toujours dans la main sans même y faire attention. « se faire porter, se faire ramener et dormir avec toi chez toi. » qu'elle annonce avec un grand sourire. son programme est déjà clair dans sa tête. il n'aura qu'à suivre. et elle est presque convaincue que l'idée qu'elle rentre avec lui lui plait bien. les yeux d'hillstorm sur elle, juste sur elle. remi ignorée alors babi pose son index sur le torse du blond. les sourcils froncés contrastent avec ce foutu sourire qui ne quitte pas son visage. « sois gentil, je n'ai pas bu. je t'ai attendu. » et elle est fière, babi. autant que si elle avait couru un marathon ou si elle avait trois ans de sobriété sous le pied. et elle refuse qu'il ne la croit pas. la bouteille redonnée à la bravo. « t'es en retard nana, tu tiens encore debout. » la malice dans la voix, babi est toujours autant collée à hillstorm. adri et parker se rapprochent. elle soupçonne calverley de ne pas être du genre à danser au milieu du salon mais après tout elle ne la connait pas assez. un fin sourire pour les deux filles avant la question d'adri. probablement que c'est l'alcool mais babi n'est même pas effrayée. les mots sonnent trop officiels. elle hausse les épaules, un regard vers hillstorm avant de se retourner vers ses copines. « les filles, je vous présente.... uriel charming hillstorm » il manquait le roulement de tambour pour plus d'effet mais l'idée est la même. babi balaie la question relou et angoissante avec autant de facilité qu'un sourire. pas de petit-ami, pas de couple, rien de tout ça. c'est juste hillstorm et mancini. c'est bien comme ça. pas besoin de chercher plus loin. elle n'ira pas tout foutre en l'air avec des grands mots. « vous voulez boire ? on a de la vodka-orange faite par nos petites mains. » qu'elle demande en montrant la bouteille qui paye pas de mine. déjà bien entamée, elle résiste. le regard se pose sur hillstorm, calverley et garcia. (@urielcharming @remington bravo @parker calverley@adriana garcia  )
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Adriel Nightingal
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyMer 1 Avr - 14:04

l'arrivée de daisy semble lever le semblant de malaise qui s'était installé entre lui et ocean, pour son plus grand bonheur. "jusqu'à ce que charlie me pousse vers elle, non, on ne se connaissait pas vraiment." charlie et ses idées à la mord moi le noeud, quand elle avait quelque chose en tête, impossible de l'arrêter, encore moins de s'y opposer. avec le temps, adriel était devenu bien docile face à ses extravagances, se laissait faire, tout pour la contenter et ne pas l'énerver. parce que qu'est-ce qu'elle pouvait faire peur quand elle pétait un câble. il laisse s'échapper un rire quand la rousse reconnait ne le connaître que de vue. "ah ça me rassure, je me sens moins bête. quand elle m'a poussée vers toi, je pensais que j'étais censé te connaître mais que je t'avais oublié ? chose qui m'arrive régulièrement." vu le temps qu'il pouvait passer à être dans la lune, il lui arrivait régulièrement d'oublier ce qu'il se passait sur terre. il papote encore un peu avec les filles quand enfin, elle arrive. en faisant une entrée fracassante, comme à son habitude, envoyant valser son verre alors qu'elle se jette sur lui, le surnom le plus ridicule du monde lancé à la cantonade, mais il lui pardonne, comme toujours. il resserre ses bras autour d'elle, vient claquer ses lèvres sur sa joue. "bibi, je suis content de te voir !" sourire aux lèvres alors qu'elle se laisse tomber sur le sol, les mains toujours sur ses hanches alors qu'il admire sa tenue. "tu vas en faire chavirer plus d'une ce soir..." qu'il lui lance à mi-voix avec un clin d'oeil complice. "mais d'abord, il nous faut un verre, vu que tu viens de dégommer le mien." il lui attrape la main pour la traîner avec lui vers le punch, s'excusant rapidement auprès des filles. adriel lui sert un verre, trinque avec elle. "je t'attendais avec impatience, depuis charlie m'a lâchement abandonnée pour courir après sully, je m'ennuyais profondément... les filles viennent aussi ? on prend les paris sur combien de tes followers va réellement se ramener ?" abi la tiktokeuse, qui l'avait bien fait rire avec sa vidéo pleine de confettis et rires alors qu'elle annonçait sa venue ici à ses followers.

@abigail pearson @ocean bloed @charlie hopper @daisy humphrey
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Sullivan Collins
Sullivan Collins
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyMer 1 Avr - 17:04

dans une autre vie, un autre monde ou juste une autre temporalité, ils auraient passé la soirée à deux. ensemble, sans des dizaines d'inconnus dans le salon. pas de parents, pas de grands frères, sully aurait squatté le canapé et le lit de charlie jusqu'au lever du soleil. elle aurait râlé pour choisir le film, sully aurait capitulé en disant oui, ça aurait fini avec une charlie endormie, bercée par les caresses dans ses cheveux. ça aurait pu être beau. tendre, doux et amoureux. et sully, il bloque sur cette éventualité à laquelle il se raccroche en vain. parce-que la réalité est plus brutale. la foule s'accumule dans le salon quand lui est juste pas foutu d'aller se socialiser. passage éclair pour aller voir la principale concernée et lui faire comprendre que le coup de la non-invitation passe mal. ça se digère pas. et il sait qu'il devrait rien lui demander, encore moins rien attendre de sa part mais c'est plus fort que lui. passé après tout le monde et être juste rien dans son monde, il n'encaisse pas. pas sûr qu'il arrive à le faire un jour quand elle, elle représente tout. elle fait chier la hopper. il n'a pas été très malin d'aller la voir avec le reproche sur la langue. ça ne va faire que brûler l'allumette et donner une raison à charlie de lui gueuler dessus. tant pis, aujourd'hui il est prêt à riposter. il en a marre d'être pris pour un con. alors aucune surprise quand il la sent arriver avant de l'entendre. ce putain de parfum qui vient le hanter jusque dans ses rêves. trop piqué, putain. la main sur la chemise, elle le tire plus loin dans le jardin. et ça lui plait bien de l'avoir rien que pour lui alors qu'elle est probablement attendue à droite et à gauche. le coeur se gonfle. elle est là avec lui, pas avec eux, les autres. sa possessivité est satisfaite. et il s'amuserait presque d'avoir réussi à la faire câbler en deux phrases. prévisible mais beaucoup trop facile. la clope entre les lèvres, il dit rien, il se contente de fumer quand elle lui sort le grand jeu. pourtant ça bouillonne à l'intérieur. il refuse de se la jouer silencieux et impassible. pas ce soir. « ta gueule charlie, putain. » il gronde, il s'empêche d'aller plus loin. le poing est serré, la bouche occupée par la clope. il tient tête sans la confronter complètement. parce-qu'il lâche prise, ça finira comme la dernière fois. des cris, des insultes, des reproches et une charlie qui se barre. c'est comme ça que ça marche entre eux non ? « pas besoin d'un dessin ou d'une dissert. » la voix est grave et autoritaire. il refuse de rentrer dans son jeu. pourtant il suffit que d'une chose. parler de cette nuit-là suffit pour le faire vriller. clope finie, mégot jeté par terre, sully perd patience. « tu te fous de moi ? t'es même pas foutue de m'envoyer un putain de message pour me prévenir que tu fais une soirée et je dois fermer ma gueule et me tenir correctement ? » il se mord la langue pour ne pas crier tout ce qui bousille son coeur depuis plus d'un an. la liste est longue, le prénom charlie est apposée à chaque ligne, en gras et surligné. « tu peux crever, charlie. j'ai aucune envie d'être vivable. pas quand c'est mon frère qui m'apprend que tu fais une soirée. donc on en est là ? tu trouves mon numéro quand t'as froid la nuit mais t'es pas capable d'être cordiale sobre ? donc je reviens dans deux heures, là tu voudras bien de moi ? » bordel, lui il la veut dans tous ses états. sobre, ivre, cute, énervée ou violente. il prend le package complet charlie hopper. pour toujours. ce qu'il est con. « putain c'était une erreur. » de venir. pas eux. jamais. le regard fuyant, l'envie de dégager. il se rapproche d'elle « profite de ta soirée, c'est pas comme si tu voulais que je sois là à la base. je me casse. » il est amer, sully. il aurait aimé espérer autre chose. quoi ? aucune idée. mais pas de recevoir un nouveau poignard dans le coeur. et elle est la pro pour ça, la hopper. il passe à côté d'elle, sans même la toucher pour retourner vers la maison.
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Dulcie Gutts
Dulcie Gutts
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyMer 1 Avr - 17:10

(@Kleio Kiriakidis, @Yenifer Berry) Devant la porte, Dulcie lisse le tissu contre ses hanches. Tire sur l'ourlet, replace ses boucles d'oreilles et une mèche de cheveux derrière l'hélix, vérifie la symétrie de ses bijoux. Même sur le seuil du temple de la red solo cup, sur les talons des sulfureuses et puissantes Yen et Kleio, le conditionnement a la vie dure et l'apparence se veut en conséquent aussi prim and proper que possible. Projection de pureté démentie par le fait qu'elle soit vêtue de noir, color code imposé par Kleio et embrassé allègrement, ne serait-ce que pour le sentiment d'appartenance, ne serait-ce que pour les rangs serrés qui fendent la foule. Malgré l'uniforme, Dulcie reste —au premier coup d’œil, au second aussi— la plus innocente du trio. Maquillage minimal laissant apparaître l'essaim de taches de rousseurs sous le trait d'eyeliner courtesy of Yen, elle est wholesome là où les deux autres, sexy et tirées à quatre épingles, ont des airs de jeunes veuves ayant assassiné leurs maris pour leurs fortunes. À l'intérieur, il fait déjà chaud et bondé. Instinctivement, elle scanne la foule à la recherche de la silhouette flegmatique et familière de @Sasha Love. Chou blanc, mais le roux de @Romy Wilson, reconnaissable entre tous, étincèle depuis l'autre côté du salon. Dulcie dessine une esquisse de sourire en signe de salutations, mais la propriétaire de la crinière tourne le menton pour glisser un commentaire au prince consort une seconde avant que les regards des filles se croisent. Le couple est tellement souverain qu'ils sont presque douloureux à regarder. Une bénédiction, sûrement, à en croire le murmure cinglant qui s'échappe du lipstick de Kleio et fouette le parquet devant les orteils de Dulcie, s'étant décalée juste à temps pour éviter d'y perdre le pied. Au moins, le fait qu'elle ait directement deviné que Dulcie était au courant atteste d'une certaine lucidité. Ou, c'est selon, de paranoïa. Elle cherche comment ménager au mieux la chèvre et le chou —respectivement, l'ego de Kleio et sa propre dignité—, s'apprête à balbutier des bribes d'empowerement bas-de-gamme lorsqu'une voix comme un orage d'août enserre leurs six poumons. Évidemment qu'elle sait de qui il s'agit avant qu'elle ne fasse volte-face ; il n'empêche qu'elle se prend la preuve visuelle comme un train de marchandise. Pour apaiser la boursouflure naissante et la balayer sous le tapis, autant dans son propre intérêt que celui de @Sohan Cadburry, Dulcie adresse à Kleio un sourire indulgent, "Sweetheart, tu vaux mieux que de te laisser pourrir la soirée par ton ex." Sous-titre à peine masqué : tu vaux mieux que la petty jealousy. L’hypocrisie ronge le sentiment de l'intérieur, elle qui convoite si violemment les lèvres qui se sont penchées au dessus de la nuque de la rousse que ça lui retourne l’estomac. À la seule mais majeure différence que Dulcie reste stoïque. Ne soupire qu’à l’abri des regards. Peut-être que l'élégance c'est se mourir en silence. Ça vaut toujours mieux que de s'en prendre aux civils. Avant que le lieutenant ne puisse faire tomber la moindre sentence, Dulcie frappe des mains, jouant l'Enjouement avec un poil trop d'intensité. "In vino felicitas ! T'auras besoin d'un coup de main," immédiatement acté par le fait que, écoutant une impulsion qu'elle regrette aussitôt, elle attrape la manche de Sohan et ouvre la route vers la cuisine aussi rapidement que possible à travers les grappes humaines. Même son nez désaffecté a compris qu'ils ne sont temporairement pas en odeur de sainteté. Surtout, elle sait d'expérience qu'il vaut mieux évacuer la splash zone vite et bien s'ils espèrent éviter le gros des dégâts. Elle le lâche après quatre mètres, la paume brûlée. Se tourne vers lui au dessus de son épaule. L'espace d'une seconde, son regard dangereusement nu le remercie à genoux. Elle le détourne avant que le reste de la vérité ne risque d'être régurgité à la suite de la gratitude. Celle-ci est probablement déjà trop inédite pour qu'il sache quoi en faire. La trajectoire choisie par Dulcie implique de passer devant Romy —fou comme le hasard fait bien les choses— et n'est-ce pas la moindre des choses que de la saluer ? Dulcie dépose un mwah contre la tempe de son amie. Morne Villin, lui, est seulement gratifié d'un "Villin" morne (@Lloyd Villin). "Sublime as always. Merci d'avoir pensé à moi." La douceur de la voix, se rendant compte de la formulation malhabile, se baigne aussitôt d'hésitation. Pour oblitérer encore un peu plus la subtilité, elle coule malgré elle un regard semi-embarrassé vers Sohan. Elle sait que le reproche voilé qu'il leur a adressé en arrivant est justifié. Elle plaide tout de même non-coupable. Quelle que soit l'offense de Dulcie, négligence ou mob mentality, son problème n'a jamais été de ne pas penser à lui.
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyMer 1 Avr - 17:34

Babi sous le bras, Babi sous ta peau, le portable qui vibre contre tes os et toi qui t'en bien fous trop. Une poignée de minutes juste à vous avant que ne s'écroule tout. Pendant ses brides d'infini, dans sa voix et contre ses doigts, t'es enfin chez-toi. Le sourire facile dans votre petite bulle fragile et sous vos pieds le monde qui vacille. Ta Babi que t'as plus envie de laisser filer, juste le tremblement des basses pour permettre à tes battements de s'aligner et te rappeler comment l'aimer. L'amour liquide dans sa gorge à couler, celle qu'elle se doit refuser sans avoir la chance de s'expliquer.

Of course. Of fucking course. Ton foyer t'es arraché, cruellement délogée. Remi sans amis, Remi aussi, sans logis. T'aurais aimé que ce soit moins vrai, que tu n'en paies pas chaque jour les frais. Une main contre son épaule glissée et d'un coup elle t'es enlevée au profit d'un petit blond, si blasé qu'il pourrait en être presque beau si ses mains se refermaient pas sur ta Babi comme un tombeau. Celui qui te méprise autant que quand elle se tourne, ses yeux à elle, brillent. Outchie comme dirait une certaine Daisy. Il parle de toi comme si t'étais pas là et sincèrement, t'aimerais que ce soit le cas. Parce qu'habituellement tu te serais battue pour la garder, quittes à gronder, à tout disloquer pour la protéger. Elle va même l'embrasser, comme si c'était pas assez. Mais devant ses yeux-là tu peux pas. Elle est heureuse, comme elle l'a jamais été même aux matins les plus doux avec toi. Et putain, ça lui va bien. Le vertige d'appréhension en t'imaginant dans son lit vide, à chercher comment y survivre. Parce que si elle s'en tirait vraiment bien sans toi, genre admettons tu mourrais ou quelque chose comme ça, c'était clairement pas ton cas. Ce soir, tu savais maintenant qu'elle ne serait pas là, que tu serais toute seule cassée, que tu devrais toi-même te recoller. Parce que, of course, ça allait pas t'empêcher de te dégommer, au contraire, ça t'aiderait même à le faire.

La suite n'aide en rien, seule entre les deux duos, le ventre d'un trop plein de trop, seule même entourée, même enlacée, personne pour ne pas lâcher ta main. « Merci... » Que tu souffles à Adri, étirant un faible sourire à son amie, Parker qui, malgré vos cercles d'amis entrecroisés avait jamais vraiment pris la peine de te parler. Certainement pas ce soir que ça allait changer, surtout avec la question qui vient déranger. La réponse savamment évitée, Babi qui sait patiner, le garçon qui vous est plutôt présenté, qui n'a même pas daigner te regarder. Tu comprends pas pourquoi elle aime un gars comme ça, autant que tu ne comprends pas comment on peut t'aimer, toi. T'es pas bien, fait un effort sur humain, une pirouette d'ego sans les mains. « Hey ! Moi c'est Remi... » Que tu te présentes, t'étrangles parce que t'as pas envie. Ta nana parle ensuite de votre concoction maison, elle offerte aux filles, tu sais plus quoi faire d'autre sinon de doucement rire, chercher une porte pour sortir, un endroit pour t'enfuir. Approchant de Babi pour déposer un baiser sur sa joue à la volée, les deux filles brièvement saluée, tu t'es envolée, la porte arrière pour te sauver. Ton décolleté d'où le paquet de clopes est rapidement délogé, à peine l'escalier est descendu que tu viens te cogner à un inconnu (@Sullivan Collins). Les mécanismes de défenses désormais bousillés, tu ne sais plus le fusiller pour le faire brûler. « Oups, désolée... » Est-ce que tu viens de fucking t'excuser ? Trop tard pour te rattraper, t'as abandonné, le briquet aussi retrouvé pour avoir la clope à allumer. Ne dépendre de personne pour ne pas finir comme la dernière des connes.

@Babi Mancini @Uriel Hillstorm @Adriana Garcia @Parker Calverley

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Parker Calverley
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyMer 1 Avr - 19:53

(@Adriana Garcia) Option A, on danse ; la réponse tombe plus par circonstance que délibération, imposée par les mouvements de deux têtes, dodelinant un peu plus loin et qu'Adri utilise de la façon d'un phare. Triste, Parker aurait préféré sa violence un peu plus durable mais en l'absence d'une alternative, elle s'en contentera. Les beats contentent les critères intraitables —fermement du côté hip hop du spectre, death before EDM— mais c'est la pudeur qui fait obstacle, objectant férocement à la démarche je-vous-en-supplie-s’il-vous-plaît-regardez-moi de la rousse qui leur fait signe. Parker coule un regard à Adri, c’est mort, doublé d’un léger coup de coude, mais be my guest. Quand la main d'Adri agrippe la sienne, elle lâche un grognement pour la forme. Pourtant, dans l'ombre entre leurs deux paumes, les doigts de Parker pressent trois fois. Une marque d'affection physique qui ne craint pas d'aller là où les mots n'iront jamais, d'établir que peu importe ce qu'il advient ce soir —et les possibilités sont nombreuses : sous le même toit, de l'alcool, du monde, Parker— elle lui est brutalement reconnaissante pour le soutien indéfectible. Arrivées à destination, Parker la lâche, laisse fondre Adri dans un hug avec la robe rouge (@Remington Bravo), tandis qu'elle, elle se contente de saluer @Babi Mancini d'un hip bump et une ombre de sourire, n'adressant rien de plus qu'un regard bref au mec qui la flanque, de qui émane une étrange sensation de déjà vu. Weird. (@Uriel Hillstorm) Il a l'air d'être tellement blasé par l'environnement qu'il lui est immédiatement sympathique, une velléité de camaraderie qui se manifeste, naturellement, par rien de plus qu'une resting bitch face standard. Elle ne se fissure pas quand la rousse lui adresse un sourire ; Parker le réceptionne en portant index et majeur à sa tempe dans un salut militaire placide. Cette fille —nommée Remi, elle l'apprend vite— porte l'amitié d'Adri comme sceau de qualité mais malgré ça, elle reste trop tape-à-l’œil au goût de Parker pour que cette dernière fasse l'effort de faire un effort. Le diagnostic est tombé comme un couperet, au premier regard, ne demandant qu'à être modifié par les faits mais sachant pertinemment qu'il y a peu de chances que ça arrive. Adossée au mur, Parker meurt d'envie d'un verre, de quoi occuper sa paume et son front, est en train de calculer les risques de tomber sur Mickey si elle tente une incursion dans la cuisine, lorsque Babi, prouvée providentielle, propose son cocktail comme un calumet. Park accepte gracieusement (lire : elle tend la main) et sirote une gorgée avant de la rendre à Babi, essuyant la commissure de ses lèvres avec une phalange tandis que la rousse s'éclipse. "Mer—ah, General Bleach !" Un index dirigé vers Hillstorm, soudainement replacé par des synapses capricieuses ; relié à des circonstances dans lesquelles il s'était démontré, n'en déplaise à Babi, less than charming. "Je me disais bien. La fusillade. Good times." Surtout, il avait majestueusement tenu tête à l'insupportable sœur Mareš et ça, in Parker's book, c'est le genre d'expérience qui lie à vie.
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyMer 1 Avr - 22:25

ta gueule charlie, putain. ça la foudroie, elle s'y attendait pas, parce qu'elle était largement loin de ses pics de tension, jouait plus la carte de l'exaspération que celle de la colère brute. elle vacille que ça lui tombe dessus alors qu'elle n'avait pas vraiment prévu de sortir les armes. soit. il choisit de les envoyer dans le mur. c'est de sa faute. il est venu mettre la pichenette. il balance l'essence sur le feu. il est responsable. elle s'enferme officiellement charlie, se mure dans sa frustration, dans son incompréhension hargneuse parce que chaque mot qu'il daigne lui donner -non, lui jeter, comme on balancerait vulgairement un os à un chien pour qu'il le ronge- ferme toute réplique possible. elle voudrait se dire qu'elle le hait. que c'est un sacré connard. qu'il va lui jouer la carte de la victime quand lui-même n'est pas foutu de se tenir correctement quand elle est là. elle refuse d'être seule. lui aussi il sait très bien les crasher tous les deux. il maîtrise les reproches incisifs, les provocations, les ta gueule charlie qui lui pince quelque chose de l'ordre…du cœur ? parce qu'elle le prend comme une gifle, un rejet brutal, l'envie qu'elle se taise. comme lui. et après quoi ? plus rien entre eux ? plus de sentiments, plus de mots ? les mâchoires sont douloureuses de s'être trop resserrées, il gronde et putain elle le trouve beau c'est insupportable. déchiré, ailleurs, déconnecté, mais vivant sully. il jette son mégot, c'est le signal, elle capte son regard puis le fuit dans la foulée, elle voulait pas de ça ce soir. pas avec lui. pas encore. pas après avoir autant tergiversé sur son cas, parce que sans savoir il appuie lourdement là où ça fait très mal. l'envie de lui hurler qu'elle a pas arrêté d'y penser est puissante, elle doit faire des efforts pour rabrouer violemment la panique qu'il parvient à secouer parce qu'il tient son doute fragile dans sa paume et l'émiette. "mais tu t'entends sully ? t'es sérieux, tu veux me faire croire qu'on est des supers amis, qu'on s'invite ? depuis quand je te dois quelque chose ? et je t'aurais invité, tu m'aurais envoyer chier pas vrai ?" parce qu'ils savent pas faire autrement, ils y arrivent pas, ils n'y sont jamais arrivés et c'est tout le problème, la communication foireuse, qui laisse les non-dits s'accumuler et les empoisonner quand tout se répand. "pardon ?!" crever. ça fait monter le ton dans sa gorge malgré elle, parce qu'elle supporte péniblement, parce que ça frappe peut-être trop durement, ou c'est juste une sémantique qui lui fait toujours un peu peur avec lui dans le fond. la terreur qu'il en ait plus rien à taper qu'elle vive ou qu'elle meurt. mais si elle a espoir de ruer dans sa colère il lui coupe toute énergie, lui donne envie de disparaître, parce que non. c'est trop. trop personnel. trop vulnérable. trop douloureux. il touche à l'intouchable, parce qu'elle sait qu'elle l'a aimé sa nuit dans ses bras quoique les contours soient flous. que l'alcool n'a sans doute rien brodé de factice juste aboli un peu trop de frontières pour qu'elle sache tenir sa distance, depuis ses retranchements cinglants. qu'elle a pas aimé que la nuit, mais un peu trop lourd. elle suffoque qu'il s'en serve comme lame qu'elle entend déjà s'émousser entre ses côtes. it hurts. "t'es un putain d'hypocrite sullivan, t'agis comme si tu étais un vrai saint, mais qui cherche ? qui a pas été cordial en premier ?! en tous cas MERCI, si jamais j'avais eu pour ambition de t'appeler, tu règles la question." elle veut y croire, qu'elle va arrêter ce réflexe qu'elle ne parvient pas à inhiber parce qu'il doit loger profondément dans ses entrailles. qu'un jour ça ne sera plus lui et personne d'autre qu'elle réclamera à chaque faiblesse. foutu mental qui cède, comporte des failles, c'est affligeant. l'erreur, elle la prend de plein fouet, comprend le pire avec horreur alors qu'il se barre. le con. parce qu'il croit qu'il peut aiguillonner, blesser, puis se casser ? "sully ! reviens là ! j'ai pas fini !" non. certainement pas, même si elle ne sait plus quoi lui dire, elle trouvera. l'inspiration colérique ça marche toujours. jetée en avant, les doigts se referment sur son poignet alors qu'il heurte une meuf. manquait plus que ça dans le tableau, les phalanges se resserrent, elle le retient, revient se mettre devant lui, entre eux, parce qu'elle a pas sa place elle. "dégage toi, vous avez déjà bien assez du salon, va te chercher des amis plus loin bravo." les canines diraient pas non à se planter dans cette gorge, sans amour, juste pour la déchirer, et revenir à plus important. poke collins. "toi tu restes. j'en ai rien à foutre qu'elle te plaise pas ma soirée, et que tu saches pas être autre chose qu'un connard. c'était une erreur ? UNE ERREUR ?! t'es venu juste pour ça ? tu t'es dit que t'allais me faire payer l'autre nuit c'est ça ? tu l'as pas digéré ?" elle voudrait le lâcher, mais il serait encore capable de se sauver, disparaître, la laisser. elle voudrait lui faire mal pour compenser sa propre douleur mais elle est juste bonne à faire contre-poids, même si la paix c'est pas pour ce soir. "attends. on reprend. eh, crétin, j'organise une fête ce soir. ça te dit de venir ? on est pas obligé de se croiser."

@remington bravo @sullylove dickhead collins
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyJeu 2 Avr - 1:25

Adriel et Ocean ne se connaissent pas et t'as déjà un fou rire sur les lèvres - bon publique, oui tu sais. « Sérieux ? ... » Mais voilà, l'explication tombe et t'acquiesce lentement, amusée. La suite est tout aussi étrange, mais t'écoutes sagement, comme s'il s'agissait là d'une partie de ping pong. Celle qu'évidemment, Abigail vient interrompre - de quoi t'arracher un autre rire, ravis celui-là. Ils sont adorable et tu soupires presque - envieuse ? Un peu. De ça et d'un autre duo, à jupette, plus loin. Pas Parker et Adriana, non de ce côté tu n'as pas d'attente - tu sais faire la différence entre une coéquipière et une amie, ça te va. Parker à tracer la limite clairement ce soir, c'est tout aussi bien - tu préfères savoir à quoi t'attendre. Mais non, c'est vers Remington et Babi que ton regard s'égare un instant. La robe rouge trop voyante. Les hanches qui balance en rythme avec les épaules, trop suave pour toi. T'es jamais qu'une gamine quand tu danse, alors tu souris à Ocean et te range à ses côtés alors que le duo de BFF disparait vers la cuisine. « Eeeet, ça c'était Abi. Vedette tiktok et bff d'Adriel. Enfin, faut pas trop se poser de question, mais elle est adorable, tu verras. » Daisy rassurante, Daisy cajolante. Celle qui lui indique la cuisine d'un mouvement de tête, ignorant tout des dramas adolescents - pas trop ton genre tout ça. Pas le temps, pas envie - ta propre vie est déjà assez chargé entre ta famille, le sport et les soucis Bravo.

L'alcool comme un rite de passage à toutes les soirées, un vague signe que tu fais partie de la masse - même si, pas toujours vraiment. Bouhou, Daisy. Tu trouves un verre et remplis celui d'Ocean, tout en lui indiquant la foule avec amusement. Parce que, toi aussi, t'as remarqué l'arrivé du couple princier tout près, mais aussi une grande blonde trop belle, sans parler d'un groupe de veuve noire. « Des anciens copains à toi ? » Les gop, quoi. Non pas que ça signifie rien, en fait. Tu rends son verre à Ocean, goûte tout juste le tien que Remington s'échappe en direction de la sortie - et pourquoi tu la suis des yeux, hein Daisy ? Ça t'arrache un soupire et déjà ton corps se met en marche, le bout des doigts qui effleurent le poignet de la rouquine qui t'accompagne, pour rejoindre celui de l'autre rousse. Celle qui se fait engueuler dans la cours arrière. « Bon, prête pour une mission de sauvetage ? J'ai une... amie, qui a besoin. Je vais vous présenter, tu viens ? » Ocean qui peut choisir. Encore le temps d'aller danser dans le salon ou bien d'aller renouer avec la golden. Toi, tu dois filer, presque navrée - mais jamais vraiment. Pas pour Remi. Daisy la masochiste, celle qui glisse dehors en pressant le pas - pour ne pas déranger la brune (@Charlie Hopper) qui engueule un gars (@Sullivan Collins). Une main redressé en signe de paix - de soumission, même que ? Ouais.

« Sorry sorry, j'existe pas... je suis une souris, etout etout... » que tu marmonnes, une grimace au visage. Navrée, vraiment. Inoffensive, parce que tu sautes déjà plus loin. La jupette qui remue sous ton empressement, jusqu'à ce que tu t'arrêtes tout près de Remi. Que y'a tes doigts qui glisse contre son coude, alors qu'elle te tourne le dos. Qu'elle s'allume une cigarette. « Hey, Rem ? ... » Parce qu'elle ne souriait pas en rejoignant la porte arrière. Parce que tu la vois, la fissure dans sa jolie armure. Que y'a tes doigts contre son bras, qui tire, tire, tire. Qu'elle croise du regard tes sourcils froncés et ton petit air inquiet. « Est-ce que ça va, Remi ? » Et par-dessus ton épaule, tu te demandes si y'a Ocean ou pas, pour l'observer aussi.

(outfit)

@Adriel Nightingal @Ocean Bloed @Remington Bravo
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Lloyd Villin
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyJeu 2 Avr - 3:13

Quand son regard croise celui de Sasha sous l'arche de l'entrée, le voltage frise l'électrocution et, au dessus de leurs têtes, l'ampoule grésille. Iris couleur Pacifique ; eye-contact, tout sauf. Lloyd le soutient jusqu'à ce que, inéluctablement, elle soit la première à faire volte-face. Lui, guidé par Romy pour qui la foule se fend telle la Mer Rouge pour Moïse, dévie juste d'un poil de la trajectoire dessinée sans jamais quitter Sasha des yeux, et, d'humeur festive, lui donne toutes les raisons de croire qu'il va l'interpeller. Au dernier instant, il bifurque et se contente de laisser son bras frôler son dos, sourire mutin vissé aux traits comme prends-en de la graine. Quand ils y pénètrent, la cuisine est délicieusement clairsemée. Romy, qui ne lâche pas son persona d'un iota, en fait rapidement son royaume. Elle déniche deux verres des placards et lorsqu'ils sont posés devant lui sur le comptoir, Lloyd gets his cue. Princesse High-Maintenance demande, Princesse High-Maintenance obtient. "Toujours sortir couvert, n'est-ce pas." Et, du bal, il a bien retenu ses leçons. Il plonge la main sous le revers de sa veste, en sort une flasque en argent, et verse deux généreuses doses de whisky qu'il dilue aussitôt par du soda traînant dans les parages. Le mix est bancal au mieux servi dans les verres à vin mais, puisque personne n'apprécie un symbole davantage que Lloyd, ça fait glorieusement l'affaire. Par dessus les tintements carillonnants, le clin d’œil déborde de malice. "Au compromis." Il a tout juste le temps de tremper ses lèvres dans le liquide que la phrase qui fâche tombe. Le roulement d'orbites qui s'en suit est si viscéral que le cou le talonne, pivote en arrière pour exposer une gorge pleine d'un grognement excédé. Estimant la réponse, expertement dramatique, suffisamment claire, il est fin prêt à porter la conversation vers un sujet autrement plus stimulant—les nombreuses façons de la faire crier, par exemple, tandis qu'il profite de la proximité qu'elle a initié pour l'épingler contre l'îlot de la cuisine—mais Romy, peu coopératrice, continue de filtrer les arrivées. Peu disposé à partager son attention au profit de of all people, fucking Kleio, il capture son menton entre pouce et index et recentre son joli visage sur lui. Fronce les sourcils lorsqu'il y lit l'appréhension et, mi-attendri et mi-pénitent, finit par soupirer dans la capitulation. "Je conçois la méfiance, fair enough, j'ai pas été on my best behavior dernièrement. Mais Kleio ? Sérieusement ? Je me respecte, tu sais." La question traite moins des zones sensibles que du dead horse. La perspective de l'Ex avec la majuscule serait beaucoup plus plaisante si seulement elle avait été à la hauteur de la biblique écharde dans la chair. Ça aurait pu être Romantique, la procession orageuse de l'intimité à l'inimitié. A la place de quoi, il s'est vu offert une cour de récréation. Kleio, qui tire manifestement ses stratagèmes foireux du rulebook de la mean girl insipide, ne lui inspire plus rien que la plus profonde des indifférences. "Comment j'aurais pu savoir ? Je l'ai bloquée partout." Le end of discussion latent plane si lourdement au dessus du point final qu'il se fait entendre all the same. Et si changer les idées de Romy implique un sacrifice, dévot qu'il est, Lloyd s'est préparé à crever en martyr. Il pose son verre sur le comptoir et, lascif, se penche sur elle. Laisse ses phalanges trouver le creux soyeux de sa nuque, et puis, au survol de ses lèvres, hésite ; le timbre de la voix passant d'onctueux à exceptionnellement doux. "Si ça te dérange de la savoir ici, on peut—" Interrompu par une voix moins non-familière qu'inattendue, il est trop occupé à se stupéfaire de l'improbabilité d'une apparition d'un wild Dickola Walton pour enregistrer toutes les informations que le connard débite ; ce type avec lequel, malgré l'essentiel d'une scolarité passée ensemble, il a dû échanger un total de cinq phrases ironico-agressives. Amusé, il arque un sourcil inquisiteur en direction de Romy, plus accoutumée à la présence de la bête d'être l'une des (former) préférées de Tamsin, Lloyd n'a toutefois aucune intention de s'en décoller pour le bénéfice du parasite. Encore moins pour le Mouton échappé de l'Orangerie—doublée du resident Woodland Satyr parce que, visiblement, why not—qui, subitement, apparaît à sa suite. Contre le plus basique de ses instincts pourtant, lorsque elle s'approche too close for comfort de Romy. Principale intéressée à qui il coule un regard entendu parce que we've been through this, pas plus tard que la semaine dernière—"ne crois surtout pas que Kleio ne saute pas sur chaque occasion de cracher sur toi et crois encore moins que Dulcie se mouillerait pour te défendre". A Mary-Sue La Sainte Vierge et à son compagnon l'Esclave Sexuel, il préfère nettement Ken-meets-Chucky qui, d'être doté d'une colonne vertébrale, est le plus intéressant par défaut. Aussitôt vus, aussitôt oubliés, il laisse aux deux autres le loisir de faire ce qu'ils font de mieux : garnir la tapisserie. "Mais tout l'honneur est pour moi. Comme c'est magnanime de part de passer dire bonjour. Entre tes exploits sur le grand écran et tes petits tours lapdog de compétition pour simultanément Tamsin et Hero, ça doit pas être facile de libérer une plage horaire. Un instant, on prendra un selfie pour commémorer ça si tu veux." Il se retourne sur Romy, la bouche si pleine d'espièglerie qu'elle lui bouffe le visage, et plante un baiser ravageur sur ses lèvres. Il la hisse sur le comptoir, et les mains glissant de l'arrière de ses cuisses au creux derrière ses genoux, referme ses jambes autour de sa taille. Il se retourne sur Romy, la bouche si pleine d'espièglerie qu'elle lui bouffe le visage, et plante un baiser ravageur sur ses lèvres. Il la hisse sur le comptoir, et les mains glissant de l'arrière de ses cuisses au creux derrière ses genoux, referme ses jambes autour de sa taille. Habite le cliché du horny teenager avec tout le gusto dont il est capable ; où, comment joindre l'utile à l'agréable. Elle demandait validation et assurance, il rêvait de donner une utilité pratique à cette manucure toute fraîche. Mademoiselle demandait à être divertie ce soir et, éternellement dévoué à son bon plaisir, Lloyd est happy to oblige. De par leur vocation d'acteurs, se donner en spectacle est devenue une seconde nature. Si l'audience s'enlise dans le malaise, ce n'est que justice d'avoir interrompu leur party of two. Dismissed. "J'adorerais débattre psychanalyse avec toi, d'un déviant à un autre, mais j'ai les mains un peu pleines toute de suite si tu vois ce que je veux dire. Rain check ? A moins que t'aies envie de témoigner de mes patterns chelous par toi-même ? Dans ce cas, on devrait pouvoir te trouver une petite place." Il pose une série de baiser dans le cou de Romy avant de lui tendre son meilleur rictus mauvais en offrande. Pity qu'on lui ait jamais laissé s'essayer à Puck pour lequel il se sait taillé. "T'en penses quoi babe ? Si on laissait Nicky jouer notre Bottom ?"

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Marlowe Nilsen
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyJeu 2 Avr - 20:58

il a cette impression étrange parfois que rien ne pourrait le décrocher d’une certaine vision. sky et sa concentration à double tranchant qui peut s’éterniser sur des détails uniques ou passer bien vite d’un moment à un autre sans aucune corrélation. c’est ainsi de son esprit fonctionne et alors qu’il se retrouve en présence d’autre, de rencontres nouvelles pour lesquelles il aurait eu auparavant une conscience de politesse et de sincère désir d’en savoir plus, il est malgré lui tourné vers elle. oshun qui prend son attention sans le vouloir, alors qu’il peut entendre le commentaire fait par lloyd et romy, il sait qu’ils ont raisons, que leur relation neuve peut faire sourire ou les montrer comme naïf. mais le sourire ne s’efface pas du visage de sky, bien trop pris par sa brune, même lors qu’ils arrivent à destination. ma lumière. alors que les deux autres se séparent d’eux, partent plus loin. sky se retrouve une nouvelle fois pris dans les yeux d’oshun, la main dans la sienne et le regard brillante. la singularité incandescente de la retrouver à chaque fois. de savoir qu’il ne pourrait pas se décrocher d’elle, ou du moins difficilement. c’est une habitude qu’ils prennent à deux, de créer une danse qu’ils ont l’air pourtant de connaître depuis des décennies. il se prend d’une envie de s’éloigner un peu, de retarder le moment de sociabilisation pour encore quelques minutes avant de s’aventurer dans les rires adolescents. viens, je veux trouver un truc à boire et maybe un coin pour fumer avant de danser. il l’entraîne doucement, toujours la délicatesse dans les mots, dans les demandes et dans les gestes. l’emporte un peu plus loin pour trouver des bières qui apparemment, n’attendent qu’eux. il en tend une à oshun avant de reprendre sa main et de la diriger vers le jardin, ou du moins l’entrée extérieur, là où il sait se traîne sûrement quelques adolescents en quête de calme ou d’intimité. sky se prend d’un frisson d’envie, de contact, d’un peu plus. alors il laisse son corps se pencher un peu plus contre celui de oshun, sachant qu’elle sera toujours là pour être un pilier. je sais pas si je te l’ai dit mais t’es magnifique. le visage qui vient frôler le sien, faire glisser son nez sur sa joue avant de déposer un baiser sur ses lèvres. il a presque peur, de ne pas savoir se retenir, voudrait conserver cette partie d’elle pour lui. de faire de son langage corporel un code, mais la tentation trop vive de vouloir prendre ses lèvre encore et encore. l’envie ne ternit jamais et il ne s’en prive pas, il n’en ressort que le sourire plus brillant. l’euphorie prés des étoiles. il se détache un peu pour venir allumer un joint, douceur de soirée qu’il affectionne de temps en temps, qu’il retrouve alors que les occasions de sortir se sont fait plus délicates avant qu’oshun ne débarque dans sa vie. ça fait longtemps que je suis pas sorti comme ça en soirée, tu dois connaître plus de monde que moi à l’intérieur. le départ de son meilleur ami a mit une couverture sur les envies spontanées du brun, a calmé un peu sa lueur de passion pour le monde quand il savait que personne ne l’attendait de l’autre côté de la rue pour entendre ses déboires. mais il est heureux qu’elle soit là à présent, pour reprendre sa flamme et la raviver. ça lui avait manqué tout ça, cette ambiance insouciante et chargée de mérite émotionnel. merci. d’être là, de l’avoir fait venir. il revient glisser sa bouche sur la sienne une dernière fois avant de s’écarter en rire bas, lui tend le joint en invitation de s’envoler encore un peu plus haut avec lui.

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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 3 EmptyJeu 2 Avr - 20:59

pas de soucis c’est toi le chef. l’accord donné alors qu’aucune question ne lui avait été posé. il ne fait qu’acquiescer aux conditions de jp, le rictus collé sur les lèvres alors que l’angoisse commence doucement à monter en lui. la crainte toujours présente, jamais très loin de tout ce tourbillon de semblant qu’il remet en jeu à chaque soirée. ollie se dit prêt à chaque fois, mais le fait est qu’au fond, il n’est jamais vraiment en état de faire le pas. alors qu’il plonge, il se laisse noyer par des décisions qu’il ne voulait pas faire à la base et qui lui retombe dessus à un moment donné. ça fait du bien un début de soirée comme ça bordel. en faire plus, témoigner d’une certaine confiance et habitude qui n’est pourtant pas là. absent même de son organisme. le gamin qui frisonne de tout son corps alors qu’il regarde soigneusement jp préparer ce qu’il faut. il prend avec entrain la bière qu’on lui tend, la familiarité de la fraîcheur sur sa main le ramène un peu sur terre. il prend une gorgée bien vite, le dégoût sous la langue, mais il s’en sert de prélude pour le reste. un avant goût des heures à venir. le blond a toujours cru qu’un moment donné qu’il allait s’habituer, qu’un certain « instinct adolescent » allait prendre le dessus, mais non. rien. il se contente de regarder la scène de loin et de lancer un sourire à tout le monde. juno pour avoir proposé de payer pour eux, et jp ensuite, qui d’un élan de générosité les invite même à se resservir si l’envie les prend. ollie espère presque que son esprit va oublier cette information, au lieu de s’en servir comme prétexte pour se noyer quand la raison l’aura quitté. il prend soin de regarder les deux autres fumer, comme un manuel qu’il se fait dans la tête avant que vienne son tour. le stresse dans les mains, il essaye de ne croiser le regard de personne au cas où il se planterait ou pire, cracherait ses poumons comme un débutant. il se fait un mantra interne de tout retenir, de faire semblant, alors que tout lui brule, y comprit le regret qui s’installe. parfait pour moi on peut y aller. les gestes rapides qui passent pour de l’excitation alors qu’il masque la vague de nausée qui le prend. il a besoin d’air, de boire, de penser à autre chose. comme s’il pouvait oublier et être comme lyra, tranquille de toute drogue. il reprend une gorgée et il sent déjà le mélange néfaste qui va le ruiner doucement. mais il s’en sert une nouvelle fois pour calmer sa respiration et prétendre que tout va bien. ils commencent alors à se diriger vers la maison ensemble, laisse entrer la musique et les discussions dans leur tympans. par instinct il balaye l’endroit à la recherche de personnes de connaissances et tombe directement sur adriel au loin. merde. il peut déjà sentir son corps se réchauffer de gêne. il  a certainement pas envie de le croiser, l’embarras encore bien trop présent pour qu’il fasse semblant que tout va bien. d’une angoisse soudainement, il se demande ce qu’il fait là, toujours la mauvaise idée alors que son esprit timide se serait contenté d’un univers moins suffoquant. euh, en vrai je sais même pas chez qui on est ? quelqu’un sait ? j’aurais peut être du demander avant de venir. juste. au cas où. vous savez quoi, j’ai trop faim quelqu’un vient avec moi trouver un truc à grailler ?   les paroles qui commencent déjà à se faire trop vite, trop rapide. le mélange de tout, la fatigue, le stresse, la drogue et l’alcool qui monte dans son corps trop léger.


@juno baker @jp barankierowczek @lyra keegan @adriel nightingal

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