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 when i rip (tc)

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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyMer 8 Avr - 21:30

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Uriel Hillstorm
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyMer 8 Avr - 23:20

elle piaille la gosse, déjà pendu à son cou avant qu'il n'ait le temps de témoigner surprise ou contentement au choix -on ne saura jamais. ses lèvres sur les siennes dans la seconde annulent toute potentielle maladresse parce qu'il ne sait jamais exactement comme l'accorder. elle déborde d'une affection facile, une tiédeur qui vient faire vaciller son persona glacé. il la réceptionne, une main à ses reins pour la retenir alors que sa joie est délayée à l'alcool cheap. "bah voyons. faut pas te gêner, invite-toi." pourtant à voir son sourire il sait qu'il proteste pour la forme, parce qu'il ne pourra pas lui résister, lui opposer un non alors que ses yeux scintillent d'un mélange de vodka et de bonheur gracile. l'index appuyé contre son torse le fait grimacer, gentil un concept mal borné qu'il prend pour accusation. ça passe, mal, mais ça passe, juste parce que c'est babi et qu'elle peut obtenir le mode mute sans faire plus d'effort que ça alors que la pupille écarte soigneusement les amies dont il n'a pas grand-chose à faire. adouci mais fidèle à lui-même, hermétique au monde extérieur qui ricoche sans jamais égratigner. du moins jusqu'à ce que la question le heurte, le laisse figer parce qu'il n'a jamais fait l'effort d'aller jusque-là-ou, à l'inverse, il a produit l'effort surhumain de sans cesse repousser l'interrogation. charming hillstorm qui reste impassible de l'extérieur alors qu'il admire la pirouette toute mancini qu'elle est. il en retourne à l'observation placide, les mots précieux, à peine surpris de voir l'amie capricieuse s'évaporer : lui ça fait ses affaires, celles de babi sans doute nettement moins mais il ne bronche pas, quelque chose qu'elle ait envie de la suivre et de le laisser là. la solitude n'a jamais fait partie des angoisses existentielles qui pourraient coloniser l'arctique. et si l'œil est fondamentalement paresseux, il est attiré par la fille identifié simplement par ce qu'elle tient -la bouteille- mais certainement pas par un vague souvenir. "mh ?" forcément lui general bleach, sans pour autant situer ce qui lui vaut cet honneur, parce que la liste est bien plus longue que ce qu'un esprit innocent pourrait lui imputer. et l'index suspendu n'a pas besoin d'entrer en contact pour mettre le doigt sur quelque chose de suffisamment chatouilleux pour provoquer un vague rictus amusé. "faut croire que toi et moi on aime vivre dangereusement si on est là." parce que c'est foireux d'avoir les deux pieds dans ce genre de soirées où suffisamment de demeurés sont réunis pour que ça vire à l'absurde. poke au connard qui passe et rameute la foule ravie de se transformer en moutons dociles. il a peine fini de soupirer qu'il sent babi s'agripper à lui avec son dynamisme qui le tue à petit feu. elle veut jouer. évidemment qu'elle veut jouer. "babi je crois p—" mais évidemment il abandonne toute protestation quand déjà elle les entraîne à rejoindre le cercle qui se forme, ronde pour suicidaires en manque de palpitations adolescentes. le regard va jusqu'à chercher Bouteille Girl parce que s'il existe une chance dans cette baraque de trouver une désapprobation blasée à hauteur de la sienne, elle est sans doute contenue dans ce corps qu'il ne remet pas. il consent à s'asseoir à côté de son soft spot. il se croit indemne. qu'il va végéter là jusqu'à ce qu'elle en ait marre et qu'elle veuille aller se coucher. la vacuité incarnée, qui va reposer sur son fessier sans se soucier de ce jeu stupide. "fuck." sifflé quand ça lui tombe dessus, qu'on attend de lui l'enthousiasme à la con qui porte la plupart d'entre eux, sans doute aidé à la bière. il force, ne va pas jusqu'au sourire mais peu au moins faire tourner la bouteille d'une pichenette blasée. rien à foutre. mais quand il s'agit de devoir embrasser quelqu'un, il lève les yeux au ciel. putain faut vraiment manquer de distraction pour en arriver là. il hésite à la jouer à la mauvaise foi, à en retourner à son indifférence linéaire sans ciller des potentielles protestations. les noms fusent, il écoute à peine, souffle, si quelqu'un le croit susceptible d'obéir c'est qu'il a bu un grand verre de naïveté avec sa vodka. "allez vous faire foutre avec votre jeu pour débiles." hors de question qu'il laisse des hyènes définir qui ses lèvres toucheront. il a toujours méprisé cette logique adolescente, le jeu facile, les paris qui ne mènent nulle part ailleurs qu'à l'humiliation collective au nom du besoin de vivre. et même babi n'est pas un argument suffisant pour le rendre fairplay. "je vous en prie, faites comme si j'étais pas là, ceux qui ont besoin d'une bouteille pour se tripoter, have fun."

@babi love @parky bouteille @son côté relou
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyJeu 9 Avr - 11:07

Le membre 'Nichola Walton' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyJeu 9 Avr - 11:26

la bile de villin c'est du petit lait qui dope les envies de performances, se la jouer flex, regarder les reproches passer avec un sourire afin de féliciter l'effort, applaudir la tentative mais se réjouir que ça ne tape nulle part où ça pourrait être sensible. notoriété publique qu'il a perdu beaucoup de temps à ménager ce connard de mareš et les caprices de tamsin, alors il n'a rien à opposer qui en vaille la peine, pas de défense bancale, pas de mauvaise foi infusé à un aveuglement stupide. fair ; mais ce soir il n'est dans le giron ni de l'un, de l'autre, sous sa propre gouverne bien assez dangereuse comme ça. "j'ai hâte qu'on crée un hashtag rien qu'à nous. mais ne souris pas sur le selfie, j'aime beaucoup cet aes de mec au bord de la mort, ça me turn on t'imagines même pas." quand il s'agit d'être provocateur il fait dans la gratuité généreuse, la langue qui vérifie le pointu de la canine, les limites c'est pour ceux qui ont peur de leur reflet. pas dérangé par cette démonstration surfaite de couple prêt à se sauter dessus dans une cuisine à peine trente minutes après être arrivé, accorde aussi peu d'importances aux plantes d'ornement qui témoignent d'une vague relation à wilson, ce qui en soi n'a rien d'incroyable - ni de palpitant. et s'il était prêt à dealer avec les échanges de salive passionné et autre recherche d’amygdale par un villin qui s'invente un rôle délicieusement réveillé, il n'avait pas prévu que romy prendrait l'initiative mortuaire de balancer ce que lui taisait -par politesse ? une première. soufflé alors qu'il s'apprêtait à renchérir pour Seigneur Blasé. plus surprenante qu'il ne l'aurait parié, ou juste trop honnête, elle provoque un rictus amusé alors qu'il guette l'impact qu'aura l'aveu en face. "tu m'enlèves les mots de la bouche, rien que je ne connaisse déjà." elle ne joue pas sur un terrain qu'il maîtrise. le sourire sincère. les mots sans venin, ça rentre pas dans les schémas qu'il maîtrise alors il passe sous silence l'aspect souvenir agréable même s'il sait parfaitement lui retourner son sourire quand il accroche son regard. c'est le spectre de la reconnaissance qui traîne en background de son humeur pour romy qui le laisse le plus perplexe parce qu'il ne sait pas où ranger ce détail, lui à qui il serait sans doute plus agréable d'arracher un ongle que d'arracher un merci. "pas facile la dynamique à deux, surtout quand un des deux protagonistes est allergique au dynamisme right?" à peine s'il relève du coin de l'oeil le passage éclair de l'ex venu récupéré son bien -quoiqu'elle oublie un meuble dans son déménagement mais il a pas le temps d'épiloguer sur les choix étranges de cette fille. "c'est vrai qu'en soft porn elle peut nous offrir son avis d'experte sapée comme ça." toujours tourner avec le vent, la fidélité c'est un concept qui ne s'applique certainement pas à sa capacité à faire des reproches à n'importe quel être vivant debout dans cette pièce. il regarde le jeu se mettre en place avec un amusement certain, parce que s'il se fiche des gages il a hâte de voir qui montrera les dents en premier et sortira le couteau pour venger un affront stupide à base de couple bafoué devant les yeux avides de tout le monde.  "va falloir repousser ton théâtre de baise lloyd, tu perds ton public, va falloir envisager de jouer avant, si tu trouves du cran dans ta petite bibliothèque perso." romy est en bonne place pour le couteau avec l'aveu de cette nana de la bande de kleio qui avoue qu'elle coucherait bien avec villin. voilà qui promet. il rejoint la masse, pas encore au fait des drama quand artemis fait volte-face après que son sort ait été scellé et le pousse à s'asseoir. c'est pas pour lui déplaire, le doigt aguicheur qui fait de lui un pantin docile. il a pas le temps de protester qu'elle est déjà installée sur ses genoux. elle l'amuse la swanson, quand elle a une idée derrière la tête et il laisse faire, sourire aux lèvres, fautif simplement d'avoir la docilité langoureuse pour ce genre de fille tout feu tout flamme. "on s'ennuyait artemis ?" les mains viennent naturellement la retenir, glisser contre une cuisse alors que le regard coule en direction de jules. putain de dramaqueen, au sommet de son hypocrisie quand il s'agit de faire le type blessé dans son amitié alors qu'il n'a pas brillé par son côté modèle quand il s'agissait de ne pas trahir. ironie aigre, qui ne mérite rien d'autre que l'immobilisme. il le regarde partir avec l'indifférence profonde de celui qui ne fera l'effort de bouger uniquement pour mieux caler artemis sur ses genoux. "on dirait que le programme de ta soirée vient de s'alléger. tu veux bien faire tourner la bouteille pour moi honey ?" parce qu'il est hors de question de se déloger de là quand elle peut se contenter de la pointe du pied de lancer le destin pour lui. les billes roulent dans leurs orbites à la vue de la question stupide qui ne fait que faire perdre du temps à tout le monde. "c'est pas le choix qui manque ici ce soir en terme de chiens. mais je vais choisir celle qui fantasme sur les profs (@ocean bloed), elle a l'air gentille, les autres vous êtes tous susceptibles de me pousser sous un bus bande de crevards."

@l'iode trop salé @wilton @ocean bloed @artemis swanson
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyJeu 9 Avr - 19:35

Le membre 'Ollie Kane' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyJeu 9 Avr - 20:59

une, puis deux, puis trois gorgées. tout pour faire passer le bruit, les gens, l’ambiance un peu trop étouffante qui l’enfonce dans un malaise dont il n’arrive pas à se démêler. ollie regarde la scène de loin, mais à l’impression de flotter au dessus de la soirée. il ne saurait dire si c’est à cause de la drogue, ou même de l’alcool qui commence à faire effet. mais plus les minutes passent et l’envie de partir en courant est forte. il est presque au point de céder, la solitude qui lui colle à la peau alors que ses compagnons ont tous préférés partir dans leur coin. il peut même voir lyra un peu plus loin, en discussion avec ses amis et ollie laisse ses pieds le diriger vers la porte. presque en défaite, prêt à prendre la fuite alors qu’une dernière proposition générale attire son attention. jeu de la bouteille ? la perspective est trop tentante et en même temps intrigante. alors que la perspective d’embrasser n’importe qui aurait de quoi le faire reculer un peu plus. il tente sa chance, laisse l’insouciance présente grâce à l’alcool pour le porter vers la foule qui s’installe autour du plateau. désolé je m’incruste, c’est à moi je suppose ? il s’oblige à annoncer sa venue, comme si la foule allait le reconnaître. lui ne connaît déjà pas grand monde alors qui pourrait le remarquer. de toux ceux qu’il connaît il évite pratiquement. c’est plus facile, donner l’allure d’une nonchalance alors qu’il dévie le regard de tous. le blond essaye de garder l’esprit sur terre, se concentre sur le froid de sa bouteille de bière -deuxième, troisième ? il a perdu le compte-. le suspens lui donnerait presque mal au crâne, de savoir sur quoi le jeu va s’arrêter. et alors que le destin semble faire son choix, lui déchante. euh ahah. le rire qui passe mal, coincé dans la gorge alors qu’il tombe sur la pire case pour lui. bien trop prude des expressions amoureuses ou même sexuelles. un baiser qui ne ferait pas sourciller la plupart, lui le prend comme damnation. trahison de son propre esprit qui n’aimerait embrasser qu’une seule personne. il essaye d’évacuer tout ça avec de l’humour, mais ça passe de moins en moins. le sourire qu’il affiche est faux et commence à lui échapper peu à peu. je peux faire comme l’autre et me défiler ? la tête qui se tourne vers l’autre blond qui a refusé un peu plus tôt de faire le même défi. il le regarde une seconde comme s’il espérait recevoir un soutien curieux, décidément quelque chose qui n’arrivera jamais vu le regard que lui renvoie l’autre. ollie aimerait avoir le même cran, la même indifférence des choses et balayer l’idée d’un roulement oculaire. pourtant les rires résonnent et les noms fusent, ça tourne autour de lui et il pourrait presque sentir le poids social sur son corps. la pression d’une action qu’il n’a aucunement envie de faire. puis la sentence tombe et est presque sans appel. adriel. la panique est d’autant plus forte, souvenir d’un échange plus que gênant, à croire que les deux sont destinés à n’avoir que des rencontres ombrés par de l’embarras. sérieusement ? oh et puis fuck it c’est un jeu aprés tout. c’est ça ollie, fait semblant. la parade d’un gamin qui se fout de tout, qui ne prend pas la pire décision de la soirée. alors que le cœur bat beaucoup trop fort, qu’une voix dans sa tête pleure au loin. de devoir embrasser un autre, de salir toutes les envies exclusivement réservées à volk. il se penche vers adriel, essaye de faire passer une confiance et assurance qu’il n’a pas. les gestes un peu trop rapides, un peu trop brusques, le stresse qui précipite ses mouvement et lui fait agripper la nuque de l’autre avant de poser sa bouche sur la sienne. ça ne dure que quelques secondes, mais le moment passe en agonie. les oreilles qui bourdonnent, il se détache de l’autre en un regard douloureux. désolé. le mot passé en murmure, il espère bien que l’autre l’entende, le pardonne encore une fois de le mettre au centre d’une attention qu’il n’a certainement pas réclamé. sûrement aussi gêné que lui par la situation. il revient à sa place en silence et s’empresse de boire le reste de sa bouteille, de quoi le faire grimacer pour autre chose. faire passer la pilule d’un regret qui l’assomme après le baiser. il n’ose tourner le regard vers lyra, encore moins vers romy qu’il a vu non loin. il sait qu’elle ne s’empêchera pas de lui faire un commentaire si l’opportunité arrive, une raison en plus pour le torturer. hum. suivant ?





@lyra keegan @uriel hillstorm @adriel nightingal @romy wilson
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyVen 10 Avr - 16:04

Le membre 'Sullivan Collins' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyVen 10 Avr - 16:34

il regrette presque instantanément ses mots. parce-qu'il sait très bien que ça ne fera qu'envenimer la situation. il se rend compte qu'il est incisif et piquant. quand son silence est déstabilisant, ses reproches sont douloureux. il est vexé, il est en colère et il n'arrive pas à rester impassible. pas capable d'être patient, il ne sera pas le plus mature ce soir. alors il enchaine, il ne réalise pas vraiment qu'il peut la briser aisément. parce-que ça ne lui viendrait jamais à l'esprit de vouloir le faire. mais il se prépare à ses coups, elle ripostera forcément. et ça frappe violemment. t'es sérieux, tu veux me faire croire qu'on est des supers amis, qu'on s'invite ? depuis quand je te dois quelque chose ? et il est là le problème. cette frontière encore trop floue alors qu'elle devrait être pourtant scintillante de clarté. plus ensemble, plus en couple, juste des exs. elle ne lui doit rien. aucune invitation, aucune justification, absolument rien. et ça, sully, il encaisse mal. parce-qu'il aimerait être le premier auquel elle pense quand elle veut organiser une soirée. et évidemment qu'il l'aurait envoyé chier. probablement que la carte du baby-sitting aurait été encore utilisé. « c'est bon, j'ai compris. fais ta vie, je ferai la mienne. c'est comme ça que c'est censé marcher non ? tu me dois rien. » et il lève les mains, prêt à faire un pseudo mea culpa. il sait qu'il est en tort. il ne peut rien lui réclamer. pas sa place, pas son rôle, il n'est plus rien pour elle. juste un foutu fantôme. pourtant ce qu'il se passe sous la cage thoracique prouve bien que la rupture est encore une cicatrice ouverte. mais il lui en veut d'envoyer tous ces signaux contraires. un jour blanc, un jour noir. charlie sobre ne veut pas de lui et est prête à l'insulter parce-qu'il ose être trop près quand charlie alcoolisée réclame de l'attention et de l'amour. il est paumé, sully. pas capable de composer avec charlie dans tous ses états. et ce soir il aurait peut-être eu le droit à une charlie douce et tendre s'il n'avait pas cherché. et son prénom entier dans sa bouche, ça creuse un fossé. plus sully, juste sullivan. elle balaie tous les souvenirs et leur proximité en ajoutant quelques lettres. rude. « on compte les points charlotte ? » lenteur sur la langue, le regard est fixe. il veut juste mettre de la distance comme elle, elle arrive le faire avec facilité. pourtant sully peine. « m'appelle pas, m'invite pas, c'est mieux comme ça. » ça cisaille les entrailles. parce-qu'il aimerait lui crier que c'est tout le contraire de ce qu'il veut. mais il bas en retraite. il se détache d'elle pour partir. c'était une mauvaise idée de venir, de se donner en spectacle et de l'accaparer à sa propre soirée. elle ne voulait pas de lui, il ferait mieux de rentrer. alors il se la joue mature. on peut compter sur charlie pour décider autrement. elle lui court après. et il se contente d'avancer pour s'empêcher de se retourner et céder. parce-qu'elle va forcément réussir à le faire rester. il sent ses doigts sur son poignet et il sait qu'il ne résistera pas. il bouscule une rousse, pas le temps de comprendre réellement qui, pourquoi, comment, charlie offre sa plus belle amabilité pour la faire dégager. « ce soir, venir, c'était ça l'erreur. arrête de... » qu'il souffle, épuisé qu'ils ne se comprennent pas. pas l'autre nuit, jamais. parce-qu'il le chérit ce souvenir suspendu dans le temps. sa tendresse, sa candeur, sa vulnérabilité. il a retrouvé sa charlie pour quelques heures et il ne le regrettera jamais. ça brûle le contact de ses doigts sur son poignet mais il est bien trop faible pour se détacher. alors il souffle de nouveau. les yeux vers le ciel, il se calme de lui-même. il refuse de mener cette engueulade plus loin. et quand elle se rattrape, un fin sourire se glisse sur son visage. elle est impossible. impossible à détester. « j'ai plus de clopes. » qu'il répond facilement. alors qu'il est complètement à côté de la plaque. parce-qu'elle sait qu'il ne survivra pas à une soirée, ici ou ailleurs, sans nicotine. et que c'es sa façon à lui de lui dire qu'il ferait mieux de partir. plus raisonnable, plus safe ou juste plus mature ? mais il ne bouge pas. planté dans le sol, trop proche d'elle pour se faire une raison. les cris dans le salon s'amplifient. un jeu a été lancé. un regard vers la pièce d'à côté. ils voient les défis s'enchainer sans trop faire attention. ses yeux retrouvent ceux de charlie. il devrait partir. pourtant il la sait imprévisible. et une charlie sur les nerfs autour d'une bouteille, ça lui plait pas du tout à sully. hors de question qu'elle se venge en embrassant un autre. il grogne, il râle, bordel il a aucune envie de s'ajouter au rond des joueurs et pourtant... « tu m'as dit de faire semblant de profiter de ta soirée c'est ça ? » il prend sur lui pour ne pas fuir. et il attrape son poignet pour l'embarquer dans le salon. ça lui coûte terriblement de se mêler aux joueurs. pas sociable le gosse. « je joue. » et il prie pour que charlie le suive. parce-qu'il ne pourra pas assumer un quelconque défi avec une autre. la bouteille tourne, le coeur s'accélère, la panique de devoir faire face à ses angoisses en public. dans quoi il s'est embarqué... ça tombe sur lui. le baiser. et il grogne. il envisage de se retirer comme l'a déjà fait un autre. les yeux restent fixes sur cette bouteille. parce-qu'il sait très bien qui il finira par embrasser. le choix est rapide et instinctif. pas besoin de réfléchir pendant des heures. c'est elle, depuis toujours. mais il aurait aimé ne pas devoir le faire devant tout le monde pour un jeu. parce-que ça enlève toute spontanéité. il pose sa main sur sa joue, ferme les yeux et l'embrasse. le coeur tambourine. le geste est agréable. l'angoisse de se faire frapper est risible. avec charlie, il ne serait pas étonné de se prendre une gifle... mais c'est rapide et expéditif. parce-qu'il a l'impression qu'il pourrait de nouveau succomber. le regard est fuyant dès qu'ils se détachent et le regret d'avoir décidé de s'installer autour de la table est puissant.  « je vais... clope. » qu'il annonce avant de se relever. fais chier. c'était pas comme ça qu'il voulait l'embrasser. pas devant tout le monde, pas pour un jeu, pas comme ça. il se dégage du groupe et monte dans la chambre de charlie. il a juste besoin de trouver un paquet de clopes et aller prendre l'air. la fuite c'est un bonus non négligeable...
@charlotte la relou
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyVen 10 Avr - 17:47

Le membre 'Adriel Nightingal' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


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Adriel Nightingal
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyVen 10 Avr - 18:32

la soirée passe et les verres s'enchaînent dans sa main alors qu'il reste avec abi, à parler de tout et de rien, heureux de la retrouver. il ne suit que d'un oeil distrait le jeu de la bouteille qui se lance, peu désireux de s'y retrouver. ça n'a jamais été son truc, ce genre de jeu, bien trop effrayé d'en dire trop, d'en faire trop, de trop en laisser paraître... le combo explosif pour lui provoquer des crises d'angoisses, et s'il peut éviter d'en arriver là ce soir, il aura réussi sa soirée. malheureusement, le destin en aura décidé autrement, et alors qu'il en est à son cinquième - sixième ? - verre de punch dosage made in charlie, les neurones nageant dans l'alcool sans vraiment réussir à se trouver, quand son prénom résonne dans le salon. il tourne la tête, pour découvrir - oh fuck. ollie qui s'amène vers lui, à peu près aussi gêné que la fois où il l'a approché dans le couloir pour lui poser la question qui le taraudait, sans se douter qu'il ne s'adressait pas à la bonne personne. le malaise qui revient simplement en posant les yeux sur le décoloré qui s'approche beaucoup trop vite, et avant qu'il n'ait le temps de comprendre ce qu'il se passe, sa main s'abat sur sa nuque alors que ses lèvres viennent s'écraser sur les siennes. ce ne sont que quelques secondes, mais probablement les secondes les plus gênantes de sa vie. il reste figé, se contente d'ouvrir des yeux ahuris alors que l'autre se retire, murmure une excuse, et adriel ne peut que hocher la tête, lui lancer un regard désolé pour lui faire comprendre qu'il ne lui en veut pas, que c'est la faute du jeu, pas la sienne. il n'a pas envie qu'ollie se retrouve aussi mal que la dernière fois, hausse les épaules, c'est pas grave, avant que l'autre ne s'éloigne à nouveau. puis c'est l'autre con qui débarque, celui qui avait disparu de sa vue assez longtemps pour qu'il en oublie sa présence. suivit de charlie, évidemment. il détourne le regard, boit à nouveau alors que l'autre idiot décide de participer au jeu et what the fuck ? il bout de l'intérieur alors qu'il ose, qu'il l'embrasse, elle, et ça fait mal. parce qu'il aimerait être à sa place, et que ça n'arrivera jamais. aussi parce que c'est qui qui devra rattraper les dégâts ? qui devra supporter charlie quand elle viendra se plaindre de cette soirée et qu'elle aura besoin de vider son sac par rapport à son connard d'ex ? c'est lui, adriel, toujours présent, pour le meilleur mais surtout pour le pire. il fusille l'autre du regard alors qu'il monte dans la chambre de charlie comme s'il était chez lui, finit son verre avant de lancer la bouteille à son tour, sous une impulsion qui lui vient d'on ne sait où. il regrette instantanément sa décision quand la sentence tombe. un suçon. un putain de suçon. son regard parcours la foule à la recherche d'une pauvre âme pour accomplir son action, mais il fait choux blanc, charlie étant la seule qu'il connait assez pour oser la proximité. et ça le tue de lui faire ça, parce qu'il sait qu'elle n'appréciera pas. il s'approche d'elle comme s'il parcourait le couloir de la mort et qu'elle était sa chaise électrique. "désolée, cha..." et dans le fond, il espère qu'elle comprendra qu'il n'avait pas vraiment le choix, qu'elle ne lui en voudra pas trop. il pose ses lèvres dans son cou presque à regret, comptes les secondes avant que l'orage n'éclate et qu'elle ne le repousse. ce qui ne manque pas d'arriver, les mains qui s'abatte sur ses épaules pour le rejeter, et il lui en est presque reconnaissant, alors qu'il attrape deux verres, dont un qu'il lui tend, le regard suppliant. "pour me faire pardonner..." avant d'avaler le sien, cul sec.

@"sullivan le connard " @charlie hopper @ollie kane
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Charlie Hopper
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyVen 10 Avr - 20:46

il fait mal sully, dans sa colère, dans sa façon de sortir du conflit tout en s'assurant que la lame blesse correctement. parce qu'elle essaye de faire sa vie sans lui. de l'éviter. d'avancer. mais elle y revient sans cesse. elle rapporte tout à lui. au nombre de soupirs qu'il a poussé à l'entraînement. au dernier regard noir qu'il lui a accordé -et qu'elle lui a retourné. à sa façon de l'ignorer. adriel en sait quelque chose, à force d'écoper de la rage, des larmes, de la colère et du ressentiment de charlie. il glisse un charlotte et elle sursaute. ew. et pourtant contre sa langue à lui c'est pas assez brutal. elle se demande si elle pourrait l'aimer, ce prénom, s'il lui avait murmuré au creux de l'oreille au réveil ? putain c'est pas le sujet et il lui rappelle brutalement. m'appelle pas. ça la heurte, la muselle. parce qu'elle lui a dit, pas vrai, qu'elle voulait l'appeler l'autre soir ? que sa voix lui manquait. ça se chevauche. "t'es chiant sully putain. oui, non, oui, non." elle roule des yeux. elle est mal placée mais ça ne l'effleure même pas. elle sait que ça a beau la marquer au fer blanc, elle ne saura jamais s'empêcher de le contacter. c'est du réflexe naturel qu'elle ne parvient plus à endiguer après des longs mois de contention. ou peut-être juste que le manque se creuse et devient insupportable au point qu'elle passe par-dessus les règles, vienne quémander. il fuit, elle rattrape. ils connaissent ce scénario par cœur. et si les doigts étaient crispés sur son poignet, elle se relâche légèrement d'apprendre que l'erreur ne concerne que cette soirée. elle baisse le nez. ça ne dure qu'une seconde. l'onde de soulagement fugace. puis ça reprend, ce jeu stupide, entre soupirs et accusation. "tu survivras." ou t'en trouveras. parce qu'il y a ce truc tacite entre eux, ce je sais que tu sais qu'elle ne prononce pas. si certains connaissent le salon grâce à d'autres soirées, lui connait tous les recoins, sa chambre et ses secrets. elle patiente, redoute d'ajouter un mot sur la pile et de le voir partir. parce que maintenant qu'il est là, elle aimerait le garder. foutu paradoxe. le regard se perd vers l'intérieur, puis le retrouve lui. "oh sully serait prêt à raccrocher son costume de rabat-joie ?" elle joue la blasée, mais l'espoir vient se loger dans son ventre. peut-être qu'il restera ? elle se laisse entraîner sans comprendre. glousse dans son dos quand il déclare jouer. "t'es pas sérieux ?" non. pas sully. elle a peur d'y croire ou de regretter, puis sent cette peur glacée la menacer : et donc, si cette bouteille à la con lui demander d'aller s'enfermer dans un placard avec une nana, il va quand même pas signer ? "tu—" ne devrais pas. elle est subitement moins à l'aise, regrette de l'avoir poussé, encore plus quand le gage tombe. elle détourne le regard fuyant, espère secrètement crever avant de voir ça. déjà prête à haïr tout le monde, lui, la meuf, l'alignement des planètes, quand elle sent sa main contre sa joue,  préparée à être enragée mais surtout pas à être surprise. elle voudrait être froide, fermée, colérique, mais ça lui échappe. c'est trop peu. beaucoup trop peu. juste le temps de lui rappeler qu'elle a aimé ça, avant. que c'était le meilleur moyen de faire taire le brouhaha environnant, qu'elle pouvait tout oublié pour un baiser bien dosé. elle est surprise. rassurée et retournée. apaisée et agacée. les contraires s'additionnent, offrent un résultat nul : une charlie passive, immobile qui le dévisage sans aucun mot qui lui viennent. il a osé rappeler à lui tous leurs souvenirs et elle est pas prête. ou juste trop sobre. elle a le cœur qui bat. comme tous les jours, faut bien assurer les fonctions vitales. mais c'est différent. elle ressent presque les vibrations minuscules dans sa cage thoracique à chaque contraction musculaire. le sang qui menace de monter au visage si elle se laisse happer par son envie d'en avoir plus, de laisser la frustration l'engloutir. putain sully. fait chier. elle souffle, le suit du regard, peine à relier les indices, la clope, lui qui prend la direction de sa chambre. what the hell. elle subit chaque seconde de cette soirée et c'est tellement loin de ce qu'elle est qu'elle balade un regard vide sur les autres. il l'a vraiment embrassé ? il a osé ? de quel putain de droit ? les sourcils légèrement froncés, elle croise le regard d'adriel qui ne lui dit rien de bon. les yeux tombent sur la bouteille, le plateau, le mot suçon, et loin de la faire blêmir il lui offre le coup de fouet dont elle avait besoin. l'émoi passe, le regard devient noir. électrique. n'essaye même pas. défensive abusivement enclenché le corps prévient, trace la frontière de ce qui est acceptable et ce qui ne l'est pas, abuse d'un mouvement de recul. elle se braque, les muscles se contractent. non. c'est qu'adriel, c'est que son ami, mais charlie, on la touche pas. c'est la règle de base, à peu près aussi facile à comprendre que la règle du fight club. la tolérance à zéro, elle prend pour agression le moindre contact involontaire, et ça manque pas. il obéit à ce défi débile, appose sa bouche dans son cou et elle étouffe. non. pas elle. pas un foutu suçon. si elle s'étrangle et ne parvient pas à produire le moindre son, ses paumes s'impriment sur ses épaules, le repousse avec brutalité. "putain mais il te prend quoi là !" elle fulmine, cette insupportable tendance qu'ils ont tous à préjuger qu'ils peuvent parce que c'est rien, ça la dégoûte. il est pas méchant, c'est pas la question, mais elle écume. c'est l'erreur qui coûte cher en terrain hopper et son verre tendu n'apporte aucune amnistie."qu'est-ce que tu veux ça me foute un verre ? tu t'es pris pour qui adriel ?!" d'un revers de main capricieux elle envoie valser le verre offert, tant pis si ça lui ajouter du ménage demain ou si le tapis de sa mère n'y survit pas. "va te faire." elle se mord la langue, elle sait qu'elle va regretter, parce qu'elle y est attachée, mais le tempérament impétueux ne sait pas se mettre en pause pour pardonner. elle ne parvient pas à redescendre, se détourne en se disant qu'elle va elle aussi avoir besoin d'une clope. mais cette trace. dans son cou. ça brûle de l'affront. elle revient sur ses pas, c'est plus fort qu'elle, sa paume va gifler brutalement adriel. "t'avises plus jamais de me faire ça adriel. jamais."  elle se sent trahie. bousculée. ça agite la nitroglycérine qui sert d'hémoglobine et le résultat est explosif. qu'il se sente épargné, d'avoir eu une gifle, quand elle aurait pu lui envoyer ses phalanges serrées en poing. elle abandonne adriel, le salon, ce jeu de merde pour se terrer dans sa chambre. qu'ils aillent tous se faire foutre. elle claque la porte derrière elle, se formalise à peine de la présence de sully au milieu de cette pièce qui les a connu beaucoup plus tendres. elle a le souffle court et les mots guère plus longs. "tu restes." elle impose alors qu'elle pioche une cigarette dans le paquet qu'il a trouvé sans effort—est-ce que ça fait encore d'eux des individus qui se connaissent bien ? elle la pince entre ses lèvres et cherche dans les poches de sully un briquet. la proximité la tue, elle voudrait juste se terrer dans ses bras, y trouver du réconfort, être rassurée d'un rien, cesser de subir, tout mettre en pause. les mains tremblent de cette nervosité qui palpite, elle doit s'y reprendre à trois fois pour provoquer la flamme. ne jamais fumer à l'intérieur, règle de base pour survivre, ne pas se faire choper par les parents mais fuck, elle ne sortira pas d'ici. "tu veux que je te dise ? c'est une soirée de merde. on reste là ça te dit ?" elle vide un pot à crayon, ça fera office de cendrier de fortune alors qu'elle va s'asseoir à la fenêtre. elle observe son bordel. sully au milieu de son bordel. sully, juste sully. et merde, son pull dans son lit depuis un an. leurs regards se croisent, elle hausse les épaules pour feindre l'évidence. "sans commentaire." elle souffle, expire sa première bouffée de nicotine, ce fiasco elle l'avait pas vu venir. "il a sérieusement cru qu'il pourrait me faire un suçon ? à moi ? fuck."

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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyDim 12 Avr - 17:25

qu'elle le repousse, il s'y attendait. qu'elle pète un câble, aussi. à la limite, qu'elle envoie le verre valser, passe encore, il peut comprendre, c'est le genre de truc qu'elle ne supporte vraiment pas. elle écume de rage, il le sait, il l'avait prévu, pas besoin d'être devin pour savoir que la hopper ne supporte pas qu'on la touche, au point d'exploser comme une bombe. tout ça, il s'y attendait, vraiment, et ça aurait pu passer, il aurait pu laisser couler sans problème, parce que c'est charlie, parce qu'il tient à elle, parce qu'il sait qu'il a dépassé les limites, parce qu'il a l'habitude de passer outre ses accès de colère récurent. parce qu'il la connait, qu'il sait que c'est l'impulsion du moment, mais que dans le fond, ça ne va pas beaucoup plus loin, et que c'est vite oublié. alors quand elle part comme une furie, il hausse vaguement les épaules, attrape un nouveau verre pour faire passer le coup, et s'apprête à continuer de profiter de la soirée. mais quand elle revient sur ses pas, et que sa main vient s'écraser avec violence sur sa joue, il reste sous le choc, ouvre de grands yeux alors qu'il se masse la joue, qu'elle lui lance un sermon dont il n'avait pas besoin, pas vraiment prêt à renouveler l'expérience de si tôt, pas du genre à vouloir la blesser ou quoi que ce soit. il n'a pas le temps de reprendre ses esprits pour se défendre qu'elle s'éloigne, et lorsqu'il la voit monter les escaliers pour rejoindre sans doute possible l'autre imbécile, ça bout à l'intérieur. pourtant pas du genre à s'énerver, mais c'est l'étincelle qui vient enflammer tout l'alcool qui circule actuellement dans son système, et il laisse la raison au placard, se laisse guider par son impulsion sans se poser des questions. il se fraie un chemin sans délicatesse jusqu'aux escaliers qu'il monte quatre à quatre, avant d'ouvrir la porte de sa chambre. et of course que sully est là, et ça ne fait que l'énerver, réduit en cendre les dernières bribes de bonne conscience qui essayait de le rappeler à l'ordre. "putain t'es sérieuse charlie ? c'est qu'un jeu bordel, pas besoin de m'en coller une ! j'aurais jamais fait ça j'y j'avais eu le choix, tu me prends pour qui ?" il fulmine, et c'est sûrement l'ébriété qui parle à sa place, mais il se laisse complètement contrôlé par la colère qui l'envahit, laisse ressortir tout ce qu'il a contenu depuis si longtemps, déverse sa rage sur une charlie qui ne s'y attend pas vraiment, occulte complètement la présence de sully. "tu sais quoi, ça me soûle, je me casse, démerde toi toute seule pour ranger demain. et un dernier truc, compte pas sur moi cette fois pour te plaindre que putain, sully est vraiment con, parce que c'est qui qui arrête pas de suivre l'autre depuis le début de cette soirée de merde ? toi. donc demain matin, tes états d'âmes, t'es gentille mais tu te les garde pour toi, parce que j'en ai ma claque de t'écouter le pourrir si c'est pour te voir courir à lui à la première occasion." il ne lui laisse même pas le temps de réagir, sort en claquant la porte derrière lui avant de redescendre les escaliers, de sortir de la maison. il sait qu'il va le regretter, demain au réveil, quand il réalisera vraiment ce qu'il vient de faire, mais pour l'instant, alors qu'il marche jusque chez lui dans l'air frais de la nuit, il se sentirait presque soulagé d'avoir enfin osé dire quelque chose.
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyDim 12 Avr - 17:32

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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyDim 12 Avr - 17:49

ils entrent enfin dans la maison, et elle ne se sent pas vraiment à sa place, regarde les gens qui boivent autour d'elle. au moins ollie est là. mais elle se retrouve vite appelée par darcy, qui lui fait signe de la rejoindre, au loin, alors que maddie disparaît déjà dans la foule. elle hésite, lance un regard vers ollie, préférerais de loin rester avec lui, mais en même temps trop gentille pour mettre un vent à darcy. "désolée... je reviens après, promis !" elle s'éloigne à regret, rejoins l'amie d'abel qu'elle connait à peine, et à qui elle ne sait pas trop quoi dire alors qu'elle lui offre un sourire désolée. "oui hein, tu connais du monde ici ?" elle fait la conversation comme elle peut, alors qu'elle sirote sa bière. puis comble de l'horreur, un jeu de la bouteille est lancé, et elle se meurt de l'intérieur, rêverait de pouvoir s'enfuir, partir loin, rentrer chez elle même si elle doit traverser toute la ville à pied. mais en même temps, c'est typiquement le genre de jeu auquel la bande à maddie participe avec plaisir, et si elle veut renouer le contact avec elle, elle se sent presque obligée de devoir rester, participer. et ça commence fort, avec darcy qui embrasse maddie, alors que lyra sent l'angoisse monter en elle, au fur et à mesure que son tour approche. mais quand ollie se retrouve dans le viseur, et qu'il se retrouve à devoir embrasser un autre mec, elle se désagrège de l'intérieur, le cœur qui saigne, qui aurait presque préféré être désignée, elle, à la place de l'autre. de pouvoir profiter de l'excuse du jeu pour pouvoir l'embrasser, sans qu'aucune question ne soit posé. mais non, le jeu en décide autrement, et elle encore perdue dans ses pensées quand ça tombe sur elle, ne réalise pas tout de suite ce qu'on lui demande. elle ouvre de grands yeux apeurés alors qu'elle sent le sang lui monter au visage, les joues qui s'enflamme à l'idée de devoir ôter son haut. elle jette un regard aux autres, paniquée. elle finit par regretter de ne pas avoir invité kael à cette soirée. s'il avait été là, il l'aurait protégé, l'aurait empêcher d'accomplir le gage, aurait probablement menacé quiconque se serait opposé à sa décision. mais il n'est pas là, et à elle seule, elle n'a pas assez de cran pour s'opposer aux règles du jeu. elle finit sa bière d'une traite, pour essayer de se donner du courage, et finit par enlever son haut, croise les bras devant elle pour se couvrir comme elle peut. "au suivant ?" tout pour détourner l'attention non désirée sur son corps à moitié dénudé.
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 5 EmptyDim 12 Avr - 17:50

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