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 when i rip (tc)

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Artemis Swanson
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entre le futur sociopathe et son frère on peut pas dire qu'elle sache choisir ses mecs
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyDim 12 Avr - 18:15

elle lance un dernier regard à jules, qui l'ignore royalement alors que son regard cherche des yeux une autre, une putain de silver ?! sérieusement ?! avant qu'il ne quitte la salle. elle fulmine intérieurement, meurt d'envie de lui courir après, de le rattraper pour lui demander qui c'est, cette pétasse, mais la main de walton sur sa cuisse la ramène au présent, à cette soirée qui est loin d'avoir pris la tournure à laquelle elle s'attendait. elle ravale sa rage, laisse flirty arty reprendre le dessus. jules veut se casser ? qu'il ce barre, ce connard. ce n'est pas ça qui l'empêchera de s'amuser, bien au contraire. c'est presque le petit coup de fouet qui lui manquait pour profiter de sa soirée. elle n'en revient pas de s'être laissée aller comme ça avec lui, à son arrivée, ne comprends pas ce qui lui est passé par la tête. depuis quand elle se jette dans les bras d'un mec, comme ça ? il est temps qu'elle reprenne les choses en mains, et nick sera l'instrument parfait pour reprendre le contrôle sur ses émotions qui lui échappent. aucun risque de déraper, avec lui, parce qu'à ce niveau, ils sont sur la même longueur d'onde. ça reste un jeu, aucun autre enjeu n'entre en compte que la composante physique. "tant mieux, je suis pas venue ici pour me prendre la tête." elle lui lance un sourire en coin alors qu'elle s'installe confortablement pour la durée du jeu, un bras passé avec nonchalance autour de ses épaules alors qu'elle lance la bouteille pour lui, rit à sa réponse avant de se pencher un peu plus vers lui pour lui susurrer à l'oreille. "personnellement, c'est pas sous un bus que je te jetterai..." le ton qui se fait langoureux, bourré de sous entendu alors qu'elle laisse ses doigts jouer sur son torse. elle se redresse légèrement, arque un sourcil avant de se tourner de regarder la partie d'un oeil distrait, rigole avec les autres aux gages des autres, qui semble tous plus gêné les uns que les autres. "oh c'est bon, fait pas ta prude !" qu'elle lance à une blonde qui semble se liquéfier sur place alors qu'elle enlève son t-shirt. puis son tour arrive, et elle serait presque déçue de ne devoir faire qu'un simple suçon. mais bon, c'est toujours mieux que de devoir déballer des vérités ridicules. elle se tourne vers nick, sa victime toute choisie. "tu permets ?" plus pour la forme qu'autre chose, elle n'attends pas sa permission pour venir glisser ses lèvres dans son cou, afin d'y laisser sa marque avec tout le savoir faire dont elle est capable. elle laisse courir ses lèvres jusqu'au creux de son oreille. "et ce n'est qu'un avant goût, chéri..."

@nichola walton
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Growing Pains
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyDim 12 Avr - 19:28

Le membre 'Babi Mancini' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


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Babi Mancini
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyDim 12 Avr - 19:38

le sourire aux lèvres, le corps en sécurité contre le sien, babi est heureuse de l'avoir avec elle. elle énonce son programme pour la soirée et il ne semble pas contre. tant mieux. c'est elle qui pilote. et ça la tente bien de s'endormir contre lui ce soir. parce-qu'elle sait, même alcoolisée, qu'il râle plus pour la forme que parce-que ça l'agace réellement. il compose avec ses humeurs, il s'adapte et il la laisse virevolter sans jamais la briser. babi se retrouve au milieu d'hillstorm et calverley. elle ne cherche pas réellement comprendre, elle s'amuse de l'échange. parce-que jusque là, elle n'avait pas imaginé qu'ils puissent se connaitre. la tête tournée, elle cherche remi des yeux, prête à la rejoindre pour finalement remarquer que daisy l'a retrouvée. les doigts accrochés au t-shirt d'hillstorm, babi les laisse seules. pas le bon moment de s'interférer entre les deux, la gosse est sans doute même pas au courant des dernières infos. puis l'appel du jeu qui l'amène de l'autre côté. les yeux bleus de la mancini se posent tour à tour sur hillstorm et calverley. « on joue ! » qu'elle crie, haut et fort. comme si son annonce était officielle et qu'il y avait aucun moyen pour eux de se dérober. elle attrape uriel par le poignet et pose son regard sur parker.  « ça va être fun » pas la meilleure commerciale, babi mais elle rattrape ses arguments merdiques par son dynamisme et son envie. elle se fiche pas mal des protestations de chacun et s'installe avec eux autour de la bouteille. la gosse sourit quand c'est au tour d'uriel. concentration au maximum. un baiser. l'excitation fourmille dans le ventre. et elle se dit que c'est forcément pour elle, pas vrai ? il n'irait pas en embrasser une autre devant elle. pas quand ils sont... eux. et elle ne se prive pas pour le faire dès que l'envie lui prend pourtant il se braque. pas de baiser, pas de jeu, il insulte le monde entier sans prêter attention à elle. babi se rassoit, boude, croise les bras et attend qu'il tourne le visage vers elle. elle est vexée, la gosse. les questions s'enchainent. c'est quoi le problème ? l'embrasser devant les autres ? l'embrasser tout court ? ça blesse. parce-qu'elle pensait qu'ils étaient sur la même longueur d'ondes. alors elle le frappe sur le bras pour qu'il la regarde. « le choix était trop compliqué ? trop de filles ? t'étais perdu ? » l'alcool glisse de l'amertume sur la langue. elle est blessée de pas avoir été son choix évident. parce-que lui il l'aurait été. elle se tourne vers parker, déception sur le visage, appel à l'aide. « je mérite bien un autre verre... » elle attrape un gobelet qui traine, plus ou moins propre avant de supplier parker du regard de la servir. babi laisse le jeu avancer, boude dans son coin, se laisse bercer par l'alcool et fuit uriel du regard. blessée, la mancini. et ça cisaille davantage quand d'autres jouent le jeu. plusieurs tombent sur le baiser et s'y plient. sans râler, sans rejeter la bouteille. alors elle bougonne dans son coin « eux ils ont pas réfléchi six cent ans... » puis vient son tour, elle lance la bouteille d'une main quand l'autre tient fermement son gobelet. seven minutes in heaven elle lève son verre en l'air avant de se tourner vers uriel. ça aurait pu, ça aurait être lui mais elle change d'avis. babi pose un baiser sur sa joue, parce-qu'elle est incapable de l'ignorer complètement, puis se tourne vers parker. « go girl, je t'ai sept minutes pour moi » elle glisse ses doigts dans les siens avant de la tirer vers le placard. malice sur le visage, bouteille d'alcool attrapée en chemin, uriel immobile au loin. c'est peut-être le moment de négocier une soirée avec parker. juste elles deux. (@uriel not so charming  @"parker love calverley" )
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Olivia Castel
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyLun 13 Avr - 14:45


ce soir, il y a une soirée. tu ne sais pas trop chez qui. t’avais pas prévu d’y aller. c’est pas tellement ton délire, les soirées chez des gens que tu connais pas. et puis tu as changé d’avis. enfin, ocean a oeuvré pour que tu changes d’avis. l’occasion de retrouver une vieille amie que tu n’as pas vu depuis un moment, presque depuis qu’elle a changé d’école. parce que vos quotidiens font que les jours passent trop vite. parce que ta santé prend un temps considérable sur ton emploi du temps. mais ces derniers temps, ton état s’est stabilisé et tu es plutôt en forme, alors l’occasion de revoir ocean est trop belle pour que tu la refuses. et comme ton frère n’est pas là pour t’accompagner, tu te décides à passer chez sander avant d’aller à la soirée. aller en soirée c’est bien, mais accompagnée de l’un de tes meilleurs amis, c’est encore mieux. prête à lui faire les yeux doux pour qu’il t’accompagne, même si t’es quasiment persuadée qu’il ne refusera pas de venir avec toi. mais comme toujours, vous discutez de tout et de rien et le temps passe. trop vite. si bien que lorsque vous arrivez à la soirée, celle ci est déjà bien entamée. tout le monde est attroupé autour d’une bouteille. génial. tu te contentes d’un salut tout le monde, un peu de politesse quand même. et puis tu repères rapidement la chevelure rousse d’ocean vers qui tu te diriges presque automatiquement. « désolée je suis en retard, comment tu vas ? » que tu lui souffles sans grande explication sur la raison de ton arrivée tardive. « sander, ocean, j’sais pas si tu te souviens, elle était dans notre lycée avant » présentations rapides et efficaces. normalement, ils se connaissent au moins déjà de vue, mais tu n’en es pas vraiment sure. et puis tu jettes un oeil sur les autres personnes formant le cercle. tu arques un sourcil en voyant ta meilleure amie, artémis sur les genoux d’un gars du lycée. pas sure de comprendre ce qu’il se passe, t’as du louper un épisode, parce aux dernières nouvelles, c’était pas de lui dont elle te parlait à longueur de journée. les joies des soirées lycéennes. trop de choses s’y passent en un rien de temps. en l’espace de quelques instants, tu vois un gars en embrasser un autre, puis un autre gars embrasser une fille puis encore un autre gars faire un suçon à cette même fille. et un verre qui valse. et une gifle qui se perd. ça te fait sourire, mais finalement c’était peut être pas l’idée du siècle cette soirée. alors tu regardes sander l’air un peu désolée de t’entrainer la dedans. « tu veux y jouer ? » que tu finis par lui demander. t’es pas sure d’avoir envie de te joindre au groupe. pas courageuse pour un sous petite olivia. et le courage, tu le cherches dans les yeux de ton ami, parce que t’es clairement pas prête à te lancer seule dans ce genre de jeu, dans une soirée où tu ne connais pas la moitié des gens.  
@ocean bloed, @sander gray, @artemis swanson
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Sullivan Collins
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyMar 14 Avr - 10:24

l'hôpital, la charité, tout le bordel craché de la bouche de charlie. gros foutage de gueule accompagné d'un roulement d'orbites maitrisé à la perfection. elle ose. elle ose lui balancer ses contradictions quand elle n'est pas capable d'être claire dans ce qu'elle veut. parce-que l'autre nuit, elle s'est souvenue de son numéro pour s'inviter chez lui mais ce soir, elle a volontairement pas glissé sully sur la liste des invités. elle recule devant rien, la gosse. mais il semblerait que ce soit leur jeu préféré. danser autour des oui, s'énerver après les non. un ballet de frustration et de non-dits non résolus. et sully sait qu'il n'est pas clean non plus. torts partagés. et il se réconforte sur sa maturité qui les a souvent épargnés de disputes plus ou moins violentes. ce serait, plus sage de se barrer. il a fait sa scène, il l'a allumé en public et maintenant il peut repartir, satisfait d'avoir fait son petit effet. pourtant ses doigts autour de son poignet ne l'encouragent pas à se dégager d'elle facilement. comme si tout espoir de fuite était anéanti par ce simple geste. la fin de son paquet de clopes lui semble être le signal déterminant pour confirmer qu'il n'a plus rien à faire ici. pourtant, elle trouve une solution. un fin sourire sur le visage quand elle lui dit qu'il survivra. ils savent tous les deux que non. dopé à la nicotine autant qu'à charlie, il ne pourra pas supporter une soirée avec la deuxième sans le soutien de la première. alors il s'aventurera dans sa chambre, s'il le faut. sa cachette à clopes, il la connait. il faisait en sorte de la remplir quand elle était trop vide à son goût dès qu'il venait la voir. et il hésite vraiment à reculer et prendre la porte. pourtant savoir qu'un jeu se fait dans la pièce d'à côté le stresse. il refuse qu'elle y joue en son absence. elle sera plus sage s'il est là non ? alors il reprend ses mots, il les utilise contre elle pour expliquer qu'il l'embarque dans le salon. « je me socialise » qu'il souffle sans vraiment y croire. je ne veux pas que t'en embrasses un autre. l'angoisse au ventre de l'imaginer proche d'un autre. elle se tiendra s'il est là. il se rattache à ça sans réellement en être convaincu. il ne sait pas avec elle. non, il ne sait plus. sully n'écoute pas charlie. il l'entend être surprise -évidemment qu'elle l'est. collins ne sort pas, ne boit pas, ne joue pas. il passe sa vie à garder ses frères et soeurs, à écrire des dissertations et aux entrainements de boxe. et quand le gage tombe, il a envie de croire que quelqu'un dans cet univers le hait -encore plus que charlie. un baiser. pas la peine de réfléchir des heures, il ne posera jamais ses lèvres sur une inconnue. il va vers l'évidence et la familiarité. charlie. le palpitant s'accélère. sully s'empêche d'apprécier parce-que ce serait facile d'y replonger. glisser ses doigts dans ses cheveux, poser sa main dans le creux de sa hanche, soupirer pour l'embrasser de nouveau. c'est presque écrit que ça devrait se passer comme ça. pourtant sully se protège, il se contente d'un baiser tendre mais rapide. il ne peut pas picorer davantage. ça ne serait que trop douloureux. et il n'arrive pas à comprendre charlie. elle est passive, immobile, loin d'être reconnaissable. il est incapable de savoir s'il a mal fait, s'il aurait dû en embrasser une autre ou s'il a bien fait. c'est pas clair -quand est-ce que ça l'est ?- alors il fuit. il s'évapore du salon pour sa chambre. il souffle, il grogne, il ouvre le tiroir de son bureau et glisse sa main au dessus des cahiers pour y trouver la nicotine. les yeux brillent que ça soit toujours là. malgré la rupture, il arrive encore à trouver de la familiarité chez elle. par des simples gestes, des souvenirs encore ancrés, il se rattache à elle comme il peut. les yeux divaguent, sully se noie dans la nostalgie que lui offre cette chambre. les doigts autour du paquet, il cherche des réponses à ses questions. est-ce qu'elle a tourné la page ? est-ce qu'elle le déteste ? est-ce qu'elle lui en veut de pas être venu la récupérer ? il s'y perd et est rattrapé par la porte qui claque. le regard noir prêt à incendier quiconque qui ose venir ici sans autorisation. il s'apaise en voyant charlie pourtant les sourcils se froncent dès qu'il voit la tempête dans ses yeux. elle se rapproche, pioche une cigarette, les doigts glissent dans ses poches. il se fige. davantage habitué à ses gifles ou ses poings qu'un geste aussi simple. le tu restes autoritaire résonne sans explication. ça démange de lui caresser la joue. elle est tendue, stressée et presque angoissée. immobile et silencieux, il récupère le briquet pour allumer sa cigarette à elle. charlie est nerveuse, trop pour se concentrer sur sa flamme. alors il s'exécute sans un mot. sully sait ne pas la brusquer, il sait attendre qu'elle parle. elle se détache de lui, clope aux lèvres, pour aller s'asseoir à la fenêtre. elle est belle, même énervée. putain.soirée de merde ? à cause de lui ? parce-qu'il s'est pointé ? il a tout fait foirer ? il ne comprend pas si c'est pour lui, pour le baiser, pour le jeu, pour son reproche. sully bouge pas, il reste comme un con au milieu de la pièce. le regard se perd ailleurs que sur elle. parce-qu'il attend qu'elle parle de leur baiser, bordel. il l'a embrassé et elle a rien à en dire. rien ? ça le bouffe de savoir ce qu'elle en pense mais il ne demande pas. son pull sur son lit le fait baliser. le parallèle avec le t-shirt de charlie qui traine sur sa chaise de bureau depuis un an est flagrant. il hoche la tête au sans commentaire parce-que ce serait trop en une soirée de devoir s'étendre sur la présence de ce pull sur son lit alors qu'il devrait être brûlé ou au fond d'un tiroir prenant la poussière. ça serait plus logique. alors sully balaie, fait de l'ordre, ne s'aventure pas sur ce chemin. « ta mère va te tuer. » qu'il lui dit quand elle expire sa première bouffée. et ça sonne moralisateur alors que c'est juste protecteur. parce-que charlie, elle a toujours été la pro pour se foutre dans des situations désastreuses, alors sully a très vite pris l'habitude de la couvrir auprès de ses parents. il sort une cigarette à son tour et s'apprête à l'allumer quand elle parle de suçon. la clope tombe au sol, le regard devient électrique, le ton gronde. « qui ? » les poings se serrent, la mâchoire se bloque, l'envie de meurtre s'intensifie. l'index vient dégager les mèches de son cou pour apercevoir un début de marque et il gronde, sully. l'attitude change à la seconde. le coeur crie charlie charlie charlie quand les tripes gueulent mine. le sang fait qu'un tour quand ils sont interrompus. adriel débarque, crie sa jalousie de merdeux et sully fait vite le lien. c'est lui. c'est lui qui s'est approché d'elle. sully n'assimile pas chacun de ses mots, il en a rien à foutre. pas grand chose de nouveau. charlie dit que c'est un gros con, oui chaque jour dès qu'ils se croisent. le regard est occupé à visualiser son poing dans sa gueule. à plusieurs reprises. il se demande quel est le meilleur enchainement pour lui faire comprendre que charlie est intouchable. probablement un direct. ça lui semble le plus approprié. mais le lâche se barre avant que sully puisse le toucher. ça l'arrêtera pas. s'il faut qu'il aille le choper en plein milieu de la route, il le fera. « je vais le buter. » qu'il dit en détachant chaque syllabe. pas besoin de faire dans la dentelle. les poings sont serrés, la rage bouillonne. pas un regard pour charlie, juste quelques mots « reste là. » ( @charlie la voleuse de pull @adriel nightingal)  
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Parker Calverley
Parker Calverley
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyMer 15 Avr - 18:32

Parker concède le point avec un tilt de goulot dans la direction de l'orateur. La foule est dense, la cible est facile. Elle n'est pourtant pas d'accord avec l'estimation de son caractère : chez elle, c'est moins goût du risque que total manque d'intérêt pour l'issue d'une prochaine tragédie, doublé de la certitude que c'est bon, elle a eu la sienne.  Rendue callous par les évènements, elle est tranquillement certaine qu'ils sont immunisés par le fait d'être déjà passés par là. Y a un roulement dans les horreurs. What's next. Et ça ne rate pas. Un dudebro rallie les troupes pour un jeu de la bouteille, prouvant que le vrai danger se tapit dans la mortification. Un massacre à sa façon, à la probabilité beaucoup plus forte que l'arrivée d'un tireur et, en terme de divertissement, elle est tentée de dire proche. Bien sûr, Babi étant —elle le découvre de façon de plus en plus irréfutable— tyrannique sous le couvert de l'enthousiasme, pas le temps de rouler des yeux que la décision est prise. Ils jouent. Parker rencontre le regard de son homologue d'Ennui Existentiel de l'autre côté d'une Babi qui le traine par le poignet. Elle répond par une moue à mi-chemin entre résignation et encouragement. Contre mauvaise fortune bon cœur ; au minimum, à leur embarras répondra l'embarras des autres. Sauf qu'il faut moins d'une minute trente à Parker, le menton posé sur un genou relevé, pour se souvenir qu'elle n'en a strictement rien foutre des inconnus. Entre les goody two-shoes qui tortillent devant les questions et les bravaches aux tentatives limpides de rapprochement, tout est yawn. Les dynamiques qui crépitent et grincent lui passent deux mètres au dessus du scalp, l'intérêt éveillé seulement lorsque vient le tour de """Charming""", apparemment déterminé à faire mentir l'étiquette. Devant la démonstration de mépris défensif, Parker se permet un snort amusé. S'il est impossible de ne pas être d'accord sur le fond, le fait que le discours arrive après qu'il ait fait tourner la bouteille ne trompe personne ; surtout pas Babi, qui huff and puff à côté et soudainement, Parker est fascinée par une couture pétée sur sa basket. Ramenée brutalement à l'attention lorsque Babi réplique, une main dans la sienne, la tire sur ses pieds. Parker se laisse guider, à la fois ravie que son tour saute et déçue de n'avoir eu l'occasion de martyriser aucun crétin. Ceux-ci lâchent de bruyants woop-woop à l'idée de deux filles en compagnie rapprochée dans un espace clos et Parker leur adresse un majeur levé avant que la porte ne se referme sur elles. À l'intérieur du placard, peu de lumière, tout juste celle qui filtre à travers les contours de la porte. "Buzzkill Bleach ? Vraiment ?" La puissance du sarcasme est légèrement compromise par le fait qu'elle trébuche sur ce qui a l'air d'être une vieille Converse et récupère l'équilibre en tendant un bras vers la porte. Il n'empêche, the point stands. La combinaison avec Babi l'overenthusiastic est surprenante. Probablement que c'est précisément ça qu'elle lui trouve. Parker cherche son téléphone à utiliser comme lampe de poche, avant de se souvenir qu'il est dans sa veste, abandonnée quelque part dans un tiroir. "Et me choisir moi ? Un peu mesquin mais je vois où tu veux en venir. You do you Babi girl. Tu veux un suçon pour enfoncer le clou ?" Ses doigts avancent, cherchant la hanche de Babi pour s'y agripper et pousser la blague, mais trouvent à la place les courbes de la bouteille. Qui vacille. Parker, de fait, aussi. Elle bascule en avant et se rattrape à l'épaule de Babi, la plaquant contre le mur tandis qu'un cri fuse d'une de leurs deux gorges. Parker retrouve son équilibre en riant, "shit" et tapote le tissu de son t-shirt, miraculeusement sec. Merci la providence pour les petites bénédictions —et les bouchons de bouteille.

@uriel hillstorm @babi mancini
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Growing Pains
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyJeu 16 Avr - 17:11

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Rusty Adler
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyJeu 16 Avr - 18:48

L'opportunisme en porte-étendard ; si le (nouveau) vide intersidéral du porte-feuille lui a bien appris quelque chose, c'est que tous les moyens sont bons pour s'enivrer sur le dos des autres. La seule perspective de boire à l’œil et tout ça aux frais de princesse Hopper, bonus non-négligeable, a suffi à faire sortir l'ours mal léché de sa tanière. Le temps de l'hibernation sociale définitivement passé, l'heure est aux retrouvailles. La réintroduction du fils prodige — maudit — dans la haute société de l'alcool tiède et bon marché et des hormones en pagaille. Son cocktail préféré. Mais pas question de faire le saut de l'ange dans la gueule béante prête à l'avaler tout cru sans gilet de sauvetage. Et il en a deux, namely Ollie et Lyra. Reckless, pas entièrement masochiste cependant. Mais puisque les deux amis, improvisés silencieusement gardes du corps par ses propres soins, ont les poches si pleines de bonnes intentions, et si abyssalement vides d'une quelconque prédilection à l'affrontement, c'est mission low profile. Ce soir, Rusty Adler fait dans la discrétion, l'ironie voulant pourtant qu'Adler et discrétion soient devenus oxymore par la force des choses. Sitôt un pied en terrain (semi-)retrouvé, sitôt envolé dans un coin du jardin, les doigts fermement enroulés autour d'un cadavre de bouteille au fond ambré, et bientôt disparu dans les épaisses volutes d'une fumée précieusement analgésique. L'ours devenu souris ne s'extirpe de son trou qu'à la confusion générale venant de la maison, signifiant expressément qu'il y a soudainement quelque chose de croquant à se mettre sous la dent. Plus croquant, en tout cas, que le sempiternel refrain que lui ont servi un peu plus tôt les exs les plus tourmentés du siècle, nommément Hopper-je-ne-sais-pas-ce-que-je-me-veux et Collins-cher-ami-mais-foutrement-aveuglé.
Il a le regard de celui qui se régale. Une bouteille qui tourne tourne tourne, donne la sentence, et le cocktail devient molotov. Se félicitant d'être venu, il aurait manqué le spectacle, Rusty a néanmoins l'amitié loyale et sa compassion va, tour à tour, d'un coin à l'autre de la maison. Vers Sully disparu à l'étage — l'envie de s'en mêler lui tripote les poings, mais l'allié a l'air peu farouche de celui qui a envie de se la jouer Mohamed Ali, hors de question d'être l'huile sur le feu. Vers Ollie qui, s'il a donné le change tel les héros de ces fantasy movies préférés, n'a pas pu tromper celui qui devine son appréhension. Vers Lyra, sa (in your dreams, Adler) Lyra. Dans la main qui se serre, la red solo cup crépite. Le geste suivant est calculé jusque dans sa profonde nonchalance, mesurément souple et ce qu'il faut de précipité. Il retire son sweat, lisse savamment son tee-shirt à deux dollars, entre dans la danse des défis débiles — mais assurément divertissants — tandis que les deux dernières victimes en date s'enferment dans un placard. "Tiens," fait-il dans un souffle en plaçant le pull (qui l'avalerait toute entière) sur les genoux recroquevillés, comme les princes charmants de ces fichus romcoms dont elle leur bassine les oreilles au club. S'attribue une place près de la jolie blonde aux yeux de la biche prise au piège des phares d'une voiture. S'offre le prochain tour dans la ronde. La bouteille tourne, la sentence tombe.
Dans sa poitrine, le palpitant saute un battement ; dans sa tête, la tentation. Ce serait facile. Facile et un peu fourbe. Sous l'argument fallacieux de la sacro-sainte amitié, Rusty voit ses désirs bientôt devenus réalité. Tiraillé, parce que ce n'est pas comme ça qu'il a imaginé la scène, parce que ce n'est pas lui, qu'elle veut Lyra, parce que parce que. L'hésitation dure une seconde. Le temps de balayer la pièce d'un regard circulaire ; ses yeux sombres, deux lasers scrutateurs, rencontrent la réponse au dilemme. Dans sa tête, l'impétuosité supplante la tentation. C'est son tour. Sa scène. Action, clap. Il est rapidement devant Olivia, flanquée de sa bande, à laquelle il appartenait encore quelques mois auparavant. "Tu joues ?" Tu joues point, affirmation. Le baiser est moins chaste qu'il l'a imaginé, plus impérieux. Après tout, il en a le droit ; la promesse, c'étaient toutes les premières fois et elle est bien la première qu'il embrasse à cette fête. Sous le mouvement des lèvres, les pourquoi implorent. Pourquoi on lui a interdit de le revoir, pourquoi elle ne désobéit pas un peu plus, pourquoi il a fallu qu'il atterrisse à Silver High. Si le moment n'est en fait qu'un instant, il a l'impression qu'il dure longtemps. "My worst regards à papa Castel." Rusty recule d'un pas, clin d’œil triomphant. "C'est qui le prochain ?" lance-t-il à la cantonade en ébouriffant les mèches ébènes, s'assurant dans la foulée que ses idées sont bien en place. Regagne son coin dans le cercle. Si à vaincre sans péril on triomphe sans gloire, il se demande l'espace d'un instant quelle est la conséquence de vaincre dans la provocation.

@ollie kane @lyra keegan @sullivan collins @charlie hopper @olivia castel
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyJeu 16 Avr - 20:07

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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyVen 17 Avr - 13:30

Indéniablement sa qualité préférée chez Romy : elle se prête si facilement au culte. D'un battement de cils, moth to a flame, elle capture toute son attention. Qu'elle soit si peu disposée à la partager n'a jamais fait qu'attiser sa fascination. Elle requiert tant qu'elle ne laisse plus aucune place pour le reste. L'amour Romantique, d'une ferveur quasi religieuse, si métaphysique qu'il l'arrache au confinements du temps. Tous les plus délicieux points de pressions s'alignent et miracle cosmique ensues. De la plus organique des façons, le décor, déjà pâle en comparaison, s'estompe exhaustivement. Et, par conséquent, Lloyd n'a un qu'un regard las à décocher à l'apparition laconique de Sasha—all guns blazing mais sans le flair et l'adresse requis pour atteindre sa cible, elle vise à côté. Pas même ça à offrir à Tweedledum et Tweedledee, dont les reconnait les sifflements reptiliens mais peine à les traduire en mots, ravalées par la foule aussitôt qu'elles ont terminé d'effiler les dynamiques. Quant aux piques de Walton, elles tombent dans l'oreille d'un sourd. Effleurent la surface du derme sans jamais le percer. Notable friand des joutes verbales, surtout lorsqu'elles sont si expertement infusées aux fils barbelés, Lloyd se serait livré à l'Art pour l'Art si seulement les doigts habiles de Romy ne l'avait pas amputé de la vaste majorité de ses capacités de réflexion. Sa main droite grimpe le long de sa cuisse et glisse sous le tissu soyeux de sa robe tandis qu'il lâche un "uh-huh" distrait dans la direction approximative de Nick—et, well, the asshole has a point. Il s'affaire à témoigner à son cou tout le respect qui lui est dû, l'audience oubliée, lorsque, naturellement, ce sont de ses lèvres à elle que se déversent les lames qui pénètrent. Festival des couteaux émoussés et elle est la seule qui tranche. Romy, toute royale, porte le sceptre et le poignard avec la même gravitas. Figé l'espace d'une seconde au-dessus de son épaule, il pense d'abord à une blague. Cruelle d'être manifestement à ses dépends ;  puisque celui d'eux deux qui a le plus souffert de l'insatiabilité de Romy, le privilège d'en rire lui revient de droit. Il se redresse, atteste la démonstration de complicité qui transpire entre Nick et Romy, et il comprend qu'il ne s'agit pas d'une farce mais d'un aveu. Coupable de l'apathie dont on l'accuse, la mémoire musculaire prend le flambeau et ses traits, aussi paisibles qu'à l'accoutumée, ne laissent rien entrevoir de la colère qui crépite dessous. "You little minx. On s'amuse sans moi ?" Le demi-sourire languide n'a d'indulgent que l'apparence. La prise autour de sa cuisse s'affermit. Sans la quitter des yeux, "garde-nous une place bien au chaud" à l'intention de Walton, qui s'éloigne juste quand ça commence à être intéressant. Un mouvement général : l'appel des pelotage illicite décomplexé est un chant de sirène qui rameute la foule à l'autre bout du foyer. Une minutes plus tard, ils sont seuls dans la cuisine. Sous le couvert de la proximité langoureuse, Lloyd jappe. "Je t'en voudrais de lâcher ce genre de bombe comme ça, mais je suppose que je devrais être reconnaissant puisque s'il ne t'avait pas mise au pied du mur, je l'aurais sûrement jamais su." Moins irrité par le baiser clandestin—Dieu sait qu'il a composé avec beaucoup plus— que par les habitudes qui ont la peau dure, blindsided par Romy jusqu'au moment où ça n'était plus à son unique avantage. What else is new. Il s’apprête à enchaîner quand, interpellé par une voix venue du salon, leurs deux mentons pivotent. Il n'a pas saisi la question, mais la réponse de Sasha est suffisamment équivoque pour en deviner l'essence. Aussitôt, il peut sentir la colère irradier de Romy par vagues nucléaires. "Tu veux jouer ? Très bien, jouons." Il la prend par la main et la dirige jusqu'à l'épicentre de la soirée, concentré en cercle approximatif autour d'une bouteille. Repère tout de suite Sasha et, conscient du regard incendiaire de Romy sur ses omoplates, s'approche jusqu'à s'immobiliser derrière elle. Tend un bras contre son flanc pour atteindre la bouteille et, juste assez proche pour souffler dans son oreille, teste les limites de sa bravoure. "Faudrait revoir le dosage des meds, love. Manifestement, la mémoire et les facultés cognitives ont été touchées." Un flick absent du poignet plus tard, il remercie sa bonne étoile. "Un. C'est toi qui est passée devant, m'a regardé droit dans les yeux, et t'es retournée sans un mot. Deux. Pourquoi j'aurais quoique ce soit à cacher ? C'est pas moi qui tremble dès que Kleio claque sa langue." Il recule d'un pas, coule un regard satisfait à la royale girlfriend et savoure l'espace d'entre-deux où elle, il en est certain, est en train de l'imaginer sur le point d'inviter Sasha à la suivre pour sept minutes au paradis. "Mais c'est adorable que je t'aie tant manqué. Tu connais Romy, pas vrai ? Je vous laisse catch up, je reviens." Avant qu'elle ait le temps de l'emprisonner dans ses merveilleux filets, il se dérobe et fonce droit sur Walton, lui-même en excellente compagnie. Fidèle à sa réputation, il a déjà une jolie blonde perchée sur ses genoux (@Artemis Swanson). "Je te le rends dans sept minutes. Il paraît que Nick a un kink avec les placards et je rêvais justement de tester cette théorie." D'un signe de tête de tête, Lloyd désigne ledit placard à Walton. "Alors, tu viens, Bottom ? Tu disais quoi sur le cran déjà ?"

@romy wilson @sasha love @nichola walton
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyVen 17 Avr - 14:45

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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyVen 17 Avr - 14:51

L’ambiance finalement demeurait plutôt cool notamment grâce aux questions. Cependant, dès qu’un gars a pour question « qui choisirais-tu comme chien-guide » il faut que ça tombe sur elle. Elle qui jusqu’à maintenant ne faisait qu’observer et parfois discuter avec certaines personnes qu’elle connaissait ou venait à peine de rencontrer. Ce qui était sûr, c’est que ce gars-ci ne figurerait pas parmi ces rencontres puisqu’en plus d’être l’un des élèves de son ancien établissement, ce qu’il venait de prétendre là, ne lui plaisait pas. Comment ça, gentille ? En quoi pouvait-il le savoir, simple inconnu, qu’il était ? Et puis… Être citée en tant que chien guide, franchement, elle ne trouvait pas ça digne d’un compliment. « Oui, avoir l’air. T’emploies le bon terme. » @NICHOLA WALTON qu’elle rétorque sans montrer le peu de mécontentement qu’elle ressent, préférant continuer à profiter de la soirée plutôt que se laisser anéantir par ce mauvais sentiment.

Fort heureusement pour elle, plutôt que de devoir se prendre la tête avec les anciens élèves qu’elle côtoyait, l’une d’entre elle @OLIVIA CASTEL fait son entrée. C’est donc avec un sourire aux lèvres qu’elle l’accueillerait presque les bras grands ouverts, elle qui pourtant n’a pas tendance à réaliser tout type de geste affectueux pour finalement répondre à sa question « Bien sûr que oui. En tout cas, beaucoup mieux depuis que tu es là. Et toi ? » tout en se rendant compte qu’elle est venue accompagnée « Enfin je veux dire, et vous ? » s’adressant alors à @sander gray également. « Franchement, vous devriez jouer aussi. C’plutôt cool. Puis on a rien à perdre, non ? Ce qui se produit ici reste ici. » resongeant à la chance qu’elle a eu d’avoir une question pas trop weird. Parler de son crush prof, c’le genre de question bien trop facile, sans qu’il y ait besoin de réaliser une quelconque action ni de précision et ça, c’était vraiment un coup de bol. « Si vous voulez, j’m’y remets aussi. J’ai déjà joué une fois alors pourquoi pas deux. »

À peine dit-elle ça qu'elle relance la bouteille, un léger sourire aux lèvres. Et encore une fois, il faut dire qu'elle tombe plutôt bien. La chance semble être de son côté contrairement à d'autres joueurs qui, eux, ont eu des choses à réaliser beaucoup plus epic. Elle réfléchit quelques instants avant d'effectuer cette action. Une bouteille en main avant de lancer deux vérités et un mensonge, pouvant être tant attendus par x, elle se met à répondre. L'alcool qu'elle a ingurgité faisant, mine de rien, son effet, c'est sans hésitation ni crainte qu'elle se lance. « Mh. Et si je vous disais que j'ai déjà réalisé un plan à trois, fantasmé sur une fille tout récemment et volé ma toute dernière robe que je porte aujourd'hui, d'après vous, quelles sont les vérités ? »
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyVen 17 Avr - 23:21

Le membre 'Sander Gray' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptyVen 17 Avr - 23:37

Promesse et acceptation légère, Sander a vendu son âme, non pas au diable, mais à l'angelot Castel -le vrai ange, pas le connard qui lui sert de frère et qu'il évitera proprement ce soir en sortant à une soirée où il ne mettra pas les pieds, amen. Facile de l'emmener, sans promettre d'être celui qui la protégera, parce que des soirées stupides, à conséquences pas moins stupides, il en tombe tous les week-ends et celle-ci ne fera sans doute pas exception. Une main dans le dos de La Candeur en arrivant, il a le sourire jovial de ceux qui sont dans leur élément : connerie aromatisée à l'insouciance, rien de tel pour entamer franchement ce genre de fête, et c'est encore mieux d'arriver après tout le monde pour ne pas se taper l'ambiance tiédasse des débuts. Il accorde un sourire à l'amie de Liv, @Ocean Bloed. Sociable l'animal qui ne s'interroge pas plus que ça, s'il ne la connaissait pas d'avant, ça sera le cas d'ici la fin de la soirée. Il tourne un regard amusé vers Liv, incapable de trancher si jouer est une bonne idée – du moins pour elle, parce que pour lui c'est l'écueil parfait pour aller oublier le goût des lèvres de son frère. Le ridicule ne l'atteint pas, Sander, alors il signerait sans hésiter s'il n'y avait pas Olivia dans la balance. " Je ne sais pas si —" Mais fallait bien que quelqu'un en décide autrement, de préférence un type qui s'impose pour lui ravager la bouche de la gosse. Regard stupéfié et silence allongé, il regarde Ocean retourner au jeu quand la fille Castel est encore prisonnière de lèvres carnassières—soit. "Bon apparemment on joue." Il récupère un verre, tire Liv pour aller prendre place dans le cercle quand son rapace la libère. "T'es comme ça toi, tu te fais remarquer direct.", qu'il lui souffle à l'oreille en riant. "Mais pas de conneries trop grosses, ton frère me tuerait pour de vrai." Et encore. Il veut bien mourir des mains de Lip, mais le pire c'est surtout que ça ne signifierait plus aucune chance que l'exception d'une nuit se reproduise. Le regard glisse, capte Artemis, et il n'est plus aussi certain que ça soit une bonne idée d'être là. Assis dans le cercle, difficile de suivre les cascades des autres mais les vérités douteuses d'Ocean suffisent à attirer son attention, capter sa curiosité. "Oh wow. Lourd. Je vote pour le plus soft, t'as pas volé la robe." Peu importe la vérité, elle a gagné son admiration pour jouer si bien le jeu.  "T'as peur de rien toi." Et secrètement il prie pour que Liv ne balance pas des trucs pareils, parce qu'elle est trop douce pour ce genre de traitement mais aussi parce que ça ne finira par sortir de ce cercle et se répéter dans les couloirs. Manquerait plus que le nom des Castel soit assimilé à des question sur sa virginité où des conneries de ce goût. Il se penche en avant, l'index volontairement désinvolte donne un mouvement sans conviction à la bouteille. Tomber sur un banal échange de vêtement est une façon soft de rentrer dans le jeu, même si une partie de lui geint à l'intérieur de ne pas pouvoir aspirer à voler une fringue intéressante. "Je vais te laisser ta robe Ocean je suis sympa. Mais toi…", qu'il ajoute en se tournant vers Liv alors qu'elle a déjà fait en entrée en matière particulière. "…tu vas avoir la chance d'échanger ton haut avec moi, je vais être incroyablement sexy je le sens. Deal ?"

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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 6 EmptySam 18 Avr - 16:54

enfoncé dans son raisonnement binaire qui ne connait qu'une valeur acceptable —ne certainement pas l'embrasser pour un jeu, parce que ça n'a rien d'un jeu si chaque rapprochement rend leur relation un peu plus compliqué à définir ?— il passe à côté des conséquences. elle piaffe et lui, dans son début de mauvaise humeur renfrogné, ça fonctionne comme des œillères pour la moue emplie de déception. une main frappe son bras et elle écope en retour d'un regard orageux. tout mais certainement pas la violence, aussi ridicule et molle soit-elle. elle hérite de l'attention et de la tension. l'amertume, le sarcasme, juste en face, dans cette bouche normalement si douce ? ça le braque dans la seconde, il gronde en détournant le regard, c'est tout ce qu'elle obtiendra comme réponse, parce que de toute façon il ne comprend pas la question. où elle veut en venir. ce qu'elle souligne. parce qu'il a jamais été question de faire un choix, d'hésiter entre plusieurs nanas. il joue au sourd, même s'il l'entend parfaitement réclamer un nouveau verre. il ne voit pas la causalité mais il est prêt à parier que tout ce bordel est lié. peu importe. il lui tiendra les cheveux s'il faut, ça peut même se faire en faisant la gueule et il ne trouve rien à redire de ses ambitions d'ébriété rapide. si ça l'amuse.  c'est à peine s'il suit le jeu, les échanges plus ou moins glorieux : du troc de libido au don de gifle, c'est absolument par-fait. jeu à la con pour agiter l'adolescence effervescence. ça marmonne à côté de lui mais il feint l'indifférence profonde, parce que c'est sa nature logique. sauf que la logique a foutu le camp du moment où elle a réussi à mordre assez fort pour apposer une marque et blesser. babi. mordre. putain de fête de merde. le regard dérive vers la porte, l'envie de prendre la tangente est plus puissante que jamais mais il faut que la gosse lance la bouteille. c'est sa faute s'il est là après tout. autant rester. la sentence parait saugrenue, et si elle se tourne vers lui c'est uniquement pour embrasser sa joue. c'est une blague ? contrariée mais tendre. tendre mais qui se barre.  médusé il la regarde embarquer sa PartnerAlcoolique, ça prouve son point qu'un truc foire momentanément entre eux. reste à savoir s'il doit en profiter pour aller chercher son Seven in Heaven dehors loin de ce truc qui n'est pas prêt de gagner son approbation, et attendre qu'elle veuille rentrer enfoncé dans un dérivé de patience neutre et insensible aux heures qui devront forcément s'écouler. peu importe si ça offre le badge du PlusRabat-joieDeLaSoirée puisque cette étiquette n'est que vérité acceptée et assumée. il délaisse le cercle pour aller se trouver un verre qui, à défaut d'avoir les prétentions d'égayer son humeur, fera au moins passer le temps mais à peine le gobelet en main la pupille accroche les iris limpides de babi qui, time's up amen, revient dans le monde des vivants-ou juste des crétins, vite remplacée dans le placard. ça déclenche les attirances contraires, ambivalence des envies entre continuer ce qu'il fait le mieux : l'indifférence, ou rattraper quelque chose, n'importe quoi. ne pas rester retranché sur la contrariété mutuelle. pas que la communication soit nectar à ses papilles mais ce coup sur le bras, ça a été l'alerte de la dissonance franche, le cran d'arrêt dangereux entre deux attitudes, l'une douce, l'autre franchement glacée et abrupte. elle a bu, elle est contrariée et elle aura sans doute plus envie de se pendre au cou de sa copine qu'au sien : somme toute, la pire moment pour tenter quelque chose mais il va quand la chercher pour l'attraper par le coude et la tirer en repli vers la cuisine. "trois minutes en enfer love, après tu feras ce qui te chante."  incroyable ce qu'il peut-être étrange d'osciller entre mauvaise humeur, besoin de cadrage et attachement indéfectible. même lui ça le laisserait presque pensif. pas certain qu'elle ait envie de parler, mais il impose, pour que ça soit clair. il tourne le dos au reste du monde, voudrait feindre la décontraction en buvant une gorgée mais il finit par abandonner le gobelet sur le plan de travail, aucune humeur à la fête ou à l'alcool. "qu'est-ce que t'as ?" trop frontal, trop direct, il reprend sa brutalité, lève les yeux vers le plafond comme si ça pouvait lui offrir une solution avant de baisser à nouveau le nez vers elle. "je voulais pas te blesser d'accord ? je suis désolé." ça lui arrache la bouche, de rebrousser chemin pour la première fois de sa vie, lui qui n'en a rien à faire des conséquences de ses choix sur les autres. "c'était pas volontaire."

@BabiLove @PartnerParker
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